insignifiance du petit grouillot (discours)
—> 3. « singes savants », philosophia vitae :
Insignifiance du petit grouillot, ce travailleur répare et rationalise la technologie matérielle de ceux qui l’utilisent. Il permet à ces derniers de réaliser leurs œuvres, leurs façons… l’un ne va pas sans l’autre ! C’est tout ! Eux-mêmes rassemblent une symbiose bactérienne et cellulaire d’êtres associés pour le déplacement de la carcasse de ce vivant prépondérant. Ce n’est pas parce qu’il se montre le plus voyant, l’homme, comme l’éléphant ou la baleine, croyez-vous qu’il maîtrise tout, il n’est que le fruit d’une organisation sous-jacente d’êtres infimes indispensables à son métabolisme, à sa persistance. Le tout reste relié à un programme « génétique », transmettant une information, un conditionnement de forme de sens et d’orientation, tout cela permet à la chose ainsi formée de s’animer.
Elle n’existe pas la formule. Tout est dans tout, il suffit d’outrepasser le temps ! Plus facile à dire qu’à accomplir, me répondriez-vous, mais non ! tout se trouve déjà bâclé par d’autres que nous, des entités en dérivent, loin de tout, même s’ils habitent au-dedans de nous ; vous n’avez qu’à décoder, voilà tout !
Ils n’ont pas tout compris à cause de leur cerveau mou. Le monde paraît bien multiple. Ce sont des angles, des points de vue, tous pointent vers le même sujet (objectif), seul le biais change ; l’information fuse, il ne reste qu’à la mémoriser, tout ne peut être perçu immédiatement, devenez patients ! Là réside la clé.
La violence des hommes demeure une violence du vivant, un mécanisme inhérent à sa logique. En disant cela, je ne l’oublie pas, je suis « du vivant qui exprime cette perception. »
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le vivant forme une organisation
(texte manuscrit fin 2017)
Le vivant forme une organisation animée de particules élémentaires de l’univers, dont l’atome, ce montage spécifique et commun partout où les sols sont refroidis, en dehors des étoiles donc, là où tout se fabrique.
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il représentait son propre laboratoire
(texte manuscrit fin 2017)
—> (probablement à déplacer vers livre 4 ou détachement)
Il représentait (était le cobaye de) son propre laboratoire ; des expériences, il n’en usait pas toujours à son avantage, il éprouvait sa présence, sa consistance, son endurance, mais une attention profonde fera remarquer à l’observateur un peu curieux : la distance qu’il mettait à tout comme pour se préserver ; ou plutôt on le comprendra plus tard, à protéger les autres de sa personne. Il tenait à ce que l’on retienne de lui qu’une insignifiance, sa défiance envers les sentiments de sa nature trop exacerbée. Une méfiance, que cela ne lui serve à rien ou nuise à son avenir, de là à trouver des liens, qui le rattachent à une humanité trop présente sur cette planète. Il la considère épuisante leur volonté de toujours en tout vouloir dominer ! Même dans leurs jeux, donner aux enfants, était de cette façon, à désirer sans cesse devenir le maître…
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la conformation du vivant
(texte manuscrit fin 2017)
La conformation du vivant ne cherche-t-elle pas à quitter ce corps vieillissant ? Son but au final ne serait-il pas de n’exprimer que de l’information, immatériel ? Ou serait-ce, à force d’agiter le tas d’atomes nous construisant, qu’ils deviennent lassants et pesants, d’une souplesse toute relative ?
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procaryote + virus
(texte manuscrit fin 2017)
—> (à développer)
Procaryote + virus + bactériophage <– être préalable précaryotique ?
particules
matière
pré vie -> virus
procaryote
eucaryote
cyborg
Transfission informatique
