(parole en marchant – 4 oct. 2017 à 19h21)

—> 5. « ajoutements », de l’auteur et du scribe :

Voilà, en fait l’auteur, comme le narrateur de ce récit, n’a pas besoin d’être reconnu, il ne demande pas à être reconnu, puisqu’il s’efface pour laisser la place, à d’autres que lui, autres que lui… Ah ! je retrouve plus ce que je voulais dire ?
On a que trop déjà raconté des hommes, entre nous, glosé sur nos gloires, nos histoires, tout ça, non ! Là, on s’efface pour laisser la place, au racontement de choses différentes, où le vivant devient le sujet premier, de plus en plus prépondérant, on vous y amène progressivement ; donc, de l’homme, de tout ce qui le compose, de tous ceux qui le nomme, on évite d’en parler, volontairement pour approfondir le propos sur les éléments en dehors de lui, pour qu’évidemment ces choses-là on les épelle pour notre souvenance à nous ; nous ignorons trop les vivants qui nous habitent, toutes ces bactéries qui nous font digérer et tous ces micro-organismes et ces êtres plus gros, qui persistent autour de nous, et dont la plupart du temps nous en méconnaissons la présence. C’est une remémoration de tout cela, car dans les temps plus anciens, l’esprit était moins perturbé qu’il n’apparaisse aujourd’hui, distrait par les moyens d’informations actuels, à cette époque où ils n’existaient pas justement ; là, nous essayons de mettre de côté toute la dimension des hommes, on n’en a que trop parlé ; je me répète volontairement, on ne va l’appréhender… on va l’appréhender progressivement, de plus en plus, ce questionnement du vivant, il dépasse le cadre de son espèce, et l’auteur a priori humain (jusqu’à preuve du contraire), lui s’écarte pour ne pas apporter d’ombre à son récit, le sujet des conversations ne consiste pas à entendre à un moment ou un autre cette interrogation, « qui est-il donc cet auteur ? », on s’en fout ! mais lui, il espérerait plutôt écouter ces propos-là, « que représentent ces vies tout autour, je désire en savoir plus, je veux apprendre à les reconnaître, à cohabiter mieux avec elles ? » C’est en cela que l’ouvrage peut exprimer un raisonnement qui vous interpelle ! Bien sûr, vous trouverez des discours, réfutant cette façon de voir, mais si vous n’y adhérez pas, ne lisez pas cet ouvrage, il va vous sembler indigeste, certes, on ne discute pas de nous exclusivement, mais de toutes les entités vivantes ; on parle des êtres différents de vous, ah ! vous allez être frustrés, vous vous ennuierez certainement, très certainement ! Alors, dans ce cas-là évidemment, ce livre n’apparaît pas fait pour vous, il ne va pas vous intéresser, n’allez pas plus loin et refermez-le, donnez-le à qui voudra bien le consulter, ou utilisez-le pour d’autres usages ; si vous en possédez un à votre disposition, brûlez-le, si vous le souhaitez ; faites en un acte de rébellion face à la vie auxquels vous vous trouvez en opposition, éventuellement, si c’est votre désir ; tous les possibles existent, accommodez-vous donc à ce que vous pourrez…

(version corrigée, peut être améliorer encore !)

Voilà, en fait l’auteur, comme le narrateur de ce récit, n’a pas besoin d’être reconnu, il ne demande pas à être reconnu, puisqu’il s’efface pour laisser la place, à d’autres que lui, autres que lui… Ah ! Je retrouve plus ce que je voulais dire ?
On a que trop déjà raconté des hommes, entre nous, glosés sur nos gloires, nos histoires, tout ça, non ! Là, on s’efface pour laisser la place, au racontement de choses différentes, où le vivant devient le sujet premier, de plus en plus prépondérant, on vous y amène progressivement ; donc, de l’homme, de tout ce qui le compose, de tout ce qui le nomme, on évite d’en parler volontairement pour approfondir le propos sur les éléments en dehors de lui, pour qu’évidemment ces choses-là, on les épelle pour notre souvenance à nous ; nous ignorons trop les vivants qui nous habitent, toutes ces bactéries qui nous font digérer et tous ces micro-organismes et ces êtres plus gros, qui persistent autour de nous, et dont la plupart du temps nous en méconnaissons la présence. C’est une remémoration de tout cela, car dans les temps plus anciens, l’esprit était moins perturbé qu’il n’apparaisse aujourd’hui, distrait par les moyens d’informations actuels, à cette époque où ils n’existaient pas justement ; là, nous essayons de mettre de côté toute la dimension des hommes, on n’en a que trop parlé ; je me répète volontairement, on ne va l’appréhender… on va l’appréhender progressivement, de plus en plus, ce questionnement du vivant, il dépasse le cadre de son espèce, et l’auteur a priori humain (jusqu’à preuve du contraire), lui s’écarte pour ne pas apporter d’ombre à son récit, le sujet des conversations ne consiste pas à entendre à un moment ou un autre cette interrogation, « qui est-il donc cet auteur ? », on s’en fout ! Mais lui, il espérerait plutôt écouter ces propos-là, « que représentent ces vies tout autour, je désire en savoir plus, je veux apprendre à les reconnaître, à cohabiter mieux avec elles ? » C’est en cela que l’ouvrage peut exprimer un raisonnement qui vous interpelle ! Bien sûr, vous trouverez des discours, réfutant cette façon de voir, mais si vous n’y adhérez pas, ne lisez pas cet ouvrage, il va vous sembler indigeste, certes, on ne discute pas de nous exclusivement, mais de toutes les entités vivantes ; on parle des êtres différents de vous, ah ! Vous allez être frustrés, vous vous ennuierez certainement, très certainement ! Alors, dans ce cas-là évidemment, ce livre n’apparaît pas fait pour vous, il ne va pas vous intéresser, n’allez pas plus loin et refermez-le, donnez-le à qui voudra bien le consulter, ou utilisez-le pour d’autres usages ; si vous en possédez un à votre disposition, brûlez-le, si vous le souhaitez, faites en un acte de rébellion face à la vie devant laquelle vous vous trouvez en opposition, éventuellement, si c’est votre désir, tous les possibles existent, accommodez-vous donc à ce que vous pourrez…