(parole en marchant – 17 mars 2017 à 20h06)

—> 1. « İl », peregrinatio, livre 4 : 137. [☀ o] (suspicions oniriques)

les dictatures financières

(récit original)
Ne pas oublier d’ajouter aux fessages de la chose, les dictatures financières, ces gros pleins d’sous qui fomentent les guerres et les dictateurs les finance. Ne pas les oublier, ils sont dans l’ombre, mais ils sont bien là ; ils veulent mener le monde à leur seule fin, alors qu’ils ne savent pas qu’ils courent à leur perte (expliquer cela). La chose va s’en occuper, gaillardement, sans empressement, par fessage mesuré, tendrement fesser le milliardaire, et le reposer pour qu’il s’assagisse ; eh, de ses « sous sous » les déposer là où l’on en a besoin… Ou les brûler, si l’on n’en a plus besoin !

(version)
Ne pas omettre d’ajouter aux fessages de la chose, les dictatures financières, ces vastes structures pleines très argentées, on le sait, fomentent les guerres et sponsorisent les tyrans. Ne pas les oublier, ils restent dans l’ombre, mais ils demeurent bien là ; ils veulent mener le monde à leur seule fin, ne se rendent-ils pas compte qu’ils courent à leur perte (expliquer cela). La chose va s’en occuper, gaillardement, sans empressement, par fessage mesuré ; oh ! tendrement, fessez le milliardaire et reposez-le, pour qu’il s’assagisse ; puis, de ses « sous sous » les apporter là où l’on en a nécessité… Ou encore, les voler puis les brûler, si l’on n’en a plus besoin !
Ce n’est pas un billet qui nourrira les ventres creux, mais plutôt un quelconque pain ou du riz, un fruit cueilli à un arbre, enfin les vraies sources de vie, le reste n’est qu’affabulation financière…
Mais…

(parole en marchant – 17 mars 2017 à 20h14)

vers quelle dictature se tourner

(récit original)
Après (l’arrivée de) la chose et tous ces débordements, les gens me savaient plus trop vers quelle dictature se tourner (militaires ou financières) ; celle d’İpanadrega de lui, sentait plus mauvais, sentait-elle aussi mauvais que les autres, nul ne savait, on ne savait plus à qui se fier et les rois de la finance, toutes ces dictatures qui y étaient au bout financées en partie pour opprimer gaillardement, virevoltait, se cachait pour ne point être fessée par la chose qui les traquait perpétuellement ; à cet amusement quand il était vu filmer, ça allait de l’étonnement aux rires, à l’insulte, aux lassitudes, quand cela se répétait continuellement, plus personne ne s’en égaillait, car ils n’y voyaient aucun changement, et la chose qu’on n’arrivait pas à discerner qui sans cesse fessait fessait ! mais il ne semble pas, elle ne semblait pas inclinée les hommes à d’autres mesures, c’était étrange ! elle leur disait à travers ce fessage ordonné et régulier, « mais arrêtez donc vos folies ! arrête donc de dictaturer ! », mais non ! cela continuait, on se cachait ; les savants essayaient de la détecter quand elle arrivait ; les dictateurs vivaient dans l’ombre, dans des souterrains ; les banques ouvraient des guichets (pour leur clientèle) où leurs directeurs ou leurs promoteurs ne se montraient point (plus), ou en catimini, dans des zones où la chose n’irait point ; le monde prenait un curieux tour, une curieuse organisation se montrait et faisait jour ; deux blocs se montraient, entre l’extrême pauvreté des uns et l’extrême opulence des autres, se trouver au milieu des quelques larbins qui ne savait vraiment plus à qui se vouer, tout était fait pour semer le désordre et toutes associations sans cesse réprimées (par les autorités sous influences des dictatures militaires ou financières) ; la machine n’y suffisait plus, la chose n’y suffisait plus, il eut fallu qu’elle soit plus nombreuse, mais elle était seule, elle était une à la fois, bien qu’elle se déplace très vite d’un endroit à l’autre, elle n’y suffisait plus ; et de son intervention, à chaque fois, nulle ne s’en étonnait plus, c’était curieux cette lassitude, pourtant ces fessages étaient si étonnants au début !

(version)
Après l’arrivée de la chose et de tous les débordements qu’elle impose, les gens ne savaient plus trop vers quelle dictature se tourner, la militaire ou financière. Celle de lui, précédemment (le « İl » du racontement) aurait-elle senti plus mauvais, voire pué autant que les autres, nul ne put le dire ; on ne trouvait même guère plus à qui se fier et les rois du négoce, tous ces despotes qui s’avéraient au bout du compte, commandités en partie pour opprimer gaillardement, virevoltaient sans cesse, ils se cachaient soucieusement, afin de ne pas être attrapés puis fessés par la chose, elle les traquait perpétuellement ; au début, cela apportait un amusement quand ils étaient découverts ou filmés, ça allait de l’étonnement aux rires, quelques insultes par moment, puis aux lassitudes, chaque fois que cela se répétait continuellement, plus personne ne s’en égaillait, car ils n’y voyaient aucun changement ; cette chose que nulle autorité n’arrivait à discerner et qui sans cesse fessait fessait ! mais elle semblait peu incliner les hommes à vivre une autre aventure, c’était étrange ! Elle leur ressassait à travers ce fessage ordonné et régulier : « mais arrêtez vos folies ! Cessez donc vos dictatures ! » Mais non ! cela continuait, continuait, « alors on se cache ! » disait les despotes ; les savants essayaient bien de la détecter quand elle arrivait ; les tyrans subsistaient dorénavant dans l’ombre, dans des souterrains ; les banques ouvraient rarement des guichets (pour leur clientèle) où leurs directeurs comme leurs promoteurs ne se montraient guère plus, ou en catimini, seulement dans des zones où l’on demeurait sûr que la chose n’irait point ; le monde prenait un curieux tour alors une organisation insolite se préparait et faisait jour ; deux blocs s’opposaient entre l’extrême pauvreté des uns et l’extrême opulence des autres, qui se trouvait au beau milieu à servir quelques larbins ne savait vraiment plus à qui se vouer, tout était agencé pour semer le désordre et toutes associations sans cesse réprimées (par les autorités sous influences des dictatures tour à tour militaires ou financières) ; la machine n’y suffisait plus, la chose pourtant n’arrêtait pas, aurait-elle dû être plus nombreuse, mais elle était seule, elle n’était qu’une à la fois ; bien qu’elle se déplaçait très vite d’un endroit à l’autre, elle n’y arrivait plus ; et de son intervention, à chaque épisode, nulle ne s’en épatait plus, c’était curieux cette lassitude… pourtant ces fessages se montraient si étonnants au début !