—> 1. « İl », peregrinatio, livre 2 : 71. [∂] videre

(texte (??) – 11 déc. 2013 01h43)

vox – la voix
videre – la vue
sudorem – la sueur
cutis – la peau

la vue des lointains et va naissant
le regard affairé aux idées apaisées
voit donc ce que la lumière t’apporte
ses couleurs où noie ces myriades de clin d’œil
sur le mur et dans d’étranges lointains
lire donc le petit message des ondes métaphysiques
du phare éblouissant les fous
aux aveugles la bonne fortune
qui leur dit : ceci est où ?
moche comme l’époux
marié à une folle qui voie tout
navrée de voir ainsi la peinture du monde
frelate les rives et les anses au port du crachin doux
écume des berges, râle des assassinations où dégorges
des criminels au regard glauque
vous faire tout un cinéma
tu as vu donc !
tait-toi donc alors
lui cri l’aveuglante écharde qui l’abomine
aux yeux bavant des larmes interminables
sur la réalité ?
masque la dur vérité des réflexions atomiques
un immense amas de vide et des forces cosmiques
aussi loin que porte le « tu vois ! »
illusionnes un air magique qui habille le monde

(version – 29 nov. 2014 00h56)

vox – la voix
videre – la vue
sudorem – la sueur
cutis – la peau

la vue des lointains et va naissant
le regard affairé aux idées apaisées
voit donc ce que la lumière t’apporte
ces couleurs où se noie des myriades de clin d’œil
sur le mur et dans d’étranges lointains
lire donc le petit message des ondes métaphysiques
du phare éblouissant les fous
aux aveugles la bonne fortune
qui leur dit : ceci est où ?
moche comme l’époux
marié à une folle qui voie tout
navrée de voir ainsi la peinture du monde
frelate les rives et les anses au port du crachin doux
écume des berges, râle des assassinations où dégorges
des criminels au regard glauque
vous faire tout un cinéma
tu as vu donc !
tait-toi donc alors
lui cri l’aveuglante écharde qui l’abomine
aux yeux bavant des larmes interminables
sur la réalité !
masque la dur vérité des réflexions atomiques
un immense amas de vide et des forces cosmiques
aussi loin que porte le « tu vois ? »
illusionnes un air magique qui habille le monde

videre – la vue (2017)

(version – (??))

videre

La vue des lointains évanescents d’un regard affairé, aux idées apaisées, observe donc ce que la lumière t’apporte, ces couleurs où se noient des myriades de clins d’œil, sur le mur et dans d’étranges perspectives, lire alors le petit message des ondes méta physiques du phare, éblouir les foules, aveuglant leur bonne fortune, qui leur dit « ceci est où ? » Moche comme l’époux marié à une folle qui voie tout navré d’apercevoir ainsi la pein ture du monde frelater les rives, les aisances du port, avec son crachin doux, écume les berges, râle pour que nous assassinassions correctement des criminels au regard glauque, exécutant tout un cinéma, tu as observé donc ? « Nettoie encore ! » s’écrie l’aveuglante écharde qui l’abomine, à ces yeux où bavent les larmes interminables de la réalité immonde ; masque ironique de la dure vérité des réflexions atomiques, une immense zone de vide et d’apparence, forces cosmiques indicibles, aussi loin que porte le « tu vois ? » illusionne un air magique qui habille le monde. Et cætera, et cætera.

(version finale)

71. [∂] videre
La vue des lointains évanescents, d’un regard affairé aux idées apaisées, observe donc ce que la lumière t’apporte, ces couleurs où se noient des myriades de clins d’œil, sur le mur et dans d’étranges perspectives, lire alors le petit message des ondes métaphysiques du phare, éblouir les foules, aveuglant leur bonne fortune, qui leur dit « ceci est où ? » Moche comme l’époux marié à une folle qui voit tout navré d’apercevoir ainsi la peinture du monde frelater les rives, les aisances du port, avec son crachin doux, écume les berges, râle pour que nous assassinassions correctement des criminels au regard glauque, exécutant tout un cinéma, tu as observé donc ? « Nettoie encore ! » s’écrie l’aveuglante écharde qui l’abomine ; à ces yeux où bavent les larmes interminables de la réalité immonde, masque ironique de la dure vérité des réflexions atomiques, une immense zone de vide et d’apparence, forces cosmiques indicibles, aussi loin que le « tu vois ? » l’illusionne d’un air magique qui habille le monde. Et cætera, et cætera.