(texte (??) – 14 oct. 2016 à 17h25)

—> 1. « İl », prolegomena, studium : 26. [L] lyrisme bidon, de lui

(version éditions 2017, p. 79)

Étrange cérémonie des hommes, où la plupart s’adonnent à des tâches non aimées ; ce qu’il en reste s’avère amusant, cette usure renommée maintenant, appelée le travail, a dans bien des contrées pour origine un mot désignant la torture ; devenue la corvée obligeante, d’une pitance nécessaire, et pour une idée, « survivre » ; aujourd’hui, le voilà donc rémunéré, cet échange forcé, où l’on se chamaille toujours pour un bout de gras, pour un peu plus grappiller à l’autre, sa part négociée ; et peut-être l’apprécier un jour, ou pour d’autres, plutôt ne pas se le faire voler son labeur tant déploré. İpanadrega y voyait là le désastre de la mésentente perpétuelle, ce qui le navre et le fatigue irrésolument ; comme les autres, pour un croûton de pain, il devait financer (douce litanie des banques) sa banale subsistance, son futur, sa charpente la nourrir, parce qu’il faut bien vivre ! Alors, du travail il en trouva, pour permettre tout cela et avancer un peu plus vers un lendemain moins besogneux.

(version finale)

Étrange cérémonie des hommes, où la plupart s’adonnent à des tâches non aimées ; ce qu’il en reste s’avère amusant, cette usure renommée maintenant, appelée le travail, a dans bien des contrées pour origine un mot désignant la torture, devenue la corvée obligeante d’une pitance nécessaire, pour une idée, « survivre » ; aujourd’hui, le voici donc à préparer les conditions de sa transaction rémunératrice, cet échange forcé où l’on se chamaille toujours pour un bout de gras, pour un peu plus grappiller à l’autre qui paye, sa part négociée ; et peut-être l’apprécier un jour, ou pour d’autres, plutôt ne pas se le faire voler, son labeur tant déploré. İl y voyait là le désastre de la mésentente perpétuelle, ce qui le navre et le fatigue irrésolument ; comme avec ses semblables, pour un croûton de pain, il devait financer (douce litanie des banques) sa banale subsistance, son futur, sa charpente, la nourrir, parce qu’il faut bien vivre ! Alors, du travail il en trouva, pour permettre tout cela et avancer un peu plus vers un lendemain moins besogneux.