(parole en marchant - 22 sept. 2017 à 19h08) ?? erreur original perdu ??
→ fin de « son rêve son grand idéal », transférer vers début péregrinari !
→ proche de « Entendez au loin aboyer »
Entendez au loin, tout le long des routes qui traversent cette forêt, les machines roulantes faire du bruit, déchirant l’air, avec leurs mécaniques fumeuses, parcourir des quantités de kilomètres innombrables, pour un mouvement d’homme, pour on ne sait quelle raison, un travail ou une relation ? Ils s’en vont et viennent se déplaçant toujours de plus en plus vite ; mais que voulez-vous, la vie nous inventa ; il fallut bien que nous trouvions des façons d’avancer, à notre manière ; tout le problème reste dans la pérennité de ces transports et de ce qu’ils vont occasionner dans de futures années probablement, car de trop se mouvoir trop hâtivement, fait dépenser une énergie… et que la planète n’y suffira peut-être plus. Nous devrons discerner la juste mesure des choses, pourrait-on ajouter, comme le dirait un quelconque sage, conscient de toutes ces choses-là, certainement, très certainement ? Alors, des voyages, lui, il préférait celui parcouru à pied, plus long certes, plus intransigeant, nécessitant de porter de petites charges seulement et de gîte en gîte, s’amener lentement vers une destination souvent hasardeuse. « Improviser ! » C’était sa manière d’être, il n’avait pas trouvé d’autres raisons de paître…