(parole en marchant – 8 janv. 2019 à 17h25)

(ajouter dans livre 3 : il était un roi)

› Tout règne ne dure qu’un temps pourtant, sur ma vindicte…

(entre 0’13 et 0’18, sonagramme du cri de l’oiseau, un Faucon crécerelle très certainement, il dit « neni neni neni ! » à sa manière ; reconnaissable aux trois lignes harmoniques principales, ici, où chaque élément forme comme un v à l’envers ; ensuite, le sonagramme montre les quatre premiers mots de la phrase ci-dessous…)

› oui ! je suis d’accord (lui répondis-je)… vindicte des hommes, qui se prennent pour des rois, oh ! que dis-je, des rois de droit divin, ou divin tout court, ne nous embarrassons pas de superlatifs ; voire, même, divin, plus que divin, plus qu’impérial, un dieu universel, un être suprême, puisque l’on s’approprie un titre et que personne ne nous le conteste, du moins un certain temps ; à moins qu’une révolution arrive, ça s’est déjà vu, un roi est remplacé par d’autres, se prenant pour des rois, même si les noms changent, l’accaparement est le même !

(versions)

—> 1. « İl », peregrinatio, livre 3 : 102. et puis après ?

Vue audiométrique du sonagramme :