(parole en marchant - 23 déc. 2017 à 17h53)

—> 1. « İl », il, lui, dans les rêves nouveaux, 205.
—> Contexte : à propos de lui, le non nommé…

— Mais vous parlez de qui ? De qui en fait ?
— Ah ! Allez donc savoir de qui l’on parle, nul ne le sait, et c’est sûr, on parle de lui !
— Serait-ce la chose ?
— Non ! Il s’agit de lui ! Pas de la chose, ne vous méprenez pas…
— D’accord, mais qui est-il, on voudrait savoir ?
— Ah ! Vous en avez de ces façons de demander ; lisez donc plus loin vous comprendrez peut-être bien ; ne soyez pas pressés de savoir de qui il s’agit, est-ce important en fait.
— Qu’en savez-vous ? Nous voulons comprendre !
— Aaah ! Vous montrer un quelconque intérêt à ce dire-là, naguère, vous l’ignoriez ; et maintenant que l’on parle de lui, ce « il » (en titre « il »), que représente-t-il ce « il » ? Nul ne le sait, à vous de deviner ?

(parole en marchant - 23 déc. 2017 à 17h55)

— Ce « il », n’est-ce donc qu’une île dont on ne dénombrerait pas les aspects futiles, alors au-delà qu’en reste-t-il de cette île si futile, tant il en ressort que l’on puisse l’appréhender en ce bas monde ?