(parole entre deux sommeils – le 31 mars 2016 à 5h32)

—> texte original préambule de l’édition 2017 : « en fait, tout à déjà été écrit… »

(original)
C’est sur ce mensonge, c’est sur ce mensonge
que se fit les premiers crimes,
c’est sur ce mensonge, que se firent les premiers crimes,
appela le mythe et la croyance d’un devenir,
vouloir absolument persuader que l’autre est une erreur
et qu’il faut la corriger par ce crime ;
à travers ce mensonge, fatalisme d’une humanité,
qui dans sa jeunesse,
nous semble être une entité qui a des ratés,
nous semble être une entité quelque peu égarée,
que la vie ne cesse de corriger et que peut-être, un jour,
cet être égaré, ne sachant où aller,
et que la vie ne pouvant le réparer, ne pouvant le réparer,
le laissera là, le laissera à son erreur,
de toute éternité est-ce le sort qui nous est donné,
d’avoir à choisir ; être le sort qui nous est donné,
que la vie nous donne notre libre arbitre
et que nous ne savons en user qu’à travers ces crimes,
et qui nous habite, et qui seront notre perte,
si nous ne savons en user, du sort qu’il nous est donné.

(version corrigée du 15 sept. 2018 à 0h50)

C’est sur ce mensonge que se fit le premier crime ; c’est sur ce mensonge, que se firent les premiers crimes et appelèrent le mythe, la croyance d’un devenir de vouloir absolument se persuader que l’autre est une erreur, il faut le corriger par le crime ; à travers ce mensonge, fatalisme d’une humanité encore dans sa jeunesse, elle semble être une entité avec quelques ratés, elle semble être une entité quelque peu égarée, que la vie ne cesse de corriger ; peut-être, un jour, cet être égaré ne sachant où aller, la vie, ne pouvant encore le réparer, oui, ne pouvant le réparer le laissera là, le laissera à son erreur ; de toute éternité est-ce le sort qui nous est donné d’avoir à choisir et d’être ; le sort, s’il nous est donné, la vie nous l’ordonne oui, notre libre arbitre, et nous ne savons en user qu’à travers ces crimes ils nous habitent et seront notre perte, si nous ne savons en user de ce sort qui nous est donné !

—> à la recherche du rythme dans le texte (à améliorer)

(variation avec un découpage plus poétique)

C’est sur ce mensonge que se fit le premier crime ;
c’est sur ce mensonge, que se firent les premiers crimes
et appelèrent le mythe, la croyance d’un devenir
de vouloir absolument se persuader que l’autre est une erreur,
il faut le corriger par le crime ;

à travers ce mensonge,
fatalisme d’une humanité encore dans sa jeunesse,
elle semble être une entité avec quelques ratés,
elle semble être une entité quelque peu égarée,
que la vie ne cesse de corriger ;

peut-être, un jour, cet être égaré ne sachant où aller,
la vie, ne pouvant encore le réparer,
oui, ne pouvant le réparer le laissera à son erreur ;
de toute éternité est-ce le sort qui nous est donné
d’avoir à choisir et d’être ;

le sort, s’il nous est donné,
la vie nous l’ordonne oui, notre libre arbitre,
et nous ne savons en user qu’à travers ces crimes
ils nous habitent et seront notre perte,
si nous ne savons en user de ce sort qui nous est donné !