(texte (??) – vendredi 5 août 2016 à 18:33)

récit obsolète, caduc…

—> ajoutements, autour et sur le récit
—> (le scribe imite un peu naïvement un « auteur », se prend pour l’artiste du moment, ce qu’il n’est pas ! Les maladresses deviennent un amusement, un « voir comment ça fait », d’écrire « artistiquement », il oublie de dire qu’il se ment !)

Au correcteur

Considéré que ce que vous lisez soit comme des notes de musique, c’est avant tout des sons où leur signification est souvent secondaire.
Ce cas de figure est fondamental pour tous les textes poétiques surlignés en bleu et les refrains surlignés en vert et dans une moindre mesure dans les haïkus surlignés en marron. Pour la prose ordinaire qui sera souvent d’ordre philosophique, ces considérations seront secondaires et le sens des mots primera avec la recherche d’une élégance de la phrase.

Dans la langue, des homophones sont fréquents et des confusions phoniques seront le sujet de controverse. Ma prose essentiellement instinctive étant particulièrement attirée vers une musicalité des mots, vous risquez de trouver de nombreuses confusions ou des erreurs dans les textes ayant été peu ou non corrigées.
Vous devez toujours avoir à l’esprit que cette prose dans sa prosodie musicale implique une coloration et un rythme essentiel. Quand vous corrigez un poème, considéré en premier que le poète a tous les droits (dont celui d’inventer des mots et d’en changer leur forme orthographique si cela sert son expression) et que le son de ses mots est fondateur de son dit, vous devez considérer vos corrections en fonction de cela, c’est-à-dire que si vous changez l’orthographe d’un mot vous devez faire très attention à ce que le son de ce même mot ne soit pas changé ou remplacé par un équivalent harmonieux, car cela est à la source du rythme de la phrase, du texte, du récit. Vous changez un de ces éléments et vous cassez l’ensemble, vous cassez le rythme, vous détruisez la mélodie des mots. Il est fondamental que vous considériez cet aspect de mes écrits. Gardez toujours en tête la musique et le rythme des mots du « dit » qui est ici !
Enfin, même si ce qui vient d’être dit que vous semblez quelque peu prétentieux ou intransigeant, voire pédant, ôtez-vous de l’esprit qu’il ne s’agit pas ici d’avoir du talent à la place de l’auteur, mais de servir le talent de l’auteur et s’il en a, ce sera tant mieux et que s’il n’en a pas, il vous en saura d’autant plus le reconnaissant que sous des mots point trop dur, vous lui disiez la vérité. Un texte peut être mauvais et qu’ils ne s’en aperçoivent pas, votre talent sera de le lui faire comprendre pour qu’il y mette du cœur à l’ouvrage et puisse le reprendre, ce sera bien !

—> (maladresses du texte à vérifier)

[note rétrospective du 2 mai 2020 à 15h30]

Comme l’ampleur du récit déborde le cadre même poétique ou philosophique, puisque la lecture appréhende tout sans distinction aucune, reconsidérer le texte précédent en ressortant ce qui change et ce qui reste valable ; statuer sur cette variation !
Il n’y aura pas de correcteur autre que les protagonistes actuels du moment, puisque ce récit sera « vierge » de tout regard, avec ses qualités et ses défauts…