(texte manuscrit - le 7 oct. 2018 à 13h30) 958

—> le détachement, il (le double de lui) 262

Du détachement, à (n’avoir) pas de nom, ne plus se sentir en accord avec son espèce, devenir un de ces vivants désocialisés de son lien, la forme qui l’identifie, son aspect clair ou sombre, petit ou grand et toutes les variantes entre ces extrêmes…

(texte manuscrit - le 7 oct. 2018 à 19h09) 958

Vous voyez mon existence, ça a donné ça ! Que cela vous serve de leçon, de mémoire, une information laissée pour apprendre du passé, ce que l’on devrait reproduire, de ce que l’on ne devrait pas refaire…

(19h30)

Dans mon raisonnement, l’information est inhérente à l’univers, elle en garde sa trace, la trace laissée est bien plus subtile que l’on veuille le voir.

—> dialogue entre le vieux savant est un quidam.

Le vivant est une surcouche ajoutée à la masse biologique, pour qu’elle s’anime et interagisse avec le minéral. Le vivant résulte de l’information, puisque c’est cette même information qui permet aux cellules vivantes de transmettre un mécanisme, un processus existentiel, un code, un mode d’emploi, aux générations cellulaires nouvelles, et ainsi de suite. Sans information il n’y a pas de vie. La vie est une invention du processus de l’information (dans ma perception que j’ai de l’univers, l’information faisant partie de l’univers, sa principale donnée, puisqu’elles codent le mécanisme de fonctionnement des particules, des étoiles, des galaxies, elles obéissent toutes à des lois physiques qui doivent exister dans leur fondement quelque part, et ce quelque part, se situe dans l’information où l’univers y puise ses propres fondements. L’information est donc quelque part, elle code et formalise le principe d’existence de chaque particule selon un mode opératoire précis, aléatoire ou indécis, les formules s’appliquent dans un mécanisme reproducteur qui varie peu : les étoiles se forment toujours plus ou moins de la même manière, les galaxies, les planètes ; et sur les planètes comme la nôtre, cette surcouche de l’information, que l’on appelle le vivant, dirige les fondements de la matière selon un mode d’animation rapide qui à tout moment, dans la régénération de chacune de ses briques, se dédouble, se démultiplie, grâce à cette information transmise, les plans de fabrique de chaque élément sont toujours présents, variant sans cesse pour permettre à ce vivant de progresser…).
Un message est transmis, un message immatériel. L’univers en est rempli et il se pourrait bien que cette énergie noire en fasse partie (réf.).

(20h05)

Les riches sont prêts à faire crever l’humanité tout entière pour garder leurs privilèges. En cela, ils n’auront jamais une quelconque considération bienveillante de ma part.

(texte manuscrit - le 10 oct. 2018 à 23h00) 955

—> livre 1, ouvrir le mythe… et le refermer, 104

Tu vois ! C’est facile d’inventer un mythe, ce n’est qu’une histoire de plus.

(texte manuscrit - le 11 oct. 2018 à 18h50) 954

Dans un dialogue avec le robote, une incompréhension s’établit entre un humain et lui. Quand il lui est demandé, le robote, de répondre à une question, il met toujours un préalable : « désirez-vous une réponse courte, moyenne (un résumé), ou exhaustive (et par conséquent longue) ? »
Envisager des dialogues sur ce principe pouvant prêter à des quiproquos amusants.

De même, le savant fou (parce qu’il parle souvent tout seul et tient des propos qui le font passer pour sénile) a tendance lui aussi à répondre comme le robote avec des préalables interrogatifs similaires.