(texte électronisé - 7 mars 2022 à 12h30)

—> 3e 4e, [philosophia vitae] [considérations philosophiques]

Informations sous-jacentes dont nous ignorons tout !

Du vivant, son fonctionnement, ce qui le construit et l’anime.

Deux aspects extrêmes (en apparence opposés) semblent déterminés à nous élaborer : un déterminisme sous-jacent et une progression aléatoire (on ne trouve pas le bon terme) seraient comme un mixte entre ces deux aspects, où une adaptation permanente, en fonction des aléas des évènements et des conditions physiques ; ils vont de pairs, marchent ensemble.
L’un, le déterminisme, prête à « croire » à une chose de type « divine » ; l’autre obéirait aux conditions aléatoires du moment, d’où l’idée de s’adapter, ce principe qu’on appelle un comportement homéostatique, mais le résultat ne serait que « harsardeux », sans but déterminé ? On ne sait pas ! Le déterminisme serait une tête chercheuse qui essaye de s’en sortir dans un dédale universel, physique et temporel, dont nous ne percevons pas tout. La mesure d’une information colossale construisant cet univers, ses particules et ses lois semblent mues par un déterminisme inconnu, c’est un fait.
De la teneur de ce déterminisme : comme un architecte établi des lois physiques, les bases de notre construction organique, nos briques, atomes, cellules, molécules, etc. toutes parties nous bâtissant ; il reste au-dedans, toujours à moment, la trace d’informations nous construisant : le fameux « plan de fabrique » !

Le déterminisme obéit-il lui aussi à une évolution aléatoire, en s’adaptant au fil du temps ? Cela semble coordonné ensemble, conjoint, cohabitant collégialement, relié, en perpétuel mouvement, en équilibre ; le nœud de cet équilibre tiendrait le principe de cet univers, une variation vers un extrême ou un autre ferait basculer cette sorte de symétrie dans des mondes de toute façon inconnus de nous, quelque chose comme ça ?

Alors, nous ne savons rien, en fait ?

Pas totalement ! Le simple fait d’en parler, révèle un pressentiment, une perception plus ou moins vague, quelque chose en nous nous parle, raconte une histoire ; cela délivre des informations, de celles qui nous construisent comme du reste, ce qui permet notre existence dans cet univers-là, même si nous n’en percevons pas tout (*), évidemment ; il nous informe de son existence.

(*) d’ailleurs, ce serait impossible de tout percevoir, trop d’informations ; le mécanisme est par conséquent fragmenté, à notre mesure, à notre échelle, déterminé volontairement par cette nécessité ? Probablement.

—> idée de sous-titre pour « autour et sur le récit », dans les ajoutements

(parler de ces récits ici, comme de tous les récits venant de partout, prendre ce qui vient, y ajouter quelques liens, dans la mesure du possible, malgré erreurs, imprécisions, flous, prendre ce qui vient…)