(parole en marchant - 1 oct. 2016 à 18h26)

—> 3. « singes savants », les cours du savant fou :
—> ajout à « dans l’esprit de la race pure »

N’idéalisons pas trop la nature, elle est ce qu’elle est, le fait que nous en faisons partie concourt à ce que nous sommes ; par contre, elle engendre partout un même phénomène qui inclut systématiquement des recherches d’équilibres et de diversification ; et puis cet argument : que les animaux ne demeurent pas forcément plus pacifistes que nous, s’ils usent de moyens moins voyants que les nôtres (en effet, ils n’ont pas inventé la bombe atomique), leur « réussite » à ce jour n’apparait pas à notre égale, ils ne s’en trouveraient pas moins agressifs à priori (faits constatés par exemple entre les grands singes) ; cela ne demeure pas moins pernicieux, entre eux-mêmes, entre eux et nous et réciproquement, la violence reste inhérente à la vie ; le problème intervient au moment des échanges, la nature n’a pas forcément prévu que tous les êtres puissent communiquer entre eux, ces connexions ne s’établiront au fil du temps, comme cela s’est toujours fait, que si une nécessité, un besoin se fait ressentir, apporte une évolution, une opportunité d’expansion, de survie ou de diversification, d’une espèce à une autre, c’est évidemment valable aussi pour nous ; cette communication, quand elle s’avère possible, ne se passe pas forcément au niveau de l’intellect, ni des mots, mais plutôt à travers un affectif, ou du sensitif ; des transmissions physico-chimiques bien souvent ignorées, nos perceptions actuelles n’arrivent pas encore à les discerner toutes et puis, en restent d’autres à découvrir, qui appellent cette soif d’apprendre, de comprendre, de se répandre !