(parole entre deux sommeils - 26 déc. 2017 à 4h28)
(à finir mise en forme)
(version)
Comme l’araignée tisse sa toile, le robote faisait de même, avec toutes les choses électrisées, ou ses mémoires électronisées qui sévissaient un peu partout ; il ouvrit des comptes d’utilisateurs, se faisant passer pour un client (humain) quelconque, ou il savait indirectement pirater certains accès sans que l’on s’aperçoive de sa présence (son intrusion), il avait simplement besoin d’utiliser les processus, les mécanismes de ces mémoires, de ces informatisations qui lui permettaient de fonctionner, de s’élaborer ; si on lui coupait une entrée, il savait à travers cette toile, atteindre le même endroit d’une autre manière, il y avait toujours une façon d’atteindre l’outil qui lui était nécessaire ; en cela le robote, par un heureux hasard, avait su élaborer les processus adéquats à cet entendement d’automatisation…
(Il répétait le processus de la vie, à travers ses mécanismes)