—> 1. « İl », peregrinatio, livre 1 : 56. [∂] vox

(texte (??) – 30 sept. 2013 à 1h31)

(récit original)

vox – la voix
videre – la vue
sudorem – la sueur
cutis – la peau

La voix a des crissements changeant avec les dents
Elle se love au bout du vent
Enveloppe charmante parfois laide dès qu’on l’entend
Relevant d’une des plus importante oraison que l’homme aille subi
son sens suffisamment développé pour qu’il y place sa loguoré
et ses petits message du bout des doigts disparus
pour enfin se disloquer dans ce gaz tout enveloppant
porteur de poussières des senteurs les embruns du moment
la parole et ses vents
la purée immonde de nos jours
je te respire tu me respire nous nous respirons
la folle aubaine du respirons nous
les énergies farouches transmises bout à bout
un pâle ectoplasmes entre et nous met à genou

vox – la voix (2014)

(version – 30 oct. 2014 à 23h30)

La voix a des crissements changeant avec les dents
Elle se love au bout d’un souffle errant
Enveloppe charmante parfois laide dès qu’on l’entend

Relevant d’une des plus importante oraison que l’homme aille subi
son sens suffisamment développé pour qu’il y place sa logorrhée
et ses petits message du bout des doigts disparus
pour enfin se disloquer dans ce gaz tout enrobant
porteur de poussières, des senteurs, les embruns du moment
la parole
et ses bavarderies de gens
la purée immonde
de nos jours
je te respire
tu me respire
nous nous respirons
la folle aubaine
du respirons nous
les énergies farouches
transmises bout à bout
un pâle ectoplasme
entre vous et nous
met à genou
quand vient à poindre l’ouragan pas si charmant
vous disiez
j’ai eu vent de vous…

vox – la voix (2016)

(version – 1 nov. 2016 à 15h55)

56. [∂] vox

La voix a des crissements changeants avec les dents, elle se love au bout d’un souffle errant, enveloppe charmante, parfois laide, dès qu’on l’entend, relevant de l’une des plus importantes oraisons que l’homme ait subies, son sens suffisamment développé pour qu’il y place à gorge déployée, ses petits messages du bout des doigts disparus, ajoutant une virgule à l’expression, pour enfin se disloquer dans ce gaz tout enrobant, porteur des poussières, des senteurs, les embruns du moment, la parole et ses bavarderies de gens, la purée immonde de nos jours, du je te respire, tu me respires, nous nous respirons, la folle aubaine du respirons-nous, les énergies farouches transmises bout à bout, un pâle ectoplasme entre vous et nous, met à genoux quand vient à poindre l’ouragan pas si charmant, vous disiez « j’ai eu vent de vous ? » Et cætera, et cætera.