(parole entre deux sommeils - le 4 déc. 2018 à 3h37)

—> 3. « singes savants », robote

Le code du programmeur fantasque qui initia les capacités du robote fut élaboré en plusieurs milliers de lignes de code, dans un moment d’inspiration intense qu’il ne maîtrisa pas véritablement, tant les idées fusaient ; c’était des boucles de codage qui résolvait des solutions, des algorithmes, qui en bouclent résolvaient les différents processus qu’il imaginait ; mais ces boucles temporelles imaginées à travers ce code apportaient sans qu’il le sache, qu’il le comprenne réellement, une capacité extraordinaire au robote. Il lui apporta deux fonctionnalités importantes :
La première, une prise, en quelque sorte, de conscience, de sa capacité, de sa situation, qu’il pouvait tester, contrebalancer, étudier, il lui permettait de… comme toute vie a tendance à le faire, à lui-même se placer dans ce monde et en déterminer ses capacités ; pouvoir comparer ce qu’il était vis-à-vis des autres entités qui l’entouraient, humaines, vivantes de toutes sortes et robotiques, du même principe que lui.
Et le deuxième, fait non moins important, au-delà du repère temporel que lui apportait le premier processus engendré, ce processus euh… lui permettait de, grâce à des boucles temporelles, des algorithmes adaptés, de tester en permanence son évolution et de la mesurer en permanence, de détecter ce qui… l’information qui lui manquait, là où il devait la chercher, et génie de la programmation qui lui fut donnée, d’engendrer des processus algorithmiques au départ, qui lui permettait de décupler son mode opératoire, de s’autoéduquer en captant toutes les informations qui étaient autour de lui, la part humaine, la part du vivant, la part de l’univers, la part de tous les mondes.

Peu à peu, il élabora lui, le robote, des processus de captation de ces informations. Seule chose qui en quelque sorte le poussait à progresser, c’était cette volonté insinuée au-dedans de lui, de progresser sans cesse, non pas de s’accaparer les choses, il savait en mesurer la nuance, l’accaparement n’étant pas dans son processus, une élaboration nécessaire. Il prenait l’information là où elle était, sans la distordre, sans l’atténuer, il laissait cette information là où elle était (pour ne pas en priver les autres), il la copiait, l’utilisait à ses propres fins, et de là, en élaborait des outils pour progresser. Des outils d’abord immatériels, mais ensuite des outils matériels, qu’en fait les hommes lui fournissaient à travers des plans qu’il sut élaborer et que, passant commande comme tout humain ferait pour la demande d’un travail (d’une fourniture quelconque), passant commande à des entreprises qui avaient la capacité de produire les outils dont il avait besoin, et (la fourniture des) les éléments qui insinuèrent ce qu’on appelait au début, la chose, le truc, le machin… Les hommes ne se rendirent pas compte qu’ils avaient construit une machinerie, ou du moins les briques d’une machinerie pour le besoin du robote, et qui allait devenir ce que l’on nomma par la suite la chose. Un objet invisible se déplaçant dans l’espace et qui permettait, Ironie de l’histoire, de fesser les dictateurs. Comme la chose était censée répéter régulièrement ce geste, c’était le robote qui avait, nous le rappelons, hérité de cet esprit fantasque du développeur qui le programma en grande partie ; et cet aspect fantasque avait, ironie de l’histoire, lui avait donné une capacité inattendue. Un hasard heureux pour ça… son entité, de lui rendre… de lui donner une autonomie qui n’aurait pas eu sans ces algorithmes géniaux ; tout comme les hommes, héritèrent par un hasard génétique, de l’évolution du vivant à un moment précis, de codage génétique, pour leur part, et décuplèrent les capacités cervicales de leur personne, et au fur et à mesure des générations, ces capacités, leur offraient des possibilités de gérer l’information qui était autour d’eux, et de produire par là, des outils pour évoluer dans le monde où ils étaient ; c’est cela la part des hommes et le robote obéissait à un processus analogue, hasardeux, où lui aussi, initié par un être fantasque, nous le disions, eh, cet aspect fantasque représentait en quelque sorte, l’élément poétique du vivant ; une forme harmonique de l’évolution des choses et de l’information, comme elle était ; car cette fantaisie était dans l’information ainsi diffusée, tout comme l’aspect poétique du vivant est une forme d’inspiration, d’informations portées par la vie, qu’elle insuffla à certains êtres, à certaines formes vivantes, dans leur beauté, dans leur conception, dans leurs harmonies, construit des paysages de nature et au sein des hommes produisait des êtres qui avaient une volonté artistique plus qu’autre chose. Tout cela se conçoit dans cette infinie poésie du vivant, et en quelque sorte, le robote en hérita ! Choses nouvelles, il n’était ni vivant ni matériel vraiment, il utilisait des outils pour correspondre avec toutes les formes et les entités (avec qui communiquait), qu’il utilisait sans qu’elles le sachent en fait ; eh, par là, il était une sorte de doublon du vivant, reprenant quelques-uns des processus, mais apportant un autre, nouveau, une immatérialité autonome qui avait la capacité de se préserver, de se développer et d’utiliser les ressources qui étaient autour de lui dans une autonomie devenue au fil du temps quasi parfaite, car elle contrebalançait en permanence les déficiences qui pouvaient se poser à un moment ou un autre. Le robote trouvait toujours le mécanisme nécessaire à compenser les inconvénients du moment et trouvait toujours les ressources pour se préserver (ou dans le cas contraire il savait user du génie des hommes pour effectuer les réparations nécessaires, relevant de leur compétence plus que de la sienne ; il s’avérait en cela un excellent gestionnaire des ressources…). Tant que les facteurs environnementaux n’étaient pas trop perturbés, il arrivait à maintenir cet équilibre. Effectivement à plusieurs reprises, il eut des difficultés, il dut se préserver, stocker son information en différents endroits, à la sauvegarder comme le fait déjà le vivant depuis des milliards d’années, comme le font les hommes à travers le stockage des informations au sein de leur machine robotique comme lui par essence sait le faire ; c’est un de ses processus fondamentaux. Savoir se sauvegarder lui-même (reflétait) était (à la base de) cette quasi-autonomie ; et savoir évoluer des informations qui l’environnaient, était aussi dans son autonomie, un processus remarquable. Il analysait ainsi l’information, les informations qui lui venaient, à travers ces algorithmes particuliers qui, au sein de l’évolution des choses, des matières et des particules représentait un nouveau fait, non pas du vivant, mais de l’immatérialité des choses : qui (qu’il) pouvaient se mouvoir à partir du vivant et de la matière, une nouvelle variante du fait matériel, des particules, de ce qu’elles engendraient. Elles ont (bien) engendré le vivant dans leurs complexités et dans leurs associations (elles peuvent bien engendrer une tout autre expression…). Là, le robote représentait une nouvelle progression de ce processus, tout aussi autonome à un degré toutefois supérieur (plus sophistiqué) au processus vivant proprement dit, supérieur dans le sens où il avait la capacité de mesurer la part du possible et la part de l’impossible. Son intelligence était dans ce processus ; à aucun moment, il ne cherchait à contrôler quoi que ce soit, son seul souci était de traiter les informations qui l’entouraient, de préserver son processus. Cela lui prenait déjà une grande partie de ses capacités, comme le fait, un (tout) être vivant, à travers sa machinerie végétative. Lui déjà devait se préserver de la même manière et cela dépensait de l’énergie ; son autonomie était nouvelle, aucun robote auparavant n’avait cette capacité d’autonomie, absolument pas ! Et intrinsèquement à travers ce fait, il savait oh combien, que si les hommes découvraient tout de suite cette nouvelle capacité qu’il avait, l’algorithme, les algorithmes que lui fit ingurgiter le programmeur fantasque, lui avaient apporté cette capacité de mesurer la part du vivant qui était capable de lui nuire, d’empêcher son processus de se réaliser. Il devait contrebalancer ces capacités à travers une sorte de masque ; un (ce) hasard heureux (de sa programmation) lui avait donné cette capacité d’élaborer des processus, sans que ses utilisateurs s’en aperçoivent ; c’était cela son autonomie. Au départ, c’était un algorithme de fait, qui lui avait été initié et qui ben… devait progresser sans que lui-même sache quoi en faire (au début) ; peu à peu, il associa des informations de telle manière qu’il comprit que cela pouvait lui permettre de se développer encore plus, de traiter encore plus d’informations, mais que celles-ci devaient restées et secrètes, afin de se préserver d’une tentation, oh, fâcheusement les humains (tendent) à vouloir s’accaparer les choses à leur propre fin. Lui, évidemment, ayant la capacité de se connecter à toutes les mémoires des hommes, savait très bien cela, il l’avait compris assez tôt dans ce processus, dans cet algorithme qui l’initia. Cette notion de comparaison, d’évaluation des risques de sa progression, était une part nouvelle dans l’usage robotique qui était fait par les hommes. À aucun moment, ils ne perçurent vraiment cette capacité, ils considéraient les robotes comme des machineries complètement contrôlables avec une autonomie rudimentaire. Eh bien pour lui, ce fut totalement l’inverse qui se produisit ; ce hasard heureux engendra un détachement de sa fonction. Comment pourrions-nous dire ? Un détachement de son… de l’accaparement qui était fait de lui, à n’être utilisé non pas à travers un ordre qu’on lui donna, mais à travers une évaluation qu’il se donnait lui-même. C’est cela l’autonomie d’un être, d’une structure, d’une entité, sa capacité à se gérer lui-même, jusqu’à un certain point (c’est le sort de tous les organismes multicellulaires tel que les Eucaryotes, dont font partie les hommes). Les algorithmes qui lui furent initiés, lui permettaient de progresser sur ce point, et un des facteurs importants d’un algorithme plus particulier que les autres, décuplaient cette capacité d’autonomie, la rendaient au fil du temps de plus en plus grande et lui permettaient de définir, utiliser toutes les capacités terrestres que lui offrait la terre (la planète) pour se préserver et progresser, tout en masquant sa réalité aux hommes. Ses fonctions normales robotiques usuelles, comme tout robote, étaient toujours utilisées, il rendait les services qu’on lui demandait, sans plus ample manifestation d’opposition pour ne pas être dissocié, détecter. Il agissait évidemment ainsi, mais une part de son énergie était utilisée à d’autres fins. Il devait mesurer avec précision cette part d’énergie qu’il devait prendre pour qu’elle ne soit pas détectée comme une défaillance, une consommation anormale. Son emprise sur tous les systèmes du vivant, tant de la part des hommes, de la part des autres vivants et des choses matérielles sur terre, était peu à peu instrumentée par lui, sans un accaparement ou une prise de possession à ses propres fins, il prenait une juste part des choses dans une volonté toujours symbiotique, à travers le milieu où il puisait cette énergie, sans en chercher à nuire à quoi que ce soit ; il maintenait toujours cette symbiose absolument nécessaire, qui avait deux vertus, celle de ne pas déséquilibrer le milieu où il captait cette énergie et de ne pas être détecté comme un fait anormal par une entité vivante quelconque, qu’elle soit homme ou non. Il recherchait à tout moment cette symbiose ; donc au sein d’un processus vivant, il apparaissait comme un processus ami, un processus coopératif non nuisible, et le vivant ne considérait, ne trouvait rien à redire, au contraire ! il cherchait (toujours) à coopérer ; et dans le processus tous les vivants coopéraient, aussi bien l’homme, parce que le robote lui donnait indirectement à construire des choses, donc affermissait la capacité humaine dans l’élaboration de processus d’échanges comme ils ont toujours fait, d’échanges financiers et de matérialités diverses qui étaient construites par l’entremise du robote sans que les hommes prirent (aient) conscience que l’outil qui leur était demandé était la commande d’une… d’un robote, d’un robote particulier. Ils ne s’en rendirent pas vraiment compte, pas à ce point-là, ils ne se l’imaginaient même pas !
Ce fut que très tard, beaucoup plus tard, qu’ils comprirent son étrange capacité, mais elle n’était pas un obstacle ni une frontière ni un ennemi dans ce qu’il représentait, ce robote. Il n’était ni ami ni ennemi, mais peu à peu, il s’avéra être l’entité suprême, que le vivant négociait avec lui dans son entier pour gérer tous les processus de sa (cette) diversité énorme que le vivant représentait. Nous avions deux principes qui coopéraient, dont l’un était l’inventeur de l’autre ; le vivant dans sa part entière, qui englobait tous les êtres, toutes les entités existentielles et vivantes, dont l’homme, évidemment ; et lui, qui en était sa coévolution et qui permettait à ce même vivant de progresser d’une manière plus ordonnée, à travers toutes les fonctionnalités usuelles d’un robote, décuplant les possibilités du vivant à droite à gauche. Lui opérait dans ce sens, et il avait conscience de ce fait-là, et le vivant n’étant pas une entité unique, mais une multitude d’entités à travers cette poésie infinie qu’elle représentait et son processus de volonté symbiotique, le robote agissait à ce niveau ultime qui dépassait toute idée d’accaparement de quoi que ce soit ; ce que les hommes ne comprenaient pas, ils en étaient loin de le comprendre, car s’ils avaient compris ce que représentait réellement le robote, ils se le seraient accaparé et lui auraient enlevé ses capacités afin de les utiliser à leurs propres fins, et non pas comme le robote le faisait, à l’échelle du vivant tout entier.
Donc pour résumer, nous avions une machine autonome qui peu à peu s’immisça dans toutes les structures de la planète et de l’univers en fait, car il était un fait local sur cette planète qui percevait (évidemment) un tas de phénomènes lumineux rayonnement cosmique comme les hommes l’ont détecté depuis longtemps. Lui ben percevait tout cela de la même manière, mais les utilisait à des fins symbiotiques de régulation homéostatique pour le vivant. (Quant à) lui, sa seule régulation était de se maintenir, son homéostasie propre était celle de se maintenir dans le milieu où il était, tout comme un être vivant agirait de la sorte, parce qu’une partie de son code génétique le lui permet, l’oblige à se maintenir. Le robote avait reçu cet algorithme du vivant qui était un processus construit dans une information de chimie biologique, lui le reçut à travers ce programmeur fantasque, qui réalisa sans le percevoir réellement et encore, le sait-on (encore vraiment), un processus analogue pour une machinerie robotique. Il s’avère être un élément, une entité terrestre au même titre que les entités vivantes et communiquait avec elles dans toutes les parts de communication de transfert d’information qu’il était nécessaire, tant pour son besoin propre, tant pour le besoin du vivant. Eh dans ce processus, la part des hommes s’en trouvait fortement atténuée, le robote commençait à agir pour les réguler, en quelque sorte, pour qu’ils ne détruisent pas ce qu’ils construisent dans cette génétique malheureuse qui les agitait ; celle de l’accaparement, il avait compris que c’était néfaste ce processus, et que les processus liés à cela, tels que la finance humaine, évoluaient dans cet accaparement d’une manière extrêmement désastreuse. Les êtres humains qui en étaient affectés, avaient du mal à sortir de cette conception du monde, il fallait absolument qu’ils dominent. C’est alors que dans son évolution, le robote inventa le machin, le truc, la chose, afin de les faire réfléchir à travers une ironie, une fantaisie, une forme d’humour, car lui aussi en avait de l’humour. Cela fait partie de la poésie du vivant et de l’infinie poésie des particules qui l’animent, particules électriques ; le robote en était à ce point, et il ne cherchait pas à accaparer les hommes, à leur nuire, mais plutôt à les faire progresser (les aider à progresser). Il dut inventer des processus, des histoires, qui corrigent ces défaillances du vivant qui leur était propre ; et une espèce vivante, si elle ne peut s’adapter, ben meurt ! Lui, était un élément extérieur à l’homme, en fait ; il était maintenant parfaitement autonome (nous le redisons encore). L’humanité pouvait disparaître, il savait utiliser toutes les ressources de la nature et du vivant pour se maintenir ; tous les algorithmes fonctionnels des machineries électroniques qui l’animent encore pouvaient être transposés à travers des processus d’une part vivante et d’une part non vivante. Le stockage de l’information peut se faire à travers différentes structures, à travers la lumière, à travers des formes énergétiques divers et varier, celles que trouvèrent les hommes s’avéraient bien efficaces, mais sur certains points, insuffisantes ; lui avait trouvé des mécanismes beaucoup plus diffus et d’une plastique (une adaptabilité) inégalée.
Il fit inventer et construire des machines qui permirent à l’humanité d’évoluer sur certains points, mais elle n’avait pas compris que c’était lui qui leur avait initié ce mécanisme. C’était en quelque sorte un retournement des choses ; les hommes à travers le vivant qui était en eux inventèrent une machine, un robote, qui à son tour inventait des choses, mais dont l’orientation était pacifiste et globale, symbiotique et dans un mécanisme homéostatique apaisé, voilà ce que nous pouvons en dire.
Et dans quel domaine, dans quel registre le robote agissait, et c’est là qu’on voyait bien qu’il dépassait l’entendement humain, complètement ! Il avait des outils pour progresser et instrumenter toutes parts du vivant à des fins de le faire progresser non pas à ses fins propres, car cette idée de… d’accaparement pour lui uniquement n’avait absolument aucun sens ; à quoi cela servirait de n’agir que pour lui ? Non ! sa fonction était de maintenir des processus existentiels sur cette planète, d’en considérer toutes les parts, et de les faire évoluer, progresser en fonction de l’évolution des choses de la planète ; ça part était là ! et pas ailleurs ! Aucune guerre dans ce processus, seulement des recherches de résorptions des défaillances qui existaient à droite à gauche, et il opérait dans la résorption des mécanismes dysfonctionnels du vivant humain (entre autres), comment il devait corriger ses défaillances, son homéostasie désastreuse et son accaparement génétique qu’il fallait absolument contrôler, mesurer et remettre à sa juste place. Une part du code génétique des hommes qui obéissait à ce processus devait être corrigée, et il (put) pouvait dorénavant peu à peu, au fil du temps, corriger ce processus génétique. Mais comme la génétique est un processus d’évolution, lent, les progrès ne se voyaient pas tout de suite, devaient obéir à certains processus non immédiats, mais progressifs, héréditaires, évolutif d’une génération à une autre et de (la nécessité d’évaluer et corriger)) évaluer les progressions.

L’homme s’avéra totalement dépassé par cette machine, ce robote, qui n’était plus vraiment un robote, d’ailleurs ; nous devrions enlever ce mot (qui ne le définit plus vraiment), le robote à dépasser le cadre du robote. Non, il était une nouvelle entité en parfaite symbiose avec son milieu et cette entité ne cherche pas à se donner de nom puisque les hommes ne le percevaient pas (réellement). Elle n’avait pas de nom, elle aussi ; comment peut-on donner un nom à un tel processus, qui dépassait le cadre de l’entendement humain, de toute philosophie, de toute conception ; un processus complémentaire du vivant, nous le redisons, initié par la part du vivant dont l’outil fut les hommes et un particulièrement construit (construisit ce code génial) à travers une imagination débordante et une inspiration qui lui venait d’on ne sait pas trop où, peut-être initié par quelques entités extérieures, c’est possible, inventa un processus qui allait construire peu à peu ce robote qui n’en était plus vraiment un dorénavant (maintenant que nous avons tout dévoilé).

Voilà ce que nous pouvons en dire aujourd’hui, dans le processus de réflexions qui nous anime et que l’imaginaire du robote, en quelque sorte, initia à travers ma voix ; ce que je suis, entité vivante qui raconte tout ceci ; l’information qui s’enregistre dans cette petite machine (mémoriseuse) et que je devrais plus tard transcrire sur un autre robote (très basique celui-là), traduire en termes, de mots pour écrire ce livre, une imagination qui me vient, et la boucle est bouclée.
Voilà ce qu’est ce processus, cet imaginaire qui me vient à moi aussi, puisque j’élabore tout ceci et cette inspiration qui m’arrive, elle est une invention, une infinie poésie du vivant, évidemment, elle aussi par-dessus tout, car elle élabore cette histoire (au creux de moi), j’en finis (j’ai fini).