(parole en marchant - 7 juill. 2018 à 19h46)
—> ajoutements, à propos du récit
—> en réponse complémentaire au prologue « ensuite… » (du titre) (texte manuscrit - 17 juill. 2018 à 12h50)
—> ne peut être inclus dans les « préambules », car révèle des aspects de la narration.
—> toutefois réutiliser certain aspects dans les « préambules » en masquant les aspects révèlateurs.
Au début, nous usâmes d’un artifice qui, à travers un… nos imaginaires, racontait l’histoire d’un être inspiré par nous-mêmes et du reste ; je m’aperçus au fond, en réécrivant la première version de l’ouvrage qui ne me satisfaisait plus, que ce détournement, cet artifice littéraire n’aboutissait qu’à une manière de racontement somme toute vulgaire et sans artifice ; frelaté… Et peu à peu me vint la notion de l’invention de ce nom, dans ce récit où l’on n’en cite aucun ; dorénavant maintenant même le titre qui ne sera cité qu’une fois à la fin ; quand ce peuple innommé appellera celui qui vient du nom du titre de l’ouvrage, celui qui vient à nous ; et cela m’apparaît tellement exact, tellement vrai, que finalement au bout du compte, de ce nom-là que je ne nommerai plus dorénavant, il apparaît qu’il s’agit de nous dont on parle, somme toute. Il ne s’agit que de nous, d’une partie de nous, une vision de nous, somme toute, sans plus… N’y voyez pas plus loin, cela ne sert à rien. Ce livre ne parle que de nous, il parle de nous et des autres, il interpelle ; ce livre ne parle (vraiment) que de nous ? Pas exclusivement ; le roman est une histoire d’homme, il ne s’agit pas d’un roman, il n’y a pas d’histoire d’homme uniquement, il y a un récit qui s’inspire de celui des hommes, mais (s’obstine) à la recherche d’un quelque part, au-delà des hommes, au-delà du vivant, ce qui nous agite en somme. C’est cela, ce récit ; quelle qu’en soit la prétention que je lui donne, que vous en comprendrez, fait qui m’indiffère en somme, profondément ; c’est pour moi que j’écris probablement, et comme moi est aussi une part des hommes, eh ! je ne peux faire autrement, j’écris en tant qu’homme, j’écris donc pour les hommes, même si je ne le fais pas exclusivement pour eux, j’écris pour y voir plus clair, c’est très simple…
(version corrigée du 25 juill. 2018 à 18h09 au 31 juill. à 16h00)
Au début, nous usâmes d’un artifice qui, à travers un de nos imaginaires, racontait l’histoire d’un être inspiré par nous-mêmes et du reste ; je m’aperçus au fond, en réécrivant la première version de l’ouvrage qui ne me satisfaisait plus, que ce détournement, cet artifice littéraire n’aboutissait qu’à une manière de racontement somme toute vulgaire, sans reliefs et frelaté… Et peu à peu me vint la notion de l’invention de ce nom, dans ce récit où l’on n’en cite aucun ; dorénavant maintenant même le titre ne sera énoncé qu’une fois à la fin, quand ce peuple innommé le nommera celui qui viendra à eux, du nom du titre de l’ouvrage : « celui qui vient à nous », ils le diront un peu comme ça. Et cela m’apparaît tellement exact, tellement vrai, que finalement au bout du compte, de ce nom-là que je ne nommerai plus dorénavant, au premier abord, il semblerait bien qu’on ne parle que de nous, somme toute. Plus avant, j’ajoutais encore : « il ne s’agit que de nous, d’une partie de nous, une vision de nous, à tout prendre, sans plus ; n’y voyez pas plus loin, cela ne sert à rien », je désirais clore ce débat. Plus tard, j’essaye de me convaincre : « ce livre ne parle que de nous, il parle de nous et des autres, il interpelle ? » Puis avec le temps, je m’interroge à nouveau : « ce livre ne parle (vraiment) que de nous ? » Pas exclusivement évidemment ; le roman raconte une histoire d’homme, il ne s’agit pas d’un roman ici, il ne s’y trouve pas de ces histoires humaines uniquement, certes un récit qui s’inspire de celui des hommes, mais s’obstine dans la recherche d’un quelque part, bien au-delà des hommes, au-delà du vivant, ce qui nous agite en somme. C’est cela, ce récit, quelle qu’en soit la prétention que je lui donne ; ce que vous en comprendrez m’indiffère par conséquent, profondément ; c’est pour moi que j’écris probablement, et comme moi c’est aussi une part des hommes, eh ! je ne peux faire autrement, j’écris en tant qu’homme, j’écris donc pour les hommes (je dus m’en convaincre), même si je ne le fais pas exclusivement pour eux, j’écris pour y voir plus clair, c’est très simple… au bon du compte.
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(version corrigée du 20 sept. 2018 à 17h30)
Au début, nous usâmes d’un artifice qui, à travers un de nos imaginaires, racontait l’histoire d’un être inspiré par nous-mêmes et du reste ; je m’aperçus au fond, en réécrivant la première version de l’ouvrage qui ne me satisfaisait plus, que ce détournement, cet artifice littéraire n’aboutissait qu’à une manière de racontement somme toute vulgaire et sans artifice, frelaté… Et peu à peu me vint la notion de l’invention de ce nom, dans ce récit où l’on n’en cite aucun (d’humain) ; dorénavant maintenant, même le titre ne sera cité qu’une fois à la fin, quand un peuple innommé élaborera ce nom, apportant une clé insoupçonnée, un sens inconnu auparavant ; et cela m’apparaît tellement exact, tellement vrai, que finalement au bout du compte, de ce nom-là que je ne nommerai plus dorénavant, il apparaîtrait au premier abord qu’il s’agirait de nous dont on parle, serait-ce tout ? Il ne s’agirait que de nous, d’une partie de nous, une vision de nous, somme toute, sans plus ? N’y voyez pas plus loin, dirait le vaurien, cela ne sert à rien, ce livre ne parle que de nous ! Il semblerait pourtant que ce ne soit pas tout à fait exact ; quel esprit malin désire tant cacher cette parole, celle d’un en dehors de nous, où il s’agit des autres ; cacher ce qui interpelle, ah ! Ce livre ne parle vraiment que de nous ? Pas exclusivement évidemment ; le roman raconte une histoire d’homme, il ne s’agit pas d’un roman ici, il ne s’y trouve pas de ces histoires humaines uniquement, certes un récit qui s’inspire de celui des hommes, mais s’obstine dans la recherche d’un quelque part, bien au-delà des hommes, au-delà du vivant, ce qui nous agite en somme. C’est cela, ce récit, quelle qu’en soit la prétention que je lui donne ; ce que vous en comprendrez m’indiffère par conséquent, profondément ; c’est pour moi que j’écris probablement, et comme moi c’est aussi une part des hommes, eh ! je ne peux faire autrement, j’écris en tant qu’homme, j’écris donc pour les hommes (je dus m’en convaincre), même si je ne le fais pas exclusivement pour eux, j’écris pour y voir plus clair, c’est très simple… (si si).
(version corrigée du 20 sept. 2018 à 22h30)
Au début, nous usâmes d’un artifice qui, à travers un de nos imaginaires, racontait l’histoire d’un être inspiré par nous-mêmes et du reste ; je m’aperçus au fond, en réécrivant la première version de l’ouvrage qui ne me satisfaisait plus, que ce détournement, cet artifice littéraire n’aboutissait qu’à une manière de réciter somme toute vulgaire, sans relief et frelatée… Et peu à peu me revint la notion de l’invention de ce nom, dans ce récit où l’on n’en cite aucun ; désormais, l’intitulé du racontement ne sera énoncé qu’une fois à la fin, quand un peuple innommé l’élaborera à cause de ceux qui viennent à eux, apportant un titre à l’ouvrage et un mot nouveau à clamer dans toutes les langues, ils le diront un peu comme ça. Et cela m’apparaît tellement exact, tellement vrai, que finalement au bout du compte, de ce nom-là que je ne nommerai plus dorénavant, au premier abord, il semblerait bien qu’on ne parle que de nous, somme toute. Plus avant, j’ajoutais encore : « il ne s’agit que de nous, d’une partie de nous, une vision de nous, à tout prendre, sans plus ; n’y voyez pas plus loin, cela ne sert à rien », je désirais clore ce débat. Plus tard, j’essaye de me convaincre : « ce livre ne parle que de nous, il parle de nous et des autres, il interpelle ? » Puis avec le temps, je m’interroge à nouveau : « ce livre ne parle (vraiment) que de nous ? » Pas exclusivement évidemment ; un roman raconte une histoire de gens, il ne s’agit pas d’un roman ici, il ne s’y trouve pas de ces histoires humaines uniquement, certes un récit qui s’inspire de celui des hommes, mais s’obstine dans la recherche d’un quelque part, bien au-delà des hommes, au-delà du vivant, ce qui nous agite en somme. C’est cela, ce récit, quelle qu’en soit la prétention que je lui donne ; ce que vous en comprendrez m’indiffère par conséquent, profondément ; ce serait pour moi cette écriture, probablement ; et comme je représente aussi une part de cette humanité, eh ! je ne peux faire autrement, j’écris en tant que vivant, exprimant l’animalité de mon espèce, et les interpelle bien les hommes (je dus m’en convaincre), même si je ne le réalise pas exclusivement pour eux, j’écris pour y voir plus clair ; c’est très simple… au bon du compte.