(parole en marchant – 13 mars 2017 à 18h56 & 18h57)
—> 1. « İl », peregrinatio, livre 3 : 101. [z G] pourquoi une dictature ?
(récit original)
… c’est selon que vous soyez analphabètes ou instruits, bêtes ou nantis, selon que votre opinion soit revêche ou soumise ; il y avait toutes les variations possibles d’un imaginaire…
(ajout)
Si l’on ne peut imposer par la force un quelconque bonheur, que l’on impose avec cette même force, avec opiniâtreté, tous les éléments d’un travail qui pourrait bien nous l’apporter ; idée massive de son rêve très ordonné, il ne peut s’empêcher de prendre dans cette mémoire si invasive ; que ne lui avait-on pas mis au-dedans, qu’il y puisait avec acharnement toutes les élucubrations d’une vie si entreprenante, fourmillements innombrables des sols et des mers, sur cette boule, à vrai dire, quoi de plus terrestre ?
…
(parole en marchant – 13 mars 2017 à 19h02)
(récit original)
Il s’adressa un jour à ce vieil homme, qui ne fut pas toujours sage et qu’il connaissait un peu ; eh, s’adressant à lui, lui exprima son idée d’une dictature nouvelle, d’un nouveau genre… Ou d’imposer des idées neuves, mais tout aussi dictatoriales que les autres, et dont leur essence était… d’une manière différente, d’asservir les hommes, il voulait essayer cela, par on ne sait quelles tentatives…
(autour de lui, quelques oiseaux [dont un Pinson], se foutent bien de ce qu’il raconte, d’ailleurs, ils se moquent un peu de ce narrateur régulier, et comme il semble un peu en peine, ils lui lancent quelques idées opulentes…)
Il s’adressait à quelques relations, pour tenter de comprendre comment son idée nouvelle à ses yeux allait être appréhendée, ressentie… « C’était une expérience de nantis », diront certains ; il n’était nanti que d’une intelligence certaine quelque peu niaise, on le dit, mais dénuée de ce qu’on appelle « la cruauté ! »