(parole du jour - 17 avr. 2016 à 12h16 & 12h18)

(la parole originale est maladroite, comme l’innocence de celle d’un âge qu’il eut hier, quand on a vingt ans…)

(version corrigée)

Je dirais sur l’art « des grandes gueules » ; je déclarerais à propos de ceux-là, du journaleux qui coupe la parole à tous ceux qu’ils interrogent, ce qu’on appelle « les grandes gueules » ; cela vient souvent du fait qu’ils possèdent une voix puissante et interrompent à tout bout de champ autrui pour imposer leurs arguments ; cette manière d’agir a pour conséquence qu’on les retient plus que les autres ; cette tendance les pousses à devenir des meneurs, des chefs, des forts en gueule, alors que leur raison ne s’avère pas forcément la plus opportune, ou manque de modestie, suscitant un ego démesuré qui peut provoquer des guerres !