conventions d’écriture et de lecture

> Les récits sont transcrits dans le langage parlé original autant que possible ; les corrections parfois nombreuses sont ajoutées aux textes, en surlignant, barrant, si nécessaire ; tout ceci afin de distinguer le langage inné et sa traduction quand elle oblige à des corrections, à cause d’erreurs, de confusions, d’ambiguïtés, etc.

> Ici aussi, les noms propres rattachés à des humains sont masqués, caviardés ou retirés ; les noms des autres vivants sont mis en majuscule dans une volonté évidente de rabattre le caquet à notre prétention, de nous mettre toujours devant ! Pour une fois…

> Le (snif), dans les récits, est un « snif » de nez qui coule (capté par la machine enregistreuse pendant la mémorisation de la voix), pas un snif de tristesse, même si cela semble le laisser croire parfois. Enfin, si le « snif » est souvent laissé, c’est aussi à cause du rythme (de la marche) !

> Si les récits sonores mémorisés n’ont pas été insérés dans le « deuxièmement », une —> indique où ils ont été placés, exemple :

—> 0. ὕλη, livre des préambules : parodique

sachant qu’une chronologie immatérielle les regroupe tous momentanément sur le site webeux du racontement (voir : ipanadrega.net)…

—> attention : éléments de ponctuations correspondants aux ouvrages papiers ou pdf :

légende des signes placés à la suite des titres

> Le nombre de points gras « • » indique le volume où sont déplacés les récits, du « premièrement » (•) au « cinquièmement » (•••••)

> p : indique le déplacement du récit dans les préalables ou préambules du volume 0 ou ὕλη

> [S] : entre croches, indique la présence de sonagrammes dans les récits…

> [S] (??) : indique une sonorité pas clairement identifiée, sur lequel réside un doute, une incertitude sujette à caution… À ceux qui auront l’information de la transmettre, il sera toujours possible d’ajouter les modifications nécessaires dans une révision supplémentaire des récits…