(entendu sur les ondes radio, le 25 févr. 2022, vers 16h)

—> 3e 4e, du robote à la chose

« Des oiseaux enlèvent les balises qu’on leur a posées »

Eh, les hommes ! Ne serait-il pas temps d’apprendre le langage des oiseaux et de leur demander (poliment) où ils vont, au lieu de les « embêter » avec ces objets qu’ils trouvent encombrants, puisqu’ils les enlèvent ? Voire à leur demander la permission de poser une balise (un mouchard), sur leur corps ? Ce ne serait pas plus gentil, non ?

(ajout du 4 mars 2022, vers 19h)

—> 3e 4e, du robote à la chose

Pour construire la machine, comme ce robote ordonnateur, électronisé à souhait, il en faut des machines préalables pour permettre sa construction ! La machine qui construit la machine qui construit la machine qui construit la machine qui construit la machine, etc. cela en fait du monde, et des matières minérales, tous les éléments naturels disponibles sur cette planète, la Terre.
Imaginez, le premier outil que nos ancêtres utilisèrent, il préluda à la conception des outils suivants ; avec ce premier outil, le concepteur original est avant tout ce principe du vivant qui nous anime, et ensuite l’animal utilisant le minéral pour un besoin, pour faire du feu, cuire ses aliments et garder une trace d’un savoir acquit, reproduire ces savoirs, le bois ramassé, abattu, combustible pour le four, pour le feu d’une cuisson, d’un aliment, d’une céramique, poterie d’usage courant, le feu pour fondre le minéral, du cuivre de l’étain, du zinc, du plomb, faire un bronze, du fer, puis de l’aluminium, faire du verre, trouver l’usage d’un ciment, comme auparavant l’on taillait un silex faute de mieux, peu à peu tous ces matériaux, à la base des premiers outils, des premières machines, des premiers ustensiles de la vie courante, peu à peu distribués, copiés, dérobés, casés et reconstruits, améliorés et reproduits à satiété… seule limite, les ressources terrestres, un stock limité a la quantité de matières disponibles…