(parole en marchant - 4 mai 2016 à 17h23)
—> 1. « İl », peregrinatio, livre 3 : 104. [z G] les dictateurs ne sont pas des héros
(récit original) (censuré)
à ajouter
(version)
(Vous devrez peut-être supporter mes innombrables superlatifs injurieux et mes adjectifs facétieux peut-être trop répéter, pour vous décrire la chose)
Ne reproduisons pas les mêmes erreurs du passé, celles de ces conquérants, comme le teigneux G…., le prétentieux A… qui se croyait grand, ou le N… rageur, ils n’ont réalisé que des choses imbéciles ; ils se voyaient en de prestigieux seigneurs, se prenaient pour des dieux, n’aimaient pas être vexés, c’était ni plus ni moins des dictateurs ; ils représentent ces héros inutiles fomenteurs de désastres qui n’auraient pas dû exister, ne les vénérer pas, c’était surtout des idiots, ils ont égaré leurs semblables dans des guerres superflues et absurdes ; la conquête devrait se réaliser à travers le salut de l’autre peuple voisin, par des échanges, par des apprentissages communément admis et répertoriés, partagés.
À propos de tous ces mots, que je cite maintenant : roi, reine, empereur, monarque, souverain, seigneur ; ils n’illuminent qu’un imaginaire offert à l’esprit, ils apparaissent comme des intitulés abusifs, et demeurent la marque arbitraire de certains qui les ont inventés à leurs propres fins pour se différencier du peuple commun qu’ils adorent gouverner, ils ont ajouté ce titre à leur règne pour couronner le tout ; pour le mot « reine » utilisé pour distinguer celle qui pond des autres, chez les abeilles ou les fourmis, il eut été préférable de les appeler des « mères », terme infiniment plus noble et juste, j’ironise !
Ou l’homme essaye de les accaparer à ses propres fins, et désire usurper le pouvoir que lui donne la vie, mais cela se peut-il ? N’a-t-il pas compris que cela est un leurre, où derrière s’y trouve une manigance qu’il n’a pas saisie ?
Quant à l’homme, il apparait bien jeune et réalise toujours beaucoup d’erreurs ; admirez plutôt les gens qui ont tenté d’apporter le bien, l’échange, la connaissance, les savants, les philosophes, certains poètes, certains artistes ; de même, détenez-vous la certitude que le Christ était un brave homme, et que par certains aspects il semblait quelque peu fanatique ! Pourquoi donc vénérez-vous ces êtres au comportement stupide ? N’en édifiez pas une idole ou un dieu, ce serait une grave erreur, elle vous égare, elle vous apeure et n’apporte que des guerres des conflits, est-ce bien utile ? Que cela vous rapporte-t-il de vous battre, de vous combattre sans cesse, n’en avez-vous point assez ? Je vous revois mon enfance dans la cour de l’école, toi là que je nomme, tu voulais être le meneur, désirais être le chef, tu n’admettais pas que l’on te donne des ordres et tu imposais les tiens aux autres ; mais que représente donc cette science, que t’apporte-t-elle ? Tu aspires à diriger le monde, tu prémédites une gloire à travers la crainte de toi, au lieu de susciter de l’admiration à cause d’un savoir, une éloquence, la compassion, ton ingéniosité à progresser dans ce monde, à aider ton prochain ; une autre manière de se réaliser encore aujourd’hui, inventer des choses nouvelles, des concepts innovateurs, trouver la meilleure des pertinences, s’accommoder à la plénitude des sujets, dans l’avenir d’une vie, vous n’en avez plus, il reste très vaste, infini ; de la guerre, n’en ressors qu’une distraction de la destruction, n’apparais pas glorieuse, inexorable, petite infime, elle n’apporte qu’une fin, un arrêt, un échec, un désastre permanent ; quand je me mets en colère, c’est contre moi-même plus que contre les autres, selon l’incapacité à résoudre ce problème, car je m’en sens insignifiant ni à la hauteur, énervé que je me trouve du moment, de cet agacement de cet objet qui ne fonctionne pas, de cette machine qui n’obéit pas, j’ai de mauvaises idées qu’on m’a mise dans la tête ; qu’elle dépasse mon entendement et que je perde la raison…