(parole entre deux sommeils – 5 juin 2021 à 1h53)

—> [philosophia vitae] on n’a pas le choix
—> durée : 6’24

Oui, la vie parfois nous met dans un drôle d’embarras, c’est commun !
La vie… que dis-je ? Les mécanismes qui nous instruisent nous font augurer d’une vie qu’on n’espère pas forcément, quand elle vous met à part, en dehors des sentiers battus, où les autres convives s’ébrouent tant qu’ils peuvent dans des sorts que l’on envie ou que l’on déteste.
Elle expérimente ! Et certes, l’embarras pour ce qui concerne certains, est de les faire exister d’une manière pas habituelle où ils sont perdus, les repères ne sont plus… Alors, il vous faut inventer sans cesse, dans des paysages inconnus. La mémoire ne retient pas, et vous voyez bien, avec l’âge, que votre parcours ne peut être celui déjà pris par d’autres ; votre sort est un rempart à ce qui est coutumier, vous n’en faites pas partie ! N’en soyez ni heureux ni malheureux, c’est ainsi ! La vie vous fait construire, bâtir des choses comme elle vous a construit, « pour voir comment ça fait » un tel individu, concrètement. On se fout bien qu’il soit heureux, malheureux, distrait, orgueilleux, tout ce que vous voudrez… Il peut être tout ça à la fois, ou rien du tout ; même le rien du tout, il faut l’expérimenter ! Eh, quand cela vous saute aux yeux, et que l’on voit une réalité s’éparpiller devant vous, ou au-dedans de vous, vous dites « ah, ben ça alors ! vous auriez pu prendre quelqu’un d’autre ? », mais quand il vous vient cette pensée-là, il est depuis longtemps déjà trop tard. En effet, « la vie ne repasse pas les plats » dans le fil continu de votre existence où tout ne peut se produire en une seule fois ! Il fallut bien inventer l’écoulement de ce temps pour que votre parcours puisse s’égrainer en une seule fois, avec un début, un milieu, et une fin, c’est ainsi. Et ton sort ? Que tu l’acceptes ou non, cela n’a pas d’importance, il est ainsi « tu dois faire avec ! », tu n’as pas le choix… « Il faut faire avec ! » Et puis se faire une raison, accepter ce que l’on est véritablement, ne pas surjouer, surtout pas !
Il fallut cette expérience, que l’on fasse (réalisa) de vous, tout le parcours de votre existence à vous comme aux autres, chacun se trouve… se trouve dans cette situation-là, il ne peut faire autrement, voilà !

(version)
Oui, la vie parfois nous met dans un drôle d’embarras, c’est commun !
La vie… que dis-je ? Les mécanismes qui nous instruisent nous font augurer d’une vie qu’on n’espère pas forcément, quand elle vous met à part, en dehors des sentiers battus, où les autres convives s’ébrouent tant qu’ils peuvent dans des sorts que l’on envie ou que l’on déteste.
Elle expérimente ! Et certes, l’embarras pour ce qui concerne certains, est de les faire exister d’une manière pas habituelle où ils sont perdus, les repères ne sont plus… Alors, vous devez inventer sans cesse, dans des paysages inconnus. La mémoire ne retient pas, et vous voyez bien, avec l’âge, que votre parcours ne peut être celui déjà pris par d’autres ; votre sort est un rempart à ce qui est coutumier, vous n’en faites pas partie ! N’en soyez ni heureux ni malheureux, c’est ainsi ! La vie vous fait construire, bâtir des choses comme elle vous a construit, « pour voir comment ça fait » un tel individu, concrètement. On se fout bien qu’il soit heureux, malheureux, distrait, orgueilleux, tout ce que vous voudrez… Il peut être tout ça à la fois, ou rien du tout ; même le rien du tout, il doit l’expérimenter ! Eh, quand cela vous saute aux yeux, et que l’on voit une réalité s’éparpiller devant vous, ou au-dedans de vous, vous dites « ah, ben ça alors ! vous auriez pu prendre quelqu’un d’autre ? », mais quand il vous vient cette pensée-là, il est depuis longtemps déjà trop tard. En effet, « la vie ne repasse pas les plats » dans le fil continu de votre existence où tout ne peut se produire en une seule fois, il dut bien s’inventer l’écoulement de ce temps pour que votre parcours puisse s’égrainer en une seule fois, avec un début, un milieu, et une fin, c’est ainsi. Et ton sort ? Que tu l’acceptes ou non, cela n’a pas d’importance, il est ainsi « tu dois faire avec ! », tu n’as pas le choix… « Il faut faire avec ? » Et puis se faire une raison, accepter ce que l’on est véritablement, ne pas surjouer, surtout pas !
Elle se devait d’être cette expérience que l’on fit de vous, tout le parcours de votre existence à vous comme des autres, chacun se trouve dans cette situation-là, il ne peut faire autrement, voilà !