(texte manuscrit – 14 sept. 2021)

—> [philosophia vitae] notes et étonnements

Auteurs : le vivant… qui, au travers de divers scribes temporels, effleure le passé d’une vie en train de trépasser, ne pas mourir sans laisser de trace, inonde des papiers, diverses tonalités, de nombreuses choses éparses, où traîne une île égarée, de multiples sonorités, du bruit, des voix, des chants, tout ce que l’on voie, entend, perçoit ; la mélodie du temps qui passe et sans cesse repasse, comme au creux d’une pelote de laine, on voudrait qu’il outrepasse…
(ah, non ! ce n’est pas encore çà ?)

Quoi ? Les abeilles ont un langage chorégraphique, les fourmis écrivent de la littérature, leur encre est d’une autre chimie que la nôtre…

Ce vivant obstiné, qui ne cesse de nous faire persister, de génération en génération ; pourquoi donc ?
Ce vivant obstiné, il ne cesse de nous pousser à persister, de génération en génération ; pourquoi donc ?
Voilà où se situe toute la question !

(texte manuscrit – 23 sept. 2021 vers 10h30)

—> ajoutements, autour et sur le récit : idées noires

Aux âmes fétides : à la façon des antiques, j’ai pris la précaution de disparaître avant de dévoiler complètement tous ces récits, pour ne pas subir toutes vos diatribes, vos saluts, vos honneurs ou vos dénis pour la moindre erreur, la moindre coquille dans l’ouvrage, de tout ça, je n’ai que faire ! Lisez donc par-dessus les mots, les termes, ce que des vivants vous racontent, bien plus que l’histoire d’un conte où l’on croirait, le raconteur, qu’il veut régler des comptes. Non ! vous vous trompez tous, ce n’est ici qu’un compte rendu de vivants, de multiples narrations offertes à d’autres vivants, de la vie s’interrogeant sur son sort, elle pointe là où ça pue, bien plus que la mort, la bêtise, les croyances, les despotes et les chasseurs de quelques torts…

Aux âmes fétides : à la façon des antiques, il a pris la précaution de disparaître avant de dévoiler complètement tous ces récits, pour ne pas subir toutes vos diatribes, vos saluts, vos honneurs ou vos dénis pour la moindre erreur, la moindre coquille dans l’ouvrage, de tout ça, il n’a que faire ! Lisez donc par-dessus les mots, les termes, ce que des vivants vous racontent, bien plus que l’histoire d’un conte où l’on croirait, le raconteur, qu’il veut régler des comptes. Non ! vous vous trompez tous, ce n’est ici qu’un compte rendu de vivants, de multiples narrations offertes à d’autres vivants, de la vie s’interrogeant sur son sort, elle pointe là où ça pue, bien plus que la mort, il y a la bêtise, les croyances, les despotes et les chasseurs de quelques torts…

Mais sans cesse, la bête veut parler d’elle ; des autres, elle n’a que faire !
Même, les étudieurs de la façon dont elle réagit, occupés à ces psychoses de l’esprit, ne font que répéter ce ciel où l’on s’alanguit dans des images offertes à la pensée, du pas bien malin, du bien poli, où la bête n’y arrive pas, toujours à n’y voir que sa propre vie, s’usant dans le mépris des autres existences…

Écoutez-vous parler, de comment vous aborder les choses comme si elles vous appartenaient…

(texte manuscrit – 30 sept. 2021 à 17h15)

—> ajoutements, autour et sur le récit : idées noires (suite)

Imaginez cet être ayant tout oublié ; même l’idée de mourir un jour, tout en lui avait oublié ce moment tragique ou non des vies qui meurent.
Chaque jour était un renouveau, où tout était à découvrir, si beau ni laid ; chaque jour apportait un nouveau délai…
Comment peut-on oublier à ce point, quelle est cette faille, « Du comment il faudrait que je m’en aille ? » ; oublier de laisser la place et rafraîchir l’idée quand elle outrepasse…
Quelle est cette audace, que faut-il défaire pour qu’il s’en aille ?
Il part, il part, avec une note sans cesse plus aiguë, et qui ne veut pas s’en aller…
Il part, il part, avec cette envie d’entendre une dernière fois le chant intense du moindre oiseau…
Il part, il part, malgré tout, avec, tout au bout, la dernière note, et partir s’enivrer au-dedans, voyager avec le vent, s’en aller et parcourir le monde en grand dans l’éveil d’un dernier chant, inaudible et charmant, se fondre dans un néant irrésolu…

(texte manuscrit – 10 octobre 2021, dans la journée)

—> [philosophia vitae]

Ah ! La bête s’extasie, elle tente le sublime et veut parfaire son art, aller au plus profond, ultime rebond d’une idée au creux de la tête l’agite pour de bon ; à tenter de se dépasser pour de bon, ne plus mégoter, y aller pour de bon, le temps des transes est dépassé, ce n’est plus « moderne » ; à vouloir éructer dans le milieu de son espèce, sa lignée… faire des aveux, casser les principes, jouer de suffisance pour une idolâtrie faussement dédaignée et mériter le prix d’excellence « voyez, cela est beau et grand ! » Sa parodie de géant…

Dans le classement des prouesses du vivant, les hominidés ne sont certainement pas les premiers. Ah si ! En connerie, ils auraient un prix d’excellence, en vantardise, un quant-à-soi, en ego et en accaparement, le haut du pavé (ils s’y bousculeraient). Qu’en serait-il alors des autres vivants ?
Les vainqueurs en tout, de par le nombre et l’invention, la masse et la corruption, les Procaryotes, les bactéries, assurément ! Elles ont la mainmise sur les autres vivants, elles en sont les éléments bâtisseurs et la bête multicellulaire écrivant cela se rend à cette évidence, les premiers accapareurs c’est vous, nos chères bactéries en nous ! Merci de votre ménage en nous, digestion et respiration, apport énergétique et maintenance générale de la bête. Tout cela naïvement dit, en fait, le dieu des vivants, c’est vous ! Les unicellulaires du genre bactéries, archées, virus… précurseurs de tous, sans vous que sommes-nous ?
À qui décerner le prix de nos belles ?
On veut des noms à défaut d’une senteur, d’une sonorité, d’un langage compris, une sensation, un paysage une vision, une image, une audace, un mouvement, un déplacement, une corruption, une maladive infection, une complexité d’architecture terrestre, une temporalité, un toucher étonnant, un frisson plus que glacial, l’audace du génie des conceptions ; où aller pour trouver plus que tout cela, sinon cette terrestre planète où œuvre tout un monde de vivants ?

(texte manuscrit – 16 oct. 2021, le soir)

—> [considérations philosophiques] de la synthèse dans l’air ?

—> voir : synthèse (début)[récit] [synthèse] (parole entre deux sommeils – 26 août 2021 à 2h45)
—> voir : synthèse (suite) (parole entre deux sommeils – 1er sept. 2021 à 2h17)
—> voir : 28 janv. 2022, synthèse du jour (texte électronisé du 28 janv. 2022 à 10h50)

Primo (établir un résumé synthétique à la fin)
Cette pensée, cette prospection, n’est pas un dogme que l’on établit ni une vérité que l’on aurait découverte, mais une exploration de possibles événements préalables à un autre engendrement, nous les vivants de cette planète.

Secundo
Il s’agit d’appréhender les possibles voies des mouvances de la matière et de ses assemblages successifs, jusqu’à notre apparition, nous, les vivants de cette planète.

Tertio
La supposition s’établit comme suit : une forme, ou un ensemble de formes existentielles antérieures, peut-être à travers des voyages volontaires contraints, pour une quelconque survivance, essaimant sur la terre en cours de formation, ou à ses débuts ; héritage du passé, les particules de matière l’ayant constitué contenaient la présence de formes existentielles fortement dégradées (soit par la contrainte du déplacement, la furie des éléments environnants), réduit à une structure minimum pour permettre l’espoir d’une survie et d’une régénérescence une fois que les éléments bâtissant ce monde se stabilisent, le temps d’une adaptation aux changements successifs (envisager tous les possibles sous le biais de ces transformations).
Disons-le autrement : un transport à travers des météorites, des comètes, des poussières d’étoiles anciennes ou en formation ; des formes existentielles dégradées au minimum vital (afin de tenter de survivre durant le voyage) atteignent la terre et s’y installent (hasard des choses ou choix délibéré, un peu des deux ?). Une fois établi sur terre, le principe existentiel n’a plus qu’à s’adapter, se développer en apprenant de son milieu diffus ; déjà, la nécessité de préserver une somme d’informations hétéroclites s’avère nécessaire, afin d’en permettre la relecture pour les générations futures. Dans ce principe, le vivant apparaît à travers cette nécessité (un déterminisme sous-jacent) de transmettre dans une mémoire quelques « plans de fabrique » de bases contenant ce que l’on appelle aujourd’hui un « code génétique ».

Parenthèse
Comprenez bien le mode de description que l’on essaye de définir, s’élabore au travers d’une entité existentielle : « nous » (le scribouilleur de tout ceci), résultat d’une somme d’informations acquises au fil du temps ici et maintenant, tentant d’établir une compréhension (non figé) des fondements de son existence, de tenter de comprendre d’où l’on vient et que faisons-nous là ? Des questionnements récurrents abordaient bien des fois auparavant et en ce moment encore, toujours !
(Suite de raisonnements divers à terminer et compléter au fil du temps)

(texte manuscrit – 6 novembre 2021 à 16h10)

—> temporalité début « troisièmement »

Il y eut d’abord cette gymnastique à construire, tout un tas de choses au travers de ces récits, dans une mise au point d’un tracas, d’un état d’esprit, voire une philosophie.
La méthode expérimentée, mise au point et répliquée jusqu’à l’ennui, quoi de plus simple que de déconstruire des récits aboutit, et l’étude se faisant aussi dans l’étude, parfaire cette boucle du revenez-y en décomposant chronologiquement les divers récits étalés à la queue leu leu, satisfaire cette frénésie (pour qu’elle vous foute la paix).
Vu de l’extérieur, on en vient à tenter de comprendre comment du vivant cherche tant et explore d’où il vient, tout en décortiquant son mécanisme (comprendre ce qu’il est), tenter de découvrir ce qui le pousse à cette étude. Dans sa multitude, le vivant est à considérer dans son entier, un être terrestre n’existe que par les autres, et les savoirs, les informations persistent, elles se lisent sous diverses formes ou procédés que la vie inventa pour perdurer et se répliquer grâce aux mémorisations nécessaires à sa mécanique ; son processus tout à fait génétique, c’est ce que tente de réaliser le mécanisme vivant géniteur de ces récits apportés (apposés ici) déconstruits (après qu’ils furent construits), à reconstruire (à nouveau), juste pour « voir comment ça fait ! » Et comprendre ainsi ce que l’on est ! Étudier cela, dans le creux du vivant, même si apparemment cela semble obscur, voyez cette image qui vous éclairera : observez un assassin étêter un autre que lui, comme le boucher décapitant un poulet, une vache, un cheval ou un homme ; au premier abord, ce n’est que du vivant, qui s’adonne à préparer quelques futurs mangements ; où placerez-vous la cruauté ?
Remonter aux sources, celles qui ont inspiré ces agissements, dans une étude froide sans affect. « Démonter la forme brique par brique, la déconstruire, et reconstruire après » ; voilà où nous mène la chose vivante en nous, comme un gène insidieux vous donne un ordre à travers son code très ancien, il te dit (disons-le d’une manière abrupte) : « obtempère ou crève ! »
Voilà où nous mène le vivant, son processus n’a pas d’âme, il n’a que des leurres à mettre en place, afin de nous amener à « croire » et calmer nos affects, il y place une âme à laquelle on croit encore bien plus qu’une croix, pour nous apaiser, dans des philosophies sans loi ; de la pure génétique. Que tu crois à tout cela, ou n’y crois pas, cela n’a pas d’importance, le gène fait déjà son office, malgré toi, au-delà de toute loi des hommes ; il te mène là où il veut dans sa recherche obsessionnelle dont nous ignorons tout, puisque c’est lui qui nous construit… Alors oui, parfois ça dérape, ça aboutit à n’importe quoi, un cul-de-sac, une issue sans avenir…
Vous voici avertis, l’on parle de tout ça ici, où s’entrecroisent quelques singes savants ou non…

(texte manuscrit – 10 novembre 2021 à 23h30)

—> 4e [du robote à la chose] dialogue machinal et robotical

Qui êtes-vous, Monsieur ?
Oh moi ? Rien !
Rien ? Mais que faites-vous là alors, avec cette machine ?
Ah ça ? Ben, je la répare, elle est en panne, je la répare, somme toute, je répare des machines…
Vous réparez des machines ? Comme un docteur, alors ? Vous êtes un docteur pour les machines ?
Ah ben ! Si vous voulez, je n’y avais pas pensé, c’est un peu ça, je répare, soigne des machines, je les bichonne même, mes machines…
Elles sont à vous ?
Oh ! Pas forcément, c’est souvent les machines que m’apportent les autres ; je les répare et ils repartent avec, content (comptant) souvent, quand j’ai pu en sauver une de la casse, du cimetière à machines… on s’habitue à ses objets, vous savez ! Elle nous raconte des choses dans leur ronronnement quotidien, les machines que je répare. D’ailleurs, je n’ai fait que ça, toute ma vie, j’ai réparé les machines des autres, sans forcément un merci au bout (et parfois un mépris quand je n’ai pu la soigner, la machine), et parfois elle m’apporte des soucis, leurs utilisateurs ne sont pas contents, parfois, quand la réparation n’est pas satisfaisante. Je ne suis pas un savant, je répare pourtant sa machine à lui, pourtant…
Et il trouve ça décevant, le savant ?
Ben, je sais pas trop, il n’a pas le temps, lui ! Toujours pressé d’une découverte, elle ne cesse de l’oppresser, on dirait ? Il est pressé, il va faire sa découverte ! Il en casse des machines ! Que je répare, au fur et à mesure qu’ils les usent, ses machines, quand j’y pense ; pourquoi je courbe l’échine ? Toute ma vie, je n’ai fait que réparer des machines en courbant l’échine…
Tiens, pourquoi donc ?
L’habitude, sûrement ! Je m’échine, c’est mon tourment…
Eh ! Vous réparez aussi des robotes ?
Ben, sûrement, c’est des machines aussi, les robotes ! C’est des machines faites par des vivants, les robotes !
Des super machines, alors ?
Bof ! Ça dépend du robote ! Y’a des robotes cons, aussi, à la mauvaise réputation, de mauvaise facture, mal nés, mal construits ; ces robotes-là, parfois, se rebellent, avant d’aller à la poubelle, à la casse, il faut qu’ils trépassent ! Je préfère mon vélocipède, il roule quand je veux et il attend que le temps passe en bicyclant sur les routes, par-devant, il va de l’avant, mon vélocipède ; c’est marrant !
Ah, tiens ? Plus rien à dire…

(texte manuscrit – 12 novembre 2021, vers 12h30)

—> ajoutements, bribes

Maxime :
« toute règle se doit d’être détournée et tout détournement se doit d’être à son tour détourné (contourné, bouleversé), et ainsi de suite… »

(trouvez tous les synonymes)

« un pur trouve toujours un plus pur qui l’épure… »

Et l’autre lui répond :
« moi, je construis des maisons… »
Et celui-là ?

Une sauvage agitation les démenait comme une sévère cohabitation…
Une sauvage agitation les démenait comme une banale cogitation…
Une sauvage agitation les démenait comme une amère cogitation…
Une sauvage agitation les démenait comme une sage cogitation…

Ces récits sont une étude qui s’étudie elle-même, tout en étudiant autre chose qu’elle-même, les dedans et les dehors ; tout est à appréhender par nécessité, du moment que l’on en éprouve l’idée (l’opportunité), sans frontières…

Contexte : influence de : la forêt…
Le lieu : la forêt, la maison…
influence antérieure, influence prédictive…
Mécanisme : le gène, le code qui te fabrique, l’orientation déterministe, ce que le concepteur du code, du gène, conçoit… (la chose)
(un principe s’établit selon des règles inconnues, en grande partie liée au contexte du moment, très certainement)

(texte manuscrit – 3 décembre 2021 vers 19h)

—> ajoutements, autour et sur le récit

Au bout d’un moment, on ne cite plus, c’est inutile et superflu, le repère est intégré, il fait partie du savoir commun.
Les mots en sont au même point, à quoi servirait-il de citer (à chaque fois) leurs inventeurs, ajouterait une information superflue.
Pour les phrases aussi, les locutions, encore…
cela se gâte quand le récit s’étoffe.
On veut (connaître) l’origine du récit, son narrateur, connaître la source, qui en est l’auteur ! (mais point trop n’en faut, il faut que l’information s’efface, laisse la place à plus utile)
Une trace de cette information finit toujours par se perdre. Connaît-on les auteurs des fresques pariétales réalisées par nos ancêtres ? Est-ce bien grave, la perte de cette information ? (De toute façon, personne ne se souvient de cette époque, l’affect ne se trouve donc pas pris au dépourvu)
Un affect démesuré irrigue les hommes, il inonde un ego hors du raisonnable (déraisonnable), à la gloire d’eux, les hommes ! Ils méritent qu’on les rabaisse un peu !
On ne devrait réaliser que des mandalas où l’on ne garderait que l’essence des choses (ces dessinements que l’on efface aussitôt après les avoir réalisés). Dans cette approche-là, il n’y a pas d’auteur, sinon le vivant lui-même, dans toute son ampleur !
(Il n’est pas nécessaire de nommer qui réalisa le mandala ni de savoir quels en étaient leurs auteurs ; ces réalisations produites pour exprimer l’immanence des choses et l’état d’esprit nécessaire au geste de leur fabrication révèlent une attitude humble de quelques vivants, au-delà d’un ego délibérément dépassé, ici.)

(courant déc. 2021)

—> [philosophia vitae] homéostasie égarée

(reviennent ces conceptions d’existence)
« Respirianisme », « vivre de lumière » : prétendre dépasser les lois mêmes de notre milieu, de notre nature, passer outre ! Quels drôles de concepts ? Tout cela pour « se sentir » aller mieux… De la pure homéostasie biologique, le réflexe de quelques gènes dans un leurre bien banal, apaise l’esprit qui ne trouve d’autre solution qu’à « croire » à ce concept, même si au bout du compte la nature des choses finit toujours par avoir le mot de la fin, dans une mort assurée, n’est pas dieu qui veut !

Il disait souvent à tout moment, « tout ceci est une farce ! une immense farce ! » Et ajoutait par moments, quand on lui en laissait le temps « et il convient que je m’efface… comme sur le tableau noir, ma trace elle aussi s’efface, d’un coup de brosse qui passe et repasse… laissant la place à d’autres traces qu’un sort capricieux effacera à nouveau… »

—> ajoutements, bribes

Lard compte temps porc un !
Lard content port hein !
L’art content pour un !
C’est à dire de l’art qui compte pour un !

(texte manuscrit – 29 décembre 2021 vers 19h30)

—> [philosophia vitae] la chose…

La chose pour les uns…
La chose pour les autres…
Ce qui s’ingénia à travers quelques mathématiques de passages, le temps d’élaborer une théorie que la vie, le vivant a compris, a repris.
La chose pour d’autres : toute une mythologie, le temps des grands racontements, et d’écouter religieusement tout l’écoulement du mythe, la liturgie des apôtres, des idoles idolâtrées, les croyances du plus humble au plus stupide des bigots… La chose y est pour quelque chose…

Ceci est histoire sans nom, parce qu’elle n’en a pas besoin.
Alors on y a attaché quelques phonèmes, afin que l’on se souvienne (de l’essentiel)…