(parole en marchant – 31 janv. 2019 à 14h25)
—> 2. « petit chemin » :
Merci (à) la forêt ! de ces balades tranquilles dont tu me fis présent ; je peux le dire au singulier ou au pluriel et le répéter comme un refrain, parfois, dans les plus belles balades que je fis au-dedans de toi.
Merci encore ! tu m’apportas tout ce que je devais recevoir, même si je sniffe à force d’une marche intense comme dans l’essoufflement de la narine, à force d’insuffler l’air si bon que tu me donnas… Insuffler ou expulser l’air si bon que tu me donnas.
Merci encore, à toutes (les) fois, les prochaines et la dernière que je ferai au creux de toi, même si un jour peut-être que j’y mourrais (au-dedans de toi) ; ma joie infinie serait de mourir ainsi…
(variante)
Merci encore, à toutes fois, les prochaines et la dernière que je ferai au creux de toi, même si un jour peut-être je mourais au-dedans de toi, ma joie infinie serait de finir ainsi…
…
(version finale)
Merci à la forêt ! de ces balades tranquilles dont tu me fis présent (snif), je peux le dire au singulier ou au pluriel et le répéter comme un refrain, parfois, dans les plus belles balades que je fis au-dedans de toi (snif).
Merci encore ! tu m’apportas tout ce que je devais recevoir (snif), même si je sniffe à force d’une marche intense comme dans l’essoufflement de la narine, à insuffler l’air si bon que tu me donnas… Insuffler ou expulser l’air si bon que tu me donnas.
Merci encore, à toutes fois, les prochaines et la dernière que je ferai au creux de toi, même si un jour (snif), peut-être j’y mourais au-dedans de toi, ma joie infinie serait de finir ainsi…
