(texte manuscrit – 2 juillet 2021 à 11h20)

—> [considérations philosophiques] relier ce qui a été délié ?

Relier, sans cesse, relier ;
apprendre tous les langages,
lire tous les langages et les relier,
apprendre toutes les langues du vivant, décrypter les signes ;
le temps est venu de relier tous ces sens, que l’on aurait oubliés, jadis, quand nous étions proches et peu différenciés.
Maintenant que les divergences sont grandes, ces liens, ces communautés de langage ont été déliées au fil du temps, et quelque chose au-dedans de nous, de soi, nous demande de relier ce qui a été délié ; se remémorer un grand apprentissage, ne plus perdre ce temps à sans cesse délier ce qui fut relié ; « nous sommes tous parents », issus d’une même origine à travers des ancêtres communs, de l’arbre à la souris, du vermisseau comme du mycète ou de la bactérie, tous partagent ce bien commun (dans un patrimoine génétique), une terre promise est donnée, il ne faut plus la blesser ni l’abandonner, ne plus parler de soi dans un entre-soi, mais parler aux autres ; les autres différents de moi, différents de ma forme, en dehors de moi comme au-dedans de moi, infiniment petits et indiscernables microbes qui me maintiennent en vie…
Quelque chose, en nous, nous raconte tout cela, mais nous ne discernerons pas encore suffisamment bien la nécessité de défricher cet éveil au monde, comme un bébé venant de naître ; à apprendre, certes, des ancêtres, de tous les ancêtres, de leurs savoirs, de leurs erreurs, suivre cette grande part d’une intuition, une intime conviction sincère honnête sans saveur, venant d’un émoi ancestral tenu au creux d’un gène colossal, celui de nos régulations, de nos apeurements, pour calmer la bête, l’apaiser pour qu’elle progresse…
(Ci-dessus, ce sont des perceptions entendues de droite et de gauche, de haut en bas, d’un peu partout, venant d’on ne sait plus où, parole simple de peuples animistes ou non, peuples des forêts, des landes ou des steppes, la racine profonde de nos ancêtres au temps des chasseurs-cueilleurs…)

(texte manuscrit – 11 juillet 2021 à 16h30)

—> [considérations philosophiques] inconnu

Aux intégristes de tous poils :
Là où vous y mettez Dieu, j’y mets toute l’ampleur d’un inconnu
ou
l’infinie dose qui nous définit. Là où vous y mettez des certitudes absolues et indépassables, j’y mets toute l’ampleur de mon doute le plus dénué d’absolus, et humblement, ajoute « je ne sais pas ! »
Et en quoi cette ignorance affirmée serait dangereuse, ouvrant les voies à des craintes, des peurs, des incertitudes, à admettre que l’on n’a pas la vérité et que rien n’est absolu, jusqu’à la preuve des contraires. Au contraire, cela donne de l’espoir, l’espoir de quelques changements salutaires. Ces inconnus-là méritent d’être explorés plus que jamais, ils ne demandent qu’à être déflorés. Sur ce point, tout cheminement ne serait-il pas, entre autres, un des principes qui nous animent ?
(Mais à la relecture de tous ces poncifs qui distinguent religiosités et sciences des techniques d’apprentissage, d’un quelconque savoir ou de recherches de certitudes approximatives, il conviendrait mieux de dépasser ces cadres obsolètes d’avance, le combat est futile, perdu ou gagné d’avance selon le camp où vous êtes, la manifestation biologique d’une régulation du bonhomme mal résolue où la vie s’entête à résorber par la raison, le bon sens, ou la dégénérescence de tout être soumis à l’usage de quelques gènes délétères et dépassés qu’il faudrait remanier ; la vie a le temps, l’être qui est soumis à ce stratagème, lui, ne l’a pas tout ce temps, il doit résoudre avec ce qu’il a, justement, ce qui le gêne, la déficience de ce gène qui le gêne…)
Là où vous mettez la certitude d’un Dieu, j’y place toute l’ampleur de cette ignorance, elle me dépasse, cette ignorance, au lieu de m’apeurer, me ravive (ou me ravit), et me pousse encore plus à explorer ce doute-là, qui sans doute, se doute que je doute ; cette chose a tout pour réjouir, et non à me détruire, sinon par ceux-là les intrépides, les intégristes de tous poils voulant à tout prix détruire toute l’ampleur de ce doute qui aussi les assaille (alors, ils se protègent comme ils peuvent).
Mais enfin, si le monde était fini, compris, défini comme la croyance et ses dogmes intransigeants que l’on ne désire surtout pas remettre en cause, vous seriez déjà morts ! Ce qui est fini, aboutit à ce genre d’inerte près à l’usure du temps, et meurt fatalement, faute de ne plus pouvoir avancer (ne l’avez-vous pas déjà constaté ?). Mais voilà, le monde n’est pas inerte, il bouge tout le temps (puisque vous continuez bien à bouger vous aussi), d’ailleurs vous le constaterez vous-même, un jour vous mourrez comme chacun d’entre nous, comme c’est l’usage en ce moment, depuis tant que cela dur, d’une preuve s’il en fallait une, à ce remue-ménage incessant des choses de ce monde.
Autre processus du vivant : en nous, découvrir l’inconnu ou ce qui semble avoir été perdu, jadis ? Un doute subsiste, il conviendrait de le résorber, un long chemin à accomplir, de quoi réjouir vos mines déconfites ! Mais non, une raison inconnue et persistante vous pousse à détruire ceux qui ne pensent ni ne croient comme vous. Vous mourrez encore plus vite en tuant ce doute que vous croyez être votre ennemi. Il n’y a qu’un ennemi en la matière, et dans ce cas-là c’est bien vous ! Même, de l’avouer vous apeure encore plus ! Mais quelle dégénérescence vous anime, pour autant vous mener à votre perte inévitable ?

L’ennui d’une certitude qui ne désire pas être contrariée, comparée aux réjouissances de cette inconnue à explorer, cette joie de l’enfant devant ce terrain de jeu, illusion sommaire d’un leurre qui nous anime et nous pousse à sans cesse avancer au risque de quelques contrariétés à dépasser (ces croyances entre autres à remettre en cause)…

En fait, nous parlons de la même chose, sauf que vous y attachez des mots dont vous ne désirez pas qu’ils changent, alors que tout change, naît, vit et meurt, comme les étoiles, même la terre mourra un jour…
En fait, nous parlons de la même chose, de ce qui nous dépasse et nous a créés, inventé ; eh, cette chose, ce truc, ce machin qui nous prête vie, c’est évident, est partout le géniteur de tout ; nous parlons de la même chose avec détente ou rigidité ; les mots employés ne sont pas les mêmes, mais le sujet est identique ; ce n’est donc qu’une histoire de définition, et quand une définition devient un dogme à ne pas toucher, c’est là que le brûlot l’anime et prend feu, il illumine pour mieux détruire. Mais lui aussi, ce dogme périra un jour dans un oubli, quand ceux ne cessant de vouloir l’animer périront aussi, plus rien ne restera de lui, remplacé par autre chose dont nous ignorons tout (est-ce cela encore qui vous apeure ?).

(texte manuscrit – 14 juillet 2021 à 12h30)

—> ajoutements, autour et sur le récit

Des histoires qui se rajoutent sur l’histoire… en cours, passée ou à venir…
Chaque boucle forme des histoires qui se racontent par-dessus les histoires (des boucles précédentes), s’y mêlant, par-devant ou en arrière-plan, comme un agrégat aléatoire, etc.
Le sonagramme d’une sonorité est comme la boucle d’une pelote de laine, une histoire qui se raconte par-dessus le récit (principale), en surcouche à lui, ajoutant une couche nouvelle à la pelote qu’il suffit de dérouler pour la lire…

(texte manuscrit – 16 juillet 2021 vers 18 h)

—> [philosophia vitae] autographes de vivants
—> voir mettre en début du volume de 3e 4e ?

Autographes de vivants, dont on suppose qu’ils s’adressent à quelques hominidés peuplant la planète ?

(traductions réalisées lors de rencontres ; autographes donnés par quelques vivants, à leur demande, pour accompagner les ouvrages émanant de leurs travaux, qui à l’aide de copistes divers, biologiques ou de robotes quelconques, vous donnent ces quelques mots glanés au gré des sollicitations qu’elles ont eus à subir pour l’acquisition de ces ouvrages dont ils sont les concepteurs assidus ; ça se mord un peu la queue, mais ça ne fait rien !)

De la part d’Escherichia très coli (votre colibacille chéri).
De la part d’un Bacille passant par là.
De la part du pneumocoque de vos artères pulmonaires, dans un ulcère ou une connerie de passage, rassurez-vous !
De la part du coucou, il vous dit entre guillemets « coucou », tient, là, soudain !
De la part du souci de la tique clouée à vos sourcils, oui ça fait mal !
De la part d’une ironie lynchée par le vermisseau avalé hier, savez-vous, lavez vos salades ! Eh, avais-je du goût ?
De la part du chien ayant pissé sur vos plates-bandes, à qui vous avez lancé des pierres (qui avait commencé le premier, hein ?)
De la part de l’oiseau infernal, sous vos fenêtres, « turlidé turlida, c’est quand que tu m’abats ? » Et puis d’abord, qui est-ce qui m’a rendu suicidaire ?
De la part d’un morpion accroché où vous savez, vous devriez plus vous laver ! Parce que c’est vous qui l’avez !
De la part d’une hirondelle, elle lâcha une fiente sur vos couverts, hier, souvenez-vous, oui c’était moi, vous devriez plus vous mettre à l’abri ?
De la part des gens de votre colon, on voudrait que vous arrêtiez de bouffer n’importe quoi, afin que l’on digère sereinement au creux de vous, ce travail est harassant ! D’ailleurs, à ce propos, nous ne le lèverons, notre piquet de grève (ah oui, vous avez la colique, n’est-ce pas ?), que quand vous aurez changé vos habitudes nourricières (ce petit mot au passage)…
De la part de votre caca, et des gens qui y sont au-dedans, il manquait un peu de selles !
De la part des gens du vent, vous aviez attrapé tantôt une toux, c’était nous ! Un de nos voisins et rester en planque dans une de vos bronches, savez-vous ?
De la part des herbes que vous trouvez mauvaises, envahissantes, étouffantes, pour qui, pour quoi, à qui la faute ? On n’a pas demandé à être là ?
De la part d’un atome bucolique, il vous habita à vos frais sans que vous le deviniez, il s’en est allé et vous demande « ça va ? », ne répondez pas !
De la part d’une envie de vous foutre la m… au travers de la… Vous savez bien cette envie venue de ce gène sans gêne délétère et mal construit, il veut dire qu’il ruine votre vie ! Oui, vous avez bien compris…
De la part du cloporte, oui chez vous, vous ne m’avez pas encore trouvé, c’est que je me cache et vous observe la nuit ; merci pour les repas aussi, vos moisissures ont du goût !
De la part d’un sale type (Demodex folliculorum, c’est lui), il ne vous dit pas merci, vous devriez lui rendre son poil, « il a froid, la nuit, quand il dort dans votre lit ! »
De la part d’agents pathogènes, l’enveloppe qui les protégeait de vous s’est rompue, vous voilà contaminée et il faudrait vous soigner, à bon entendeur, salut ! (Qu’allons-nous contaminer ce soir ?)
De la part d’une folie… allez, vous savez bien… elle vous traversa, hier, au creux de votre lit, cette position à l’envers, n’avez-vous pas compris qu’on expérimente vos envies ? (Et d’où vient-elle, cette folie, devinez ?)
De la part d’une casserole mal lavée, vos pâtes seront contaminées, à moins que ce soit votre riz, vous devriez me récurer mieux que ça ! Je ris ! (Mais oui, ce sont vos bactéries chéries que vous laissez traîner un peu partout, vous nous avez bien compris…)
De la part de la porte qui grince, elle voudrait qu’on la huile un peu plus souvent (disent les microbes qui vivent au-dedans du gras des charnières).
De la part d’une particule autochtone, vous savez que vous avez de beaux atomes, j’en désintégrerais bien un ?
De la part d’une colique néphrétique, mais qu’aviez-vous absorbé tantôt ? Ça bouchonne dans les vaisseaux ! Ah, ce calcaire que l’on collationne (qui sommes-nous ?).
De la part du principe qui vous anime et vous prête vie, il vous laisserait bien mourir un jour ; que voulez-vous, c’est notre ennui, et qu’y pouvons-nous, à nous aussi, on en veut à notre envie ! Demandez à entropie !
De la part de tous ces gens, dans un monde considérable, ils avouent qu’ils vous ont construits, et c’est gentil de nous demander qui vous a expérimentés hier, aujourd’hui, en ce moment, à présent, et demain, et plus tard encore ; qu’allons-nous expérimenter au creux de vous, aujourd’hui, le savez-vous ? Votre autographe on le signe bien volontiers, bien qu’il dévoile un peu du leurre où l’on vous a mis… D’ailleurs, où ils sont, vos amis ?

(texte manuscrit – 18 juillet 2021 vers 1h25)

—> [philosophia vitae] du passage

(à relier aux textes abordants le même sujet, dont :
—> 3. « singes savants » : [philosophia vitae] holobionte, (récit électronisé, 18 aout 2021, vers 14h)

« Nous ne sommes que de passage ! »
« N’être que de passage ! »
Percevoir un moment sans âge, et puis partir un jour ou une nuit, pendant un orage, pendant on ne sait trop quoi, ce qui arrivera à force de n’être pas très sage, l’emportera après quelques carnages évités ou accomplis, c’est selon l’overdose de vos envies, la manière dont on a dit oui, et puis plus rien, on passe à une autre péripétie, c’est ça l’ennui…
Sentir infiniment au fond de soi « de n’être que de passage » et cette sensation bien des fois ressenties (a pour conséquence la résurgence) d’un « à quoi bon ? » au creux de votre esprit.
Les mémoires semblent vouloir contrecarrer cette situation, elles régulent la sensation et évitent les suicides collectifs.
Ah ! On dirait bien ?

(texte manuscrit – 28 juillet 2021 vers 17h) ****

—> ajoutements, autour et sur le récit, (pour mémoire)
—> Lettre entête, préalable, préambule, on ne sait plus trop… à joindre avec l’envoi des récits, sous toutes leures formes

Veuillez trouver ci-joint de multiples récits que j’eus à transcrire et assembler ; cela fut réalisé du mieux possible à la mesure des possibilités qui furent données, permise…

Ces récits, probablement de valeur inégale (de qualité inégale, d’intérêt inégal), vous sont donnés là dans cette petite carte « micro-SD » d’une technologie « flash », de la mémoire électronisée…

Ne sachant quoi en faire, véritablement, avant de disparaître comme simple mortel, je vous laisse ceci, faites-en ce que vous voudrez, c’est donné et il n’y a pas de noms d’hommes à greffer dessus (au-dedans des récits, on y explique pourquoi c’est défendu).

Je ne sais pas vraiment évaluer si cela représente quelque chose ayant un intérêt (en dehors du pécuniaire, lui aussi proscrit, vu qu’au-dedans les histoires de fric passent un sale quart d’heure). La fatigue et l’usure du corps ne me permettent plus d’être à même d’évaluer la qualité de ce travail (en grande partie inachevé ; en effet, une vue déficiente et une surdité accrue m’empêchèrent d’affiner les corrections nécessaires). Faites-en ce que vous voudrez, comme je le disais, c’est donné !

Les premiers maîtres d’œuvre de ces récits nous sont initiés par le vivant, sous toutes ses formes, et l’on a exprimé cet aspect parce qu’il nous était demandé comme si la vie (le vivant en nous) nous en avait passé commande. Alors, ces récits incongrus, si nous les résumions succinctement, ce serait comme un compte rendu, offert à ce qui nous anime, une commande terminée et envoyée expédiée à qui veut s’en saisir, puisque nous le disions précédemment : c’est donné, cadeau ! À tous, offerts à qui veut les saisir, ces récits peut-être sans avenir… mais là, je m’en fous ! J’ai accompli ma part de travail et dorénavant, je puis partir en paix vers d’autres horizons, enfin libéré de cette tâche.

Sur la petite carte micro-SD, vous avez (vous y trouverez) tous les documents préparatoires, textes originaux, images, photographies, dessins divers et toutes les sonorités enregistrées de la voix, de l’eau, des oiseaux, du vent, des insectes (et de l’homme aussi, sa grosse voix prétentieuse) d’où sont tirés les sonagrammes et les récits venus pendant la marche (en marchant), l’essentiel des récits furent en quelque sorte écrits en marchant…

Vous trouverez aussi les documents finaux de mise en page au format PDF prêt pour un tirage en imprimerie, le tout faisant plus de 3500 pages environ, au pire, 4000 pages selon que l’on imprime les versions préparatoires ou finales. Ce serait donc comme un compte rendu, un rapport, viatique laissé (abandonné) à la mère (mer)…

Ça parle du mal que nous avons nous les hommes, avec notre milieu, obnubilés que nous sommes, de nous-mêmes ; ce monde peuplé de vivants ne cesse de nous parler, et nous ne les écoutons plus guère bien qu’ils nous construisent et nous alimentent (c’est une impression, serait-ce que l’on nous teste, expérimente, pour voir comment ça fait ?). Nous sommes les enfants d’un monde que nous ne comprenons plus guère et l’expérience que le vivant fait de nous (au lieu de nous libérer nous enferme dans un entre-soi délétère). Non ! Nous ne sommes pas les maîtres de ce monde, il nous construit et nous éduque, il est en nous et en dehors de nous, nous sommes en son dedans.

Ne faisons que ressasser ce que d’autres ont perçu depuis les débuts de notre prise de conscience de ce monde, parce que nous avons été construits de la sorte, par un hasard heureux sans doute, ou malheureux, voire désemparés, le monde ne cesse de se réparer et il nous demande de l’y aider ; et comme un enfant, on nous laisse faire nos premiers pas (nos premières bêtises) ; nous sommes observés de toutes parts, maître de rien du tout, nos illusions nous égarent, saurons-nous les voir ?

Dans un moment d’égarement (peut-être), une rumeur incessante nous guida, probablement afin qu’on laisse ainsi la trace de ces récits, ils m’ont été donnés, je les transcrivis du mieux que je pus, à mon tour je les cède à tous, ceux qui m’animent, l’auteur est la chose même qui nous anime, les auteurs font partie de ce qui nous anime, quelque chose comme ça…

À l’heure où je termine ce dernier récit, toute l’ampleur de mon ignorance me saute à la figure encore plus qu’avant… chacun d’eux, ces récits, n’est qu’une étape, une expérience en cours de manifestation, ajoutant une trace à d’autres traces dans une histoire racontée en train de se dérouler…

(trouvez les arguments, ça ne vient plus…) (dans les désordres de cette usure, la vieillerie, où l’on écrit dès que l’on peut quand un sursaut de lucidité vous le permet)…