(parole en marchant - 14 mars 2017 à 19h30)

—> 1. « İl », peregrinatio, livre 3 : 100. [z G] devenir un dictateur, qu’est-ce qui lui prend…

(récit original)
Il disait « moi moi moi moi ! » pour se convaincre lui-même, sur quelque chose qu’il n’éprouvait pas vraiment, une sorte d’ego surdimensionné qu’il ne comprenait pas vraiment, il disait « c’est la façon d’être pour imposer une vue, avoir un ego surdimensionné » (snif) ; c’était le mécanisme du vivant que le vivant avait inventé pour qu’un être, sous une forme, un charisme quelconque, ou d’une autre opportunité tel que la force puisse en imposer aux autres… puisse en imposer aux autres, c’était le mécanisme ! Alors, il s’y soumettait et donnait des arguties correspondantes au mécanisme…
(un oiseau au cri strident répète comme une alerte, sa mélodie « tii tii tii tii ! »)
… ne s’en émouvait pas plus que cela, puisqu’il devait convaincre et vaincre son effrayante timidité à corrompre et salir autrui, à dégrader, trahir et pourfendre un quelconque ennemi ; ennemi d’ailleurs, dont il ignorait tous les tenants et aboutissants, ne sachant encore pas trop ce que cela voulait bien dire au fond de lui. Eh bien oui, il ne haïssait décidément pas ! (snif) ce n’était pas sa moindre tare, on lui demandait de haïr une bonne fois pour toutes, comme un pet lâché, cela lui ferait du bien. Eh bien, non ! Décidément, cela ne venait… cela ne venait pas, il était constipé de cela ! Intransigeance de son esprit ou qualité d’une vie, qui décidément ne voulait ou pouvait faire autrement, il s’y résoluait (résignait) à ce sort qui lui était apporté au bout d’une main, au bout de son chemin ; il s’emportait là, y allait gaillardement, il verrait bien ! Il expérimentait encore une fois par ces devants-là, d’une quelconque aventure dans les désordres d’un monde, sa villégiature…
(à la fin, l’oiseau rouspète !)