(texte manuscrit original – 29 sept. 2014 à 17h12)
—> 1. « İl », intermède… : 46. [Y af D] et puis le doute…, décaniller…
(récit original)
Le monde est terrible et laisse-le décaniller
J’étais à ce point dépenaillée qu’il m’était impossible de savoir si il était temps ou pas?
Le cœur ampoulé a des allures submergées sur son regard là, et médiateur d’une certaine façon d’aller, outre que le temps ne passe pas,
hier sur des façons en orgueil et puis le temple de méditation et de leur regard vide de sens ou autre que je ne comprenne rien au sens de cette vie qui ne vaut rien peut-être ai-je mal suivi le mode d’emploi de la clé est très vite dans mon lit j’ai dit trépidante vie A l’air j’ai dit À mais le ventre au mot mou regarde donc il n’a rien fait il n’a pas au nord de vie
Outre donc il va sortir à minuit sur des airs à la gare sa façon de mettre un voile à la pluie de Nantes est décevante ou de vagues alertes lui ont empêché un jour peut-être devoir son avenir enfin rayonner une page lueur qui veulent aller du fond de son cœur et que peut-être aussi il n’a quoi donner encore à l’envie de serai jouir de Sam mort de la vie de sa mort ne vit et oui la machine ne comprend pas ce qu’il dit elle écrit tout de travers de la Gazalère (?) demain de mon peut-être et soudain il lui est un an qui devrait être et soudain il lui vient à l’envie de naître de mettre quelque chose au bout de ses envies.
Demain les idées claires
Bien que le monde n’était pas au mieux de sa forme et que moi-même je ne me sentais pas très bien, au cœur de la nuit, après ces heures de minuit, à l’heure dite du loup, comme une araignée annonçant un grand présage, médite un savant fou, le fond assidu et dépendant de nous, un dur j’ai que une entrecôte au beurre dans la nuit c’est tout !
Je vais me rire de fou
Je vais mourir de fou
Je vais mourir c’est tout
N’en faisons pas un drame
Le ventre a décanillé c’est tout
La canaille à mon ventre mou
Et mise en charpie ma carrière
Dans le trou
…
(version corrigée du 14 nov. 2016 à 10h05)
Le monde s’avère terrible et laissez-le décaniller.
Je restais à ce point dépenaillé et m’apparus impossible de savoir s’il demeurait prêt ou pas.
Le cœur ampoulé a des allures submergées et son regard las et médiateur ailleurs, d’une certaine façon d’avancer, n’outrepasse que le temps qui ne déroule plus, c’est ça, l’ennui.
Hier, sur des façons, relevant un orgueil, j’ai pris une pause pour une méditation ; et de leur attention vide de sens, où d’autres permirent que je ne comprenne rien au sens de cette existence qui ne vaut rien, peut-être ai-je mal suivi le mode d’emploi, d’un usage de la clé immodéré ; elle est entrée très vite dans mon lit et je me suis écrié : « quelle trépidante vie ! C’est un bordel ici ? » C’est ce qu’elle en conserve pourtant l’air, oui j’ai dit ça ! Mais le ventre, au mot mou, regardez-le alors, il n’a rien produit, ni perdu un quelconque nord ; de lui, n’en parlons plus, d’ailleurs je m’en fous !
Outre, donc, il va sortir à minuit, sur des mélodies de gare, sa façon de mettre un voile à la pluie démente, cela est décevant, ou de vagues alertes l’ont empêché un jour peut-être de voir son avenir enfin rayonner ; de pâles lueurs veulent atteindre le fond de son cœur et peut-être aussi, il ne suscite pas de quoi encore donner envie ni le faire jouir de sa mort ; de sa vie ni de son trépas il ne vit et oui, la machine ne comprend pas ce qu’il dit. Elle écrit tout de travers et de là, hagard, elle donne un air taquin à mon pauvre être ailé soudain ; il lui reste quelques ans qui devraient le soutenir et que lui vienne une envie de naître, de mettre quelque chose au bout de ses désirs.
Demain, on nous promet les idées claires, on nous l’assure, vous devriez tester la machine qui écrit, c’est décevant, elle prend des aises en ne posant pas le mot attendu là où l’on désirerait qu’il fût !
Bien que le monde n’apparaisse pas au mieux de sa forme, et que moi-même, je ne me sentais pas très bien, au cœur de la soirée, après ces heures de minuit, à l’heure dite « du loup », comme une araignée annonciatrice d’un grand présage, là où médite un savant fou, le font assidûment s’éveiller et dépendre de nous ; un dur moment près de vous, je n’ai trouvé qu’une entrecôte au beurre dans la poêle, c’est tout !
Je vais me rire du fou
Je vais mourir de fou
Je vais mourir, c’est tout
N’en attisons pas un drame
Le ventre à décaniller c’est tout
La canaille de mon ventre mou
Et mise en charpie ma carrière
Dans le trou