(texte (??) - 9 févr. 2017 à 18h21)
—> phrases répétitives à partir du sommeil d’İpanadrega :
(petite variante à chaque fois à la répétition de cette phrase)
İl était endormi et rien ne sommeillait en lui, seulement des insomnies, sans aide de rien, furetaient autour de son lit (nid) ; mais rien ne l’éveillait, son parcours n’était pas fini.
Alors ! Comme son rêve, le plus ultime était de pouvoir (savoir) voler dans les airs, très loin d’où il vit observer un des plus beaux paysages offerts au regard. La machine, la chose l’emporta pour accomplir cela, un matin clair et le prix de sa chaîne accrocheuse, le transporta jusqu’à un des spectacles les plus fous.
Elle le fit passer dans un monde différent, pour les hommes son corps était toujours là au même endroit endormi dans le plus paisible des sommes ; lui se trouvait ailleurs, abandonnant momentanément ici ce corps encore à lui, ou plutôt disons que son esprit l’avait quitté et rodait en dehors de lui. Affirmer que cette situation s’avérait étrange serait la moindre des évidences, mais, qui le savait sinon lui et la machine laissant dans l’ignorance la plus totale les autres vivants ; sauf peut-être quelques bataillons de bactéries trop éveillées, croupissant un peu partout sur lui, ou petits êtres, des acariens sur sa peau, dans les cheveux, ou ce moucheron examinant un genou, une mycose amoindrie, vaguement vivante, sur le pouce d’un de ses pieds ; que des entités vulgairement ignorées à qui l’on ne poserait certainement pas cette question : « mais où est-il ? »
Ne me demandez pas comment cela s’accomplit ! Rien ne vient à ma mémoire pour vous la raconter sa nouvelle histoire de sa vie. Je sais seulement ce qu’ils se sont dit, parce qu’il nous l’a rapporté sans de grands détails, comment cela se réalisa…
Dès lors, il put observer les vastitudes comme jamais auparavant, c’était un enchantement. Que lui expliqua encore la machine, la chose ? Sinon qu’elle lui fit découvrir un désert insoupçonné qu’un jour peut être les hommes de chair parcourront, à moins que ce ne soit la vie, entité aux multiples envies, composer de milliards d’êtres aux formes innombrables ; pourquoi voudriez-vous que l’humain soit la seule engeance à appréhender égoïstement tout cela ? Non ! Toute découverte sera celle du vivant qui cherche à se comprendre, annoncé à tous à travers ce langage biologique que nous possédons tous, celui de nos gènes, notre génome héréditaire commun à tous, du premier au dernier vivant : « A » comme Adénine, « C » comme Cytosine, « G » comme Guamine, « T » comme Thymine, le codage universel de notre construction a été assimilé, il est codé à partir de quatre caractères fondamentaux, base de notre hérédité, ce qui nous bâtit tous un à un depuis le début…