1. inversion contraste description
(parole entre deux sommeils - 1 avr. 2018 à 2h18)

—> 5. « ajoutements », autour et sur le récit
—> indications narratives

—> explorer cette façon : en début de chapitre, un renvoie vers ce texte qui explique le principe de narration voulue, très technique, très prosodique, mêlant onirisme et poétique, cette inspiration narrative non contrôler, au risque de déplaire, mais on s’en fout, il ne s’agit pas de plaire, mais d’explorer avant tout !

Inversion, contraste, description, du rôle du personnage central : qui suis-je, que fais-je, quel est mon rôle, que dois-je accomplir, que dois-je aimer (que dois-je gêner) ; déjà dans la narration, des « sentiments » du livre quatre, il y a un certain nombre de réponses apportées ; ensuite, indiquer les processus pendant l’élaboration d’une action, d’un des personnages ou du personnage, indiquer pourquoi il prend cette décision. Quel est le processus qui s’initie après qu’il ait mangé, qu’il ait frappé, qu’il ait tué, quoi qu’il fasse, des processus biologiques se produisent. Et là, dans le reflet d’une glace, sur une vitre, quand vous regardez selon un angle très précis, vous voyez un reflet, que si l’on grossit, grossit énormément, vous aller voir un certain nombre d’êtres moucheter la vitre, des traces bactériennes s’activent et vont lui donner une certaine couleur, une certaine opacité, que si on ne nettoie pas, il se produira un certain nombre de choses (dont une opacité accrue). Encore, ailleurs dans les cités, sur les murs froids verticaux, dans les interstices, s’active un certain nombre d’êtres (entités) invisibles aux êtres émergeant ici, et pourtant (ils) vont introduire des fissures, des maladies, des phénomènes incontrôlés, que les hommes n’arrivent pas à maîtriser (c’est un exemple)…

Multiplier les descriptions, entrecoupées à travers les actions humaines, prendre un point d’un acte humain et montrer, décrire les phénomènes faisant partie de l’action en question, dont les protagonistes n’ont absolument pas conscience, en permanence faire ce balancement entre la narration d’une histoire et les mécanismes du vivant qui permettent cette histoire, qui sont totalement étranger à la perception des êtres, au centre de l’histoire ; il faut que la rupture soit très grande. Dans la narration (forme nouvelle de 2018) : de premièrement, remplacer les dits du professeur et les résumés de ses cours, ainsi que le parcours dans le petit bois magique, déplacé complètement dans les ajoutements, et les cours du professeur aussi dans les ajoutements ; mais l’homme, le professeur, va donner une expression à tous euh… les perceptions qui sont exprimées dans premièrement, où nous avons à la fois la narration du personnage (centrale, devenu « il ») et le contraste éclatant d’une autre narration, qui se fait à côté du personnage et qui aborde le sujet sous un biais totalement inhumain, au-delà de la perception humaine, et qui explique le fonctionnement, de… scénarios… du scénario en dehors des principes humains, mais qui décrivent le fonctionnement des mécanismes vitaux de chaque être, qui sont liés à l’histoire centrale, des petits flashs, des descriptions très détaillées, approfondir ce sujet-là…

2. renvois systématiques (notes)
(parole entre deux sommeils - 1 avr. 2018 à 2h25)

—> notes en partie obsolètes (au 5 août 2018)

À un moment, où on a besoin d’introduire une description détaillée, ou un élément annexe comme les cours du professeur, ou une description très détaillée, faire des renvois systématiques sur les différents fascicules de la narration.
À un moment on va parler du petit chemin magique : renvoie vers les « ajoutements », renvoie vers « la description très détaillée » ; faire ces basculements réguliers où une narration continue est entrecoupée d’un certain nombre d’informations qui renvoient à différentes parties du livre, où le lecteur est obligé d’avoir la totalité de l’ouvrage pour pouvoir s’y retrouver.
Résoudre en partie tous les problèmes de la narration et du découpage, puisque les renvois vont faire aller vers les différentes parties, à chacun de lire comme il le veut…

3. narration commune et renvois (notes)
(parole entre deux sommeils - 1 avr. 2018 à 2h31)

—> notes en partie obsolètes (au 5 août 2018)
—> voir notes manuscrites complémentaires

Description des différents découpages, au moment où il y a une rupture…
Texte : poursuivre la narration commune, aller vers la description indiquée, par exemple : moment des cours du professeur, description de l’apprentissage dans l’univers cité nulle part, poursuivre la narration commune, aller vers la description des cours du professeur, aller vers le petit chemin magique, aller vers philosophia vitae, revenir à la description, à la narration commune, etc., etc.
Autant c’est facile sur Internet, à travers des liens, dans le découpage des récits et du livre permettre une navigation, de passer d’un tome un autre très facilement.
Revenir, en fin de description, revenir à la narration commune, page tant tant tant, aller à la narration machin page tant tant tant, etc., etc.

4. phénomènes extérieurs (notes)
(parole entre deux sommeils - 1 avr. 2018 à 2h33)

—> notes pouvant servir en préambule (au 5 août 2018)

Phénomènes extérieurs ayant permis l’arrivée de la narration de cette partie-là ; description de l’aspect qui a permis d’aboutir à cette narration, source d’inspiration, par exemple : éviter de trop donner des rapprochements purement humains, diversifier énormément, faire intervenir un tas d’éléments incertains, au-delà de la perception humaine, inspiration du vivant d’aller vers ce type de narration, incompréhension du lecteur, bouleverser la narration commune…