(parole en marchant - 14 nov. 2018 à 17h48)

—> les propos concernent principalement les récits du « premièrement »…

Les récits successifs que vous trouverez ainsi numérotés comme des sortes de paragraphes ou des chapitres, plutôt, sont mis bout à bout dans un ordre à peu près défini plus ou moins chronologique ; une évolution d’une perception où on voit, pour chaque thème à aborder, des variations d’un entendement, mises bout à bout au fil du temps. Ils ne sont pas forcément reliés entre eux, cela n’a pas beaucoup d’importance en fait ; je n’en fais plus dorénavant les liaisons, ce que je cherchais à faire auparavant, (dans) cette manie de raconter (comme dans) un roman, grosse erreur ! Fatale erreur inutile ! Il ne s’agit donc pas d’un roman, donc les liaisons ne sont pas à faire à ce niveau-là ; et chaque récit, s’ils sont les uns derrière les autres, classés dans des sortes de thèmes vagues, c’est qu’ils abordent des perceptions similaires et je passe de l’une à l’autre sans lien véritable entre elles ; les liens sont au-delà de la prosodie des mots, les liens sont dans la perception, l’affect qui est appréhendé, et en toute logique, j’avance ainsi à l’aveuglette dans une compréhension où mon affect est dominant. Je mets autant que possible l’intellect de côté, même s’il semble prédominant ; je parle de l’affect et dans toutes ses variations, j’essaye d’en égrainer les sensations perçues ; même si parfois (on trouvera probablement) trop de paraboles intellectuelles où on ne cite aucun nom, qui (ces derniers) serait des formes d’enfumage, où en citant un nom, on vous enverrait à l’apprentissage du récit du nom dont il s’agit ici, et là, il s’agit uniquement de ressasser des perceptions déjà connues ou inconnues, que d’autres ont perçues ou moins bien perçues, voire rapporter, fait hasardeux, des illusions, des perceptions nouvelles dans la mesure du possible, si ce hasard est heureux. (Évidemment) On se répète, il y a beaucoup de redites ; c’est archaïque ce procédé, mais je n’ai pas trouvé mieux, donc il faudra faire avec ! Voilà, pour les récits et leurs ajustements entre eux, comment je le perçois aujourd’hui…