(texte manuscrit – 18 juill. 2020)

—> ajoutements, autour et sur le récit

« J’ai toujours été dans l’exploration d’un “voir comment ça fait”, à expérimenter tout cela »,
disait-il d’un ton nonchalant…
« Je n’attends rien de mes semblables ni une reconnaissance ni merci, même si j’ai été toujours dans des labeurs du service rendu, à maintenir en état ou réparer les outillements de nos industries contre un maigre salaire, une petiote rétribution pour la tâche accomplie, voire souvent gratuite pour qui ne pouvait me rétribuer, l’entraide au bout du nez… »

Il disait aussi :

« je suis tout près d’une perception et je n’en connais pas de compréhension déjà acquise, mais ce que je subis comme efforts quand je m’y approche (accroche) s’avère considérable et m’épuise au bout de 10 minutes (provoque parfois des bâillements irrépressibles). L’effort d’une journée de travail ordinaire est accompli dans ces quelques minutes, c’est au-delà de ce que peut endurer mon propre corps, ses fluides, sa masse et ses sens, à force, cela va me détruire ! Ou plutôt détruire ma construction biologique… à moins qu’un basculement se fasse, je ne sais ? »

Et encore :

« Je ne sais pas ce que j’ai trouvé là, dans les fins fonds de ma mémoire, comme au creux de ce monde, un inconnu venu de nulle part ou de partout à la fois, c’est selon votre aubaine, comment l’on voit ou se représente la chose, une inconnue véritable et sans tabou ; ce n’est plus à moi d’en tenter un déchiffrement dans une mathématique de hasard, elle ne pourra jamais réduire les choses à de simples équations, c’est trop réducteur ! Un horizon masque les profondeurs, vous n’aurez jamais une totalité dans une équation ultime ! Tout n’est qu’un entremêlement de mondes et d’échelles disparates. Ne raisonnez pas à l’échelle de votre genre, de votre espèce, raisonner à la mesure du vivant, dans son entièreté, et vous n’en êtes qu’une infime partie, mais partie tout de même (c’est déjà quelque chose) et ce n’est pas rien ! »

(note rédactionnelle)
Plusieurs entrées au discours du récit :

  • entrée narrative
  • entrée de « il », des vieux singes…
  • entrée du robote, etc.

Relier aux diagrammes successifs des différents niveaux du discours, diagrammes en forme de spirale s’élargissant, diagrammes du dictionnaire hétéroclite, diagrammes des mots-clés, etc.
Indiquer les points d’ancrage où commence la lecture.
Étudier la question : appliquer quelques diagrammes en superposition aux images des collisionneurs de particules, relier les points, l’effet pourrait être intéressant.

(texte manuscrit – autour du 20 juill. 2020)

(notes diverses)

Cet enfant affirmant plus qu’une question, à ses parents, leur demande « pourquoi m’avoir fait naître ? » Il les accuse de l’avoir mis au monde dans cet enfer où il estime y mener une vie de merde ! Il les accuse même de l’avoir mis au monde dans cet enfer (souvenance du film « capharnaüm »).

Laissez dans les textes « en marchant », les ajouts des corrections, sauf en cas de contresens trop important, ajouter une version corrigée en dessous. Laisser tel quel !

Une partie des discours très détaillés correspondent à des descriptions détaillées, dans les parcours du petit chemin : ajouter un diagramme correspondant, avec les mots ou phrases abordant ces détails.
Établir aussi diagrammes sur les séries : voix, en marchant, du soir, texte manuscrit, etc.
Avoir des esclaves comédiens que je puisse manipuler comme des chiens !

(texte manuscrit – autour du 30 juill.)

Quant à ceci, c’est une trace laissée, une bouteille jetée à la mer, elle ne s’adresse, cette trace, pas forcément aux hommes, peut-être à autre chose en somme, ni cette prétention de s’adresser au néant, à perdurer par-delà les ans, un signe, un geste, une question « où sommes-nous ? », Etc., les phrases d’un philosophe bidon sans intérêt, non, allez voir ailleurs et peut-être un jour s’y reconnaître par-delà les hommes, et oublier toutes sortes d’orgueils, de vanité ou de notoriété.