(texte manuscrit – 7 juill. 2020 à 23h50)

—> ajoutements, autour et sur le récit

Je sens imperceptiblement que cette parole qui me traverse, ce chant inonde bien plus que moi-même, j’en trouve des relents à travers l’expression d’autres êtres ; quels qu’ils soient, ils perçoivent la même rumeur, la même clameur, nous sommes donc tous frères ou sœurs, à l’écoute d’un même monde à ressentir.

Il n’y a pas d’êtres élus ni divins, incarnation affublée d’un ego superflu, nous sommes bercés par les mêmes effluves, tout est relié, tout communique ; oh, ne rien renier, même pas à force des regrets ; rien à dominer, seulement ce monde à ingurgiter comme l’on pourra. Rien n’est à dominer ! Nous le sommes déjà, « dominés ! » Eh, depuis longtemps, la nuit des temps, depuis le début des débuts, cet aveu semble superflu au dedans du leurre étonnant ?

« Les promesses les plus importantes ne se font pas avec les mots »
(entendu dans un manga « les enfants de la mer », film de 2019)

Je rajouterais : qu’il n’est pas nécessaire de tout comprendre, mais de plutôt percevoir avec tous les sens, même si vous ne pouvez mettre de mots sur ce que vous ressentez (quelque chose comme ça… À améliorer la perception.)

(texte manuscrit – 13 juill. 2020 vers 11h)

Cette année-là les profs étaient sévères, on les avait affublés d’oripeaux dont ils ne croyaient guère, ils jetaient comme ça des paroles en l’air. Devions-nous y croire à ces éruditions en colère, je ne sais ?

(texte manuscrit – 16 juill. 2020 à 13h10)

Entendu quelque part ?

Voix en marchant = verbatim
des discours, verbatim originel, pensées cachées derrière les verbatims des discours…