(parole du jour - 5 nov. 2017 à 12h48)

—> ajoutements, de l’auteur et du scribe

(Original)
Agacé par ces interrogations où l’on demande : « mais quel est donc l’auteur ? » Euh ! Nous allons vous en décrire sa substance de la manière la plus précise qui soit, afin de vous enlever toute interrogation subjective qui pourrait nuire à l’emploi de ce récit, du récit que vous lirez probablement, à se demander parfois si l’on s’intéresse plus à l’auteur qu’à l’écrit qui émergea de sa tête.

(corrigé)
Agacé par ces réclamations où l’on demande : « mais qui est-ce cet auteur ? » Nous allons vous en décrire sa substance de la manière la plus précise qui soit, afin de vous enlever toute interrogation subjective qui pourrait nuire à l’emploi de ce récit, du récit que vous lirez peut-être ou avez déjà lu (avouez-le honnêtement), à considérer parfois si l’on ne s’intéresse plus à lui qu’à l’écrit qui émergea de sa tête.

(ajout du lendemain) (texte electronisé)
Ah ! Ah ! Vous êtes-vous posé cette question à propos de vos interlocuteurs, s’ils demeuraient bien terrestres, humains, animaux, végétaux, enfin tout eucaryote quelconque, voire une bactérie locale, un être de ce monde-là où nous sommes ; vous êtes-vous vraiment interrogé, alors : « d’où vient-il, celui qui me parle ? » Eh bien nous ! nous vous affirmons tout de go que lui, cet écrivaillon de pacotille, est bien un terrien, on vous l’assure, on vous l’assène et l’on vous le prouve : il est né d’un homme et d’une femme !

(Trouver la preuve)

Si ce n’est pas une preuve ça ?

Nous dirions donc, de dans ce récit, l’on discute du vivant, de ces choses qui s’animent autour de vous comme de vous-même puisque vous êtes aussi un vivant. Le sujet de l’ouvrage s’aventure dans ces méandres-là, et l’auteur ne souhaite parler que de ça, pas de lui, surtout pas ! vu qu’il ne s’intéresse pas à lui-même et considère sa personne, insignifiante, absolument !