(parole entre deux sommeils – 19 déc. 2021 à 3h09)

—> notice 3e 4e (ajout)
—> durée originale : 1’59 ; durée après retouches :

(original)
Le « troisièmement » et le « quatrièmement » sont entremêlés, on ne peut les dissocier, il faudra faire avec ! À vous d’en démêler le ressort, ce qui les conjugue, ce qu’il en ressort ! Pour vous faire votre opinion vous devrez lire tout cela, ah, tâche bien ingrate que voilà ; tout est entremêlé, c’est définitif, inexorable !
On ne voit pas comment faire autrement ? Tout se situe dans une chronologie où tout s’enchaîne, viennent peu à peu les choses, s’entrelacent, et pour vous, le temps qui passe à égrainer tout un tas de suites, d’enchaînements, de choses et des autres, dans ce monde d’une complexité certaine… Comment faire autrement quand tout s’enlace ?

(version finale, 23 févr. 2022)
Ici, l’étude se fait aussi dans l’étude, elle étudie ce qu’elle étudie, en faisant des boucles sans cesse accumulées comme dans une pelote de laine, tout au long du fil s’allonge un code d’une génétique en mouvement qui constamment se défile, s’effile, s’effiloche…

Le « troisièmement » et le « quatrièmement » sont entremêlés, on ne peut les dissocier, il faudra faire avec, et essayer d’en discerner les ressorts, ce qui les conjugue, ce qu’il en déborde ! Ah, la tâche bien ingrate que voilà, à dénouer tous ces enchevêtrements ; tout se situe dans une chronologie où viennent peu à peu s’empêtrer les choses, elles s’entrelacent inexorablement ; alors que faire ? Passer le temps à égrainer tout un tas de suites, d’enchaînements, de choses et d’autres dans ce monde d’une complexité indéniable… Comment agencer tout cela quand tout s’enlace ?

Une étude revient souvent à classer les idées en mots, concepts, chapitres, thèmes, catégories, dans des boîtes quelconques ; cette systématicité s’avérant épuisante et isolationniste, il devenait évident qu’il faille tout casser dans cet ordonnancement maladif ; la chronologie naturelle des racontements est dorénavant prioritaire et les classements relégués à de vulgaires mots-clés soulignés et [entre crochets] sous les titres de chaque récit ; les principaux mots-clés deviennent donc :

[philosophia vitae] (où l’on tente de définir la philosophie du vivant qui nous habite, au sens large)
Quelques analyses plus ou moins profondes de vivants s’étudiant eux-mêmes, l’expression de vieux singes pas forcément savants, la recherche d’une expression, le « bon sens » du vivant, ses dérapages, ses erreurs et des outils pour les réparer, comme les gènes.

[considérations philosophiques] (où l’on explore cette philosophie que l’on adopte en tant que vivant)
Au sens large, réflexions de (singes) savants ou non, avis divergents, analyse de nos mœurs (paroles, écrits, discours, conférences, interviews, etc.), comparaisons et variations…

[du robote à la chose]
De l’usage d’outils, des machines aux robotes, ces outillements du vivant, leur fonction, leur état, leur avenir, de l’énergie qu’ils consomment ; leur utilisation à des tâches auparavant effectuées par des vivants humains, ils en deviennent des objets de concurrences, de conflits, comme de biens-faits…

Spécifiquement à chaque chronologie, nous avons :
les récits de mars 2016 à sept. 2017 et leurs synthèses temporelles :
[univers cité nulle part] & [savant fou], [parcours initiatique d’histoire naturelle], comme une jeunesse des récits en apprentissages.
• les récits d’oct. 2017 à 2022 :
À ces périodes se définissaient quelques approches qui furent classées dans un premier temps dans les catégories « philosophia vitae », suivie de « considérations philosophiques », mais très vite, cette temporalité débordait vers d’autres considérations, des narrations sans cesse reliées à celles du « petit chemin » (volume « deuxièmement »), la source de bien des récits ; ajoutons, de multiples racontements en forme d’intermède souvent, des transitions, amenant à parler de ces machineries du vivant, les « robotes » et autres constructions, là où la science des hommes, quand on y regarde bien, n’est en fait que l’ingénierie du vivant dans son entier, ce vivant, sans cesse a recopier les trouvailles des uns, les inventions des autres ; où cela nous conduit-il, vers un inconnu apparemment caché ? Tout ce monde, consommateur d’une énergie terrestre limitée, nous amène à discuter de « la chose » qui nous anime, et de l’idée même des mythes avec les croyances qui les accompagnent ; en conclusion, une synthèse ouverte, ne pouvant se refermer, s’avèrerait probablement nécessaire à la fin des récits…