(montage électronisé - le 13 oct. 2018 à 9h54)

—> cinquièmement, ajoutements
—> vérifer les redites avec les préambules débutants : jouer sur l’évolution du raisonnement, de sa temporalité…

—> tentative de préambule, montage de textes originaux précédents, notions confuses, perceptions souvent obsolètes, on ne savait pas ce qu’il resterait vraiment au moment de la rédaction des ajoutements, une étude dans l’étude qui étudie ce qu’elle étudiait, etc. (en gardant toutes les traces)…

(parole entre deux sommeils - 31 mars 2016 à 5h41)

Je disais tout au début, dans des préambules débutants :

« ce récit est une commande, en quelque sorte, ce récit il m’a été demandé de le rapporter ; de ce récit, il m’a été demandé de le rapporter, à travers ces écrits ; n’y voyez pas là une légende, un mythe, une croyance nouvellement rapportée, ce serait plutôt l’inverse. De ces écrits, il m’a été demandé, qui furent pour moi comme une nécessité ultime de les rapporter, ici. Le sont-ils vraiment de moi, puisque tout a déjà été dit, et que les mots que j’use ont déjà été prononcés à plusieurs reprises ; et de mémoire d’homme, de leur empreinte émise, eux n’ont fait que leur apporter cette mémoire, leur apportée, réassemblée nouvellement en ce récit… »
Mouais ! suis-je convaincu ?

(texte (??) - 3 août 2016 à 15h45)

En fait, ce livre est le sujet d’un test, « İl » İpanadrega se pose cette question : « à vouloir autant dire de lui et des perceptions qu’il a de ce monde quand vous aurez lu son récit, le comprendriez-vous ? Cela aura-t-il un effet sur vous, par un effet de synthèse ajouterait une réponse à ses interrogations ; quant à moi l’auteur de ces lignes, et de lui, bientôt je ne serai plus, et lui resterait contre vents et marées un petit brûlot au bout de la jetée, un phare de fortune pour ameuter quelques égarés, sur cette terre d’où l’on ne peut encore fuir. Brûlot innocent que peut-être d’autres iront alimenter, pour l’accaparer ou l’oublier… »

(texte (??) - 9 août 2017 à 1h32)

Parce que l’on oublie toujours un peu quelque chose et que tout ne peut pas être tout dit en une seule fois, aussi, que l’on ne peut pas procéder autrement que de se répéter inlassablement, de peur d’omettre quelque chose, alors la petite étincelle d’éternité qui vient de ce message, qu’il en reste bien au bout du compte quelques bribes futiles ; un sort orgueilleux voudrait que l’on s’en éprenne, inutile serait d’y remédier.

(entre deux sommeils - 31 mars 2016 à 5h41)

(version)
Ce récit est une commande en quelque sorte, n’y voyez pas là une légende neuve, un mythe, une croyance nouvellement rapportée, se serait plutôt l’inverse. De ces écrits il m’a été demandé ! Ce qui fut pour moi comme une nécessité ultime de les rapporter ici ; sont-ils vraiment de moi, puisque tout a déjà été dit et que les mots que j’use ont déjà été prononcés à plusieurs reprises, cette mémoire, empreinte démise que l’on ne fait que rapporter, cette mémoire réappropriée, réassemblée nouvellement en ce récit ; banale affaire d’homme à l’esprit littéraire exalté ou frelaté, c’est selon…

Ce récit ! c’est une commande, donc, une commande faite à ma tête ; ici, je vous la remets et je m’en vais, car de l’ouvrage, et bien cela, il est terminé maintenant, voilà ! c’est dit.
L’auteur, n’est qu’un passeur de mots, comme ailleurs et partout c’est toujours ceci : des mots qu’il a attrapés, il vous les donne tels qui lui sont venus, de manière impromptue.

(texte (??) – 10 août 2016 à 13h12)

(version)

Si un jour, à propos de votre écrit, on vous demande « mais quel est donc cet ouvrage que tu rédiges ? » Vous pourriez répliquer « c’est un ajout aux milliers de livres déjà rédigés ; c’est la suite d’une histoire, un nouveau récit de la vie des hommes qui se raconte ; c’est une mémoire qui s’additionne, c’est la trace que laissera votre existence, éphémère, à peine volatile, une empreinte indélébile et sans fard, même une tache d’encre, un petit rien, abandonnés là pour qu’il se dégrade jusqu’à la nuit des temps, indistincte… »

En faite, ce livre, est le sujet d’un test, İpanadrega se pose cette question : à vouloir autant dire de lui et des perceptions qu’il a de ce monde, quand vous aurez lu son dit, le comprendriez-vous ? Cela aura-t-il un effet sur vous, par un effet de synthèse ajouterait une réponse à ces interrogations ; quant à moi l’auteur de ces lignes, et de lui, bientôt je ne serai plus et lui restera contre vents et marées un petit brûlot au bout de la jetée, un phare de fortune pour ameuter quelques égarés, sur cette terre d’où l’on ne peut encore fuir. Brûlot innocent que peut-être d’autres iront alimenter, ce l’accaparer ou l’oublier…
Ceci est un ouvrage symphonique
Ceci est un ouvrage onirique

J’ai fait un pacte avec la vie, écrire cet ouvrage, et qu’une fois l’ouvrage accompli je puisse mourir en paix. C’est mon ultime souci dorénavant, le seul, l’unique, promis ! Je laisse la place ensuite et vous n’entendrez plus parler de moi, je le jure !
Merci de votre attention.

(version)

—> ici, il y aurait comme un beau de l’air en introduction ?

Chers lecteurs, n’y voit la aucune nouvelle légende aucun nouveau rite, ni de glorifier quiconque, n’en fait pas un mythe, un best-seller, il n’est pas à la gloire de son auteur ni à la gloire de quiconque, il n’est que le témoignage d’une pensée qui traverse l’esprit d’un homme et qu’il n’a eue pas d’autre choix qui s’offrait à lui pour décrire ce qui est dit ici.

Ce que tu lis ici chers lecteurs, n’est pas un roman ni une histoire simple, un conte pour les rêves des enfants, non ! C’est au contraire un monde onirique improbable et sans manière qui va t’apporter certainement quelques coliques et des idées de laisser tomber, dépité, l’ouvrage ici que tu lis.