(parole en marchant – 6 sept. 2016 à 19h55)

—> 3. « singes savants », à l’univers cité nulle part : au génie fou

Effectivement, le savant fou professait dans un univers cité de nulle part, l’on ignorait de prime abord, d’où il put venir ni quoi vraiment il avait à y enseigner, cette grande divagation des approximations possédait tout ce qu’il faut pour lui plaire et l’attirer ; c’est même à cause de cette originalité à s’affirmer de nulle part, allant dans un monde tout aussi hagard qu’il (le « il » du premièrement) choisit cet univers non citer, pour y finir oui ses études, les marquer d’un sceau singulier qu’il ne manquerait pas de citer, au hasard de sa thèse, s’il en venait à l’exprimer un jour ou qu’il eut pu la terminer enfin ; ce serait un heureux jour à ses yeux valeureux.

—> (ajout du 7 sept. 2016 à 20h55)

Toutefois, ajoutons pour les moroses que l’on savait très bien en quoi consistait l’enseignement du vieux professeur, on a voulu tester votre attention pour voir si vous suiviez ; tout a déjà été dit précisément précédemment : on y décortique bien ces vastes divagations trouvées dans les approximations hasardeuses venues de nulle part, la grande spécialité de cet univers cité là ; et plus particulièrement au sein de la nature y sont étudiés les plus profonds de ses déterminismes ; par exemple, éclaircir la raison de notre présence ici, nos gestes, nos détestations ; élucider les motivations sous-jacentes de notre esprit, qui semble un peu (beaucoup) malade, ou qui s’égare ; à quelle partie hasardeuse y joue la vie ? Si vous n’y avez rien compris à ce qui vient d’être dit, lisez donc la suite, ou inscrivez-vous aux cours de l’univers cité nulle part, c’est facile et gratuit !