(texte manuscrit – 1er février 2021 vers 16h30)

—> ajoutements, autour et sur le récit ou webosité

Qu’est-ce donc ceci, un lieu où l’on ne nomme aucun d’entre nous, ici ? Est-ce une tromperie, un complot, une mascarade, du pas joli joli ?
L’on vous dirait bien « non ! rien de tout ceci ! » Mais ce serait allé bien vite et comment, quoi, à prouver tout ceci et rien n’est dit ?
Rien à vendre, rien à prouver, jamais ne dis « j’ai tout compris ! » Comme un fou, un génie prêt à convaincre n’importe qui. Non, rien de tout ceci. Aucune gloire et l’ego suffisant allant avec, aucun mérite, tout a déjà été à peu près dit, déjà ! Alors, pourquoi un tel récit, dans une avalanche de pages, si l’on n’a rien « à vendre, à prouver, à se vanter ? » Ah, si ! L’on médit ! L’on médit de vous, de tout, de soi et du loup-garou en chacun de nous. Pas de prêches ! Même, va à la pêche, ni poisson ni veau d’or, une quelconque relique sacrée à arborer !
Mais quoi alors ? Oh ! Dans le plus simple appareil, nu tel le ver dans sa terre, l’on dira « d’où venons-nous, nous les toutes sortes de vies, qu’avons-nous oublié, que faut-il reconsidérer ? » Si ce n’est de nos origines, les peuples de terriens, du plus petit au plus vaste…
Cette question lancinante sans réponse où l’on noie le poisson, parce que l’on a encore rien dit, raconter, si ce n’est ce récit, celui qui vient après que l’on ait affirmé tout ceci.

(à insérer)

Ici, non plus pas de réseaux webeux où l’on comploterait contre qui, contre quoi, un peu de la « bêtise » de chacun de nous ? À croire à tout ou à rien, le complot ourdi en guise de ritournelle, non Monsieur, pas d’inféodation à ces royaumes éphémères de quelques-uns ; demain, ils seront encore plus méprisants dans ces croyances balancées webeusement…
Mais alors, que croient certains semblants se dirent tout doucement…

(version)

Qu’est-ce donc ceci, un lieu un lien où l’on ne nomme aucun d’entre nous ici ? Est-ce une tromperie, un complot, une mascarade, du pas joli joli ?
L’on vous dirait bien « non ! Rien de tout ceci ! » Mais ce serait allé bien vite, et comment, quoi, a prouver tout ceci n’est rien n’est dit ?
Rien à vendre, rien à prouver, jamais ne dit « j’ai tout compris ! », comme un génie prêt à convaincre n’importe qui. Non, rien de tout ceci. Aucune gloire et l’ego suffisant allant avec, aucun mérite, tout a déjà été à peu près dit, déjà. Alors, pourquoi un tel récit, dans une avalanche de pages, si l’on n’a rien « à vendre, à prouver, à se vanter ? » Ah si ! L’on médit ! L’on médit de vous, de tout, de soi, et du loup-garou en chacun de nous. Pas de prêches ! Même, va à la pêche, ni poisson ni veau d’or, une quelconque relique sacrée, à adorer !
Mais quoi alors ? Oh ! Dans le plus simple appareil, nue tel le ver dans sa terre, l’on dira « d’où venons-nous, nous les toutes sortes de vies, qu’avons-nous oublié, que faut-il reconsidérer ? Si ce n’est de nos origines, les peuples de terriens, du plus petit au plus vaste ? » Cette question lancinante sans réponse où l’on noie le poisson, parce que l’on n’a encore rien dit, raconter si ce n’est ce récit, celui qui vient après que l’on ait affirmé tout ceci.

(à insérer)

Ici non plus, pas de réseaux webeux où l’on comploterait contre qui contre quoi, un peu de la « bêtise » de chacun de nous ? À croire à tout ou à rien, le complot ourdi en guise de ritournelle, non monsieur, pas d’inféodation à ces royaumes éphémères de quelques-uns (ces « fesses qui ont des boucs », ces « instables qui ont des grammes », ces « tout iter », ces « ouilles tubes », ou « délit de la motion », de censure tout cela…) ; demain, ils seront encore plus méprisants dans ces royaumes balancés webeusement. « Mais alors que croire ? » certains semblent se le dire tout doucement.

(texte manuscrit – 1er février 2021, le soir)

—> ajoutements, autour et sur le récit

C’est amusant, le livre des préalables n’est pratiquement pas venu en marchant, que des ajouts électronisés et des textes manuscrits comme si le robote y avait toute sa part… du soir, du matin, parole de la nuit, entre deux sommeils, et manuscrite pour l’essentiel ?
L’influence ne vient plus de la forêt, mais du corps de la maison, de la vieille bâtisse sans raison apparente, les pièces nécessitent une aération constante, les mûres ont des humeurs et les soirs il me raconte dans des rumeurs imperceptibles ce qui remonte du plus profond de la terre, ondes, vibrations, secousses, exhalaisons, ce qui la pousse, pour qu’un jour, elle s’écroule sans passion.

Le livre des préambules contient par contre à peu près neuf récits sur 44, en marchant.

(version)
C’est amusant, le livre des préalables n’est pratiquement pas venu en marchant : ajout électronisé et texte manuscrit comme si le robote y avait toute sa part… du soir, du matin, parole de la nuit, entre deux sommeils et manuscrit pour l’essentiel (de la manière dont ces récits furent racontés).
L’influence ne vient plus de la forêt, mais du corps de la maison, de la vieille bâtisse, sans raison apparente, les pièces nécessitent une aération constante, les murs ont des humeurs et les soirs il me raconte dans des rumeurs imperceptibles ce qui remonte du plus profond de la terre, ondes, vibrations, secousses, exhalaisons, ce qui la pousse, ce qu’un jour fera où elle s’écroulera sans passion.

Le livre des préambules contient par contre neuf récits sur 44 en marchant…

(texte manuscrit – 2 février 2021 à 9h40)

—> ajoutements, autour et sur le récit

Ce matin, voilà que l’on me transmet une commande à ajouter, un rapport, un compte rendu. Effacer ça : faites un portrait détaillé des technocrates, ces individus coupés des réalités de la vie irrégulière des gens de partout, dans la vraie vie de tous les jours. De l’influence de leurs choix « technocratiques » sur le quotidien de chacun, à travers un certain nombre de réglementations obscures, versatiles, vexantes et stressantes. Au lieu de simplifier, ils complexifient la vie quotidienne dans un asservissement (plus ou moins voulue) de la population.
De l’aspect délétère de ces agissements, du comment en arrive-t-on à « pondre » de pareils individus technocratisés ? Une forme moderne de l’esclavage ils instrumentent et cela s’ajoute, accompagnent une bureaucratie galopante…
au lieu de simplifier à l’extrême, l’on complexifie : étonnez-vous ensuite que certains « pètent les plombs ! »

(version)
Ce matin, voilà que l’on me transmet une commande à ajouter au rapport, au compte rendu : faire un portrait détaillé des technocrates, ces individus coupés des réalités de la vie régulière des gens de partout, dans la vraie vie de tous les jours. De l’influence de leur choix « technocratique » sur le quotidien de chacun, à travers un certain nombre de réglementations obscures, versatiles, vexantes et stressantes… au lieu de simplifier, il complexifie la vie quotidienne dans un asservissement (plus ou moins voulu) de la population (on se le demande tellement c’est criant de vérité, cette façon de faire, une manière de vous rendre esclave dans cette affaire).
De l’aspect délétère de ces agissements ou du comment en arrive-t-on à « pondre » de pareils individus, « technocratisés » ? Une forme moderne de l’esclavage (à travers l’usage de pareils individus dans les gouvernements de tous bords) et cela s’ajoute, accompagne une bureaucratie galopante…
Au lieu de simplifier à l’extrême, l’on complexifie : étonnez-vous ensuite que certains « pètent les plombs ! ».