(texte manuscrit - le 17 août 2018 à 9h35)
—> préalable explicatif des préambules chronologiques successifs…
Avertissement : même si ce récit au début était destiné à être lu par autrui, il ne l’est plus forcément aujourd’hui, ou plus précisément, nous ne savons rien quant à sa destination finale ? L’idée d’un mandala de l’esprit me semble actuellement l’une des meilleures possibilités : l’idée justement d’effacer tout ce qui fut écrit peu après son élaboration, qui ne sera dans ce cas qu’un exercice, une sorte de tentation d’un éveil possible… Cette perspective a pour effet d’apaiser ma réflexion et mon travail. (ajout le 15 sept. 2018 à 20h17)
Ces premiers préambules au début des recherches d’une écriture exacte ou sincère, ils furent supprimés bien vite, se révélant inexacts effectivement ; mais comme on désire montrer ici, un cheminement, nous les avons remis afin de seulement témoigner d’une méthode erratique ; à cette époque, persistaient encore au-dedans de la tête quelques égarements « littéraires » inadéquats ; en fin de compte, cela brouillait les pistes et ne faisait qu’à peine l’effleurer cette idée… alors, renoncer, et puis recommencer, l’affiner, tenter de comprendre, la disséquer et témoigner de cet avancement, la nécessité de les montrer chronologiquement (ces préalables)… et peut-être ne rien jeter. *
* En effet, ce récit ne se prétend pas « une œuvre littéraire », mais un travail de discernement : comprendre ce que nous sommes, et ce que veut de nous le vivant, ou tout autre entendement. Vastes questionnements sans cesse débattus, jamais résolus… seulement une avancée, des explorations ajoutées à d’autres, dans un éternel recommencement ; qui sait ? (Ou serait-ce l’attrait d’un mythe ?)
(ajout du 14 sept. 2018 à 23h00)
Dans le doute, à cette envie de ne rien jeter, s’ajoute une autre envie, celle de montrer « la variation ! » Celle des sensations, des états d’esprit, des renoncements, des évolutions, des progressions possibles et impossibles ; comme le peintre sur le même sujet, refait sans cesse, insatisfait qu’il est, il varie de toile en toile, pour atteindre une perfection improbable, un imaginaire, un idéal… La variation des perceptions dans ce principe représente un sujet d’étude aussi sensitif que sonore, dans la prosodie des mots, dans le rythme de la voix, graphique parfois ; sans cesse varier, au fil des jours, au fil des heures, ne rien fixer, laisser l’idée d’un éventuel ajoutement (pour un meilleur entendement)… Vous voyez bien, je ne peux m’en empêcher, d’ajouter sans cesse, de varier sans cesse…
(ajout texte manuscrit - le 15 sept. 2018 à 14h37) 980
À propos des préambules
Avertissements : comme ces préambules représentent une histoire en soi et qu’ils peuvent perturber le commencement de la lecture du récit narratif, découvrir ce dernier, l’esprit vierge de toutes ces considérations autour de lui, sera probablement préférable à celui qui tient à aborder ce récit d’une manière littéraire, malgré que cet aspect ne nous apparaisse pas essentiel.
Si votre lecture accepte le principe de l’étude et du décorticage systématiques, ces préambules vous donneront un éclairage précis de la narration et du reste.
Nous ne pouvons aborder certains récits qu’en fonction de notre humeur du moment (nous le concevons bien) et nous préciserons autant que possible ces moments de l’esprit : littéraire, poétique, scientifique, technique, philosophique, psychologique, spirituel, démentiel, etc., ou tous mêlés à la fois, il n’y a pas vraiment de frontières, nous n’arriverons pas à les établir formellement, tout est relié !
Effectivement, l’humeur, le tempérament de certains jours nous incite à lire plus intensément un récit poétique qu’une considération scientifique ; nous ne saurons distinguer ces moments parfaitement, ils sont tous intriqués, étroitement parfois ; mais des tendances se remarqueront, c’est ce que nous préciserons à chaque en-tête de chapitre par les initiales qui suit (cette part nous la poserons d’une manière la plus esthétique possible) :
(ajout électronisé - le 15 sept. 2018 à 15h30)
L = littéraire ou littérature
Po = poétique ou poésie ou un laisser-aller de l’esprit
Ph = philosophique ou philosophie
Ps = psychologique ou psychologie et tous les psys
Pl = politique ou expression d’une anarchie possible
PPP = poétique philosophique politique
S = scientifique ou science
Sp = spirituel ou spiritualité ou tentative d’un éveil
D = dément ou démence ou folie ou déraison ou perte de raison
I = inconnu ou aborder des frontières inconnues
T = technique ou technicité ou technologie
Tc = technocratie ou raisonnement technocrates, administratifs, réglementations, lois…
Dans les sciences = S : Nous aborderons les disciplines les plus courantes, que sont : la physique, la physique quantique, l’astrophysique, l’astronomie, la biologie, toutes les sciences naturelles, la logique, etc.
(Vous remarquerez qu’aucune science mathématique n’est abordée, en effet, n’ayant aucun talent dans cette logique, une tentation de réinterpréter le monde à travers des formules qui s’évertuent à le codifier. Ma part de perception s’exprime essentiellement à travers un affect, de l’intuition ou du ressenti ; la mathématisation du monde, cette abstraction, me semble inaudible, elle ne déclenche rien au creux de ma personne ; sans en dénigrer cette perception matheuse du monde, je ne m’y aventurerai pas, le vivant ne m’a pas apporté les éléments nécessaires pour en établir une expression raisonnable…)
L’on peut se demander ici quelle est la part d’une quelconque poésie dans ces récits parfois fortement structurés de science et de technicité, quelle est la part du rêve ? Justement, comme tout me semble intriqué, je ne peux m’empêcher de reprendre un des paragraphes du récit :
—> améliorer la citation et les exemples
« … Oui ! Puisque cela s’est trouvé ainsi argumenté, un jour de hasard, à un moment lyrique de la nature, voilà, c’est ça, oui ! Et en cela, elle persiste dans un long poème qui n’est pas terminé, bien avant que nous apparaissions, elle a réalisé et inventé une sorte de versification rythmique du monde animé ; elle a insufflé en nous, la plus étrange chose qui soit, l’inspiration… Perception indescriptible sans laquelle nul ne pourrait écrire d’histoire, d’opéra ni élaborer de romans, ou d’une sensation, en composer une musique, développer un geste de danse, ou peindre sans détour une impression de soleil levant ; “cet art demeure une création du vivant et l’homme n’en est pas l’unique propriétaire, il n’en est qu’une de ses plumes, sans plus.” »
Et ajoutons dorénavant, ce que nous avions oublié de comparer et détailler naguère, l’élégance du Paon ou d’un goéland dans les airs ou la grâce de l’hippopotame quand ils nagent sous l’eau, l’harmonieuse construction d’une forêt et la nage de bien des poissons si fluide dans leur élément favori ; l’extraordinaire diversité de toutes les fleurs que nous offre la nature en passant par la passiflore ou l’Orchidée ou la Gentiane, la beauté mortelle de la Datura, de la Belladone ou de l’Aconit napel, sans oublier tous ces paysages, résultat d’un façonnage entre le vivant et les minéraux, nous ne ferons ici qu’exalter ces différences en les appréciant différemment d’un sujet à l’autre… La nature est notre première inspiratrice autant qu’elle est notre génitrice.
Dans les techniques = T : nous aborderons celles qui nous sont familières comme celle de la physique électrique, de l’informatique, de la robotique, de la programmation informatique, et de son codage, etc.
Un peu entre les deux, la logique englobe des raisonnements philosophiques et techniques dans l’élaboration d’un codage quelconque, de fonctions cognitives bien comprises. Nous utiliserons beaucoup ces raisonnements de la logique appliquée en décrivant l’évolution du robote ordonnateur (réf. interne).
—> au cas où ce récit en forme de mandala de l’esprit ne serait pas effacé et qu’il y ait tout de même une lecture par autrui :
Enfin, n’hésitez pas à aborder cet ouvrage d’une manière empirique, à l’affect, n’hésitez pas à en commencer la lecture à partir de n’importe quelle page, en le feuilletant, laissez faire le hasard ; il y aura bien un moment, où quelques propos vous interpelleront…