(parole en marchant - 20 juin 2016 à 14h31)

—> 3. « singes savants », les cours du savant fou :

théorie (récit original)

Quand nous aurons compris, nous homo sapiens, nos accaparements s’entend, son au détriment du reste des autres vies, fait fatalement indirectement par nous nuire.
Sur l’accaparement et des richesses que l’on créé, artificielles, crées à partir de cela, la vie nous demande d’être son jardinier, elle nous conçoit, mais elle nous apprend apparemment d’abord d’apprendre de nos erreurs et quand nous aurons compris nos erreurs, peut-être au moment ultime où nous n’aurons plus aucun choix de prendre celui-là pour survivre et apprendre le partage.
En Occident, on tue le loup, car il gêne les bergers, les bergers devront apprendre à vivre avec le loup comme cela se fait ailleurs, « dans le partage », le loup a autant le droit de vivre que l’homme, mais quand ils oppresseront de la manière volontaire des hommes, ils seront plus apaisés…

—> modifications et ajouts du 5 juill. 2016 à 22h21 au 17 oct. 2016 à 1h08

Quand nous aurons compris, nous, homo sapiens, que nos accaparements incessants se perpétuent au détriment des autres êtres, cela, va fatalement, indirectement, finir par nous nuire, parce que tout dépend de tout et que tout est imbriqué.

Voici ma théorie : depuis longtemps, la vie, insidieusement nous incite à être son jardinier, elle nous a conçues et nous expérimente à cette fin ; j’en suis profondément persuadé ! Vous croyez d’abord que tous les mécanismes d’acquisitions ne viennent que de nous, non ! cela nous a été insufflé à travers une programmation génétique, un b.a.-ba organique, aléatoire et prémédité ? Oui ! Puisque cela s’est trouvé ainsi argumenter, un jour de hasard, à un moment lyrique de la nature — encore oui ! et en cela, elle demeure un long poème —, elle a réalisé et inventé une sorte de versification rythmique du monde animé, bien avant que nous apparaissions, et nous a donné cette inspiration pour que certains d’entre nous puissent écrire des histoires, des romans, des contes, de la poésie ; cet art demeure une création de ce vivant et l’homme n’en est pas l’unique propriétaire, il n’en est qu’une de ses plumes. Certes, l’éveil s’avère un long apprentissage de nos erreurs et du reste ; puis lorsque nous les aurons comprises, saurons-nous saisir l’opportunité du meilleur des choix, prendre celui-là tout indiqué pour survivre et acquérir cette notion du partage.

Ici, on tue le loup, car il gêne les bergers, mais ne devraient-ils pas apprendre à cohabiter avec lui comme cela se fait ailleurs, « dans une collaboration instinctive intelligente », ce carnassier a autant le droit de vivre que l’homme ; alors, quand ils pourront oppresser leurs proies de manière tout aussi volontaire que nous même, la cohabitation en sera plus apaisée.

Ici, un berger s’est fait agresser, mais du côté des loups, ils se racontent des choses identiques, que les hommes ne cessent de les décimer ! Est-ce leur faute à eux, si la nature leur a donné des crocs pour tuer moutons, volailles et chèvres ; elle a toutes les raisons de s’occuper à régénérer en permanence les équilibres de son règne ; qu’un être, plus que les autres, s’adonne à tant vouloir dominer, qui pourrait bien s’en amuser ? Elle détient surement quelques leçons de vie à nous insuffler, comme cette conscience acquise du monde, qui nous renvoie comme un miroir, nos attitudes de bête à deux pattes et qui se croit, se voit, ambitionne l’émergence de sa race, au détriment des autres ; elle va corriger le petit scélérat, d’une manière abrupte et qui va lui déplaire, c’est certain. Ce n’est pas nous qui allons dicter à la nature les choix de son aventure…

—> ajout électronisé le 1 juill. 2018 à 12h19

(la compréhension de cela nous oblige à la retenue, ne pas tout accaparer et ne rien laisser aux autres, voilà notre dilemme !)