(parole en marchant - 14 juill. 2017 à 19h47)
—> 1. « İl », il, lui, dans les rêves nouveaux, 205.
Ce serait donc souhaitable de se dédoubler, pour se répartir les tâches ; oh ! vous trouverez bien toujours le robote, mais, il lui manque des capacités, attendons qu’il puisse encore évoluer ; alors en patientant ce serait préférable de se départager soi-même, de se distribuer le travail, comme l’on pourrait, mais cela semble impossible ; ne peut-il subsister véritablement une communion entre deux êtres que s’ils apparaissent d’origines différentes ; mais, cette formule s’avère bien rare de nos jours (cet idéal) et l’on ne sait si elle existe vraiment, tant les exigences de chacun se montrent rebelles ; que vous soyez homme ou femme, chacun désire acquérir un peu de sa liberté et il faut bien se l’avouer, qu’à un moment ou un autre, l’autre, l’autre, devient emmerdant ! Puis d’arriver à s’en départir, dans un détachement, de nos petites manies détestables ; et… (attention je marche sur une autoroute de fourmis, attention ! ne point les écraser) tout le problème (ah ! accouplement de libellules, de zygoptera). Tout le problème, je me répète, se situe devant cette question, à trouver la meilleure des opportunités que la satisfaction de chaque être (chacun) puisse se concrétiser ; à mon sens, elle ne peut exulter qu’à travers une tâche commune sublimée, partagée également, avec une approche similaire, il ne peut se réaliser entièrement dans les assouvissements d’un amour-propre trop fort, il ne peut que se résoudre dans le don de soi à une occupation qui vous dépasse, certains rencontreront cela, dans de quelconques religions, dans de vulgaires aumônes ; de toute façon, quelque part, l’oubli de soi devient un facteur déterminant, même si l’esprit facétieux ose dire « qu’à force, l’on en pisse sur soi » ; non ! j’affirmerais plutôt qu’on enterre un peu son ego, « son petit gogo à soi » pour aller vers ce à quoi la vie nous assigne au fil des siècles et des décennies, serait-ce de l’altruisme, comme le concrétise peut-être les fourmis dans leurs colonies, de s’adonner à des besognes solidaires ; quoique l’on en voie certaines feignanter, peut-être simplement se reposer ou encore jouer, ce ne serait donc pas une dictature génétique comme certains le prétendent (ref apprentissages des fourmis deviennent en vieillissant tour à tour : soignantes, nettoyeuses, et à la fin exploratrices (ref ?)) ; évidemment, cela semble la meilleure façon de l’appréhender, un quelconque dédoublement, à défaut d’apparaître schizophrène, il ne peut devenir physique comme on l’entend ; de toute façon, nous devrions admettre ce constat exigeant qui nous dit : « tu seras bien seul, mon enfant, et tu devras vivre avec ça ! » Trouver l’âme sœur avec qui tu pourras exulter dans une tâche commune est une chose bien rare, bien rare, et je ne sais si celle-ci existe véritablement.