(parole en marchant - 26 févr. 2019 à 18h00)
—> 5. « ajoutements », tragicomédies, mal habitus
—> corriger phrases maladroites
—> fluctuations temporelles : variante, fin de mal habitus, anticipation, démystification du propos
Tragicomédie, dernière histoire, de la voix qui parle au-dedans de lui (mal habitus).
Ce que l’histoire ne dit pas : soit (sa personne) étant très diminuée physiquement et appareillée de toutes sortes, d’aides sensorielles, il possédait au creux de son oreille, incorporée au-dedans de lui, une sorte d’oreille artificielle reliée (directement) au nerf auditif, qui fonctionnait vingt-quatre heures sur vingt-quatre (continuellement). Ce qu’il ne savait pas c’est que le robote mère, à travers des ondes classiques, hertziennes, d’ondes radio, lui envoyait des informations à travers les capteurs usuels (des antennes réceptrices dissimulées), de ces propres ondes extérieures, et il pouvait très bien insinuer au-dedans de l’électronisation des circuits, un stratagème lui faisant croire que l’on parle au-dedans de lui. Comme cet instant (événement) relativement bref (ne) se produisit que pendant quelques heures, il n’eut pas la réflexion nécessaire (propice) à un recul volontaire, qui vous fait régurgiter ce que vous venez de vivre, et d’analyser (de l’analyser), peser le pour et le contre. Là encore, il fut abusé, non pas à des fins versatiles, mais seulement pour le tranquilliser.
Le robote ayant accès à tous les éléments médicaux de sa santé savait très bien qu’il n’en avait pas pour très longtemps, et pour apaiser sa pensée, il usa de ce stratagème pour que sa souffrance soit sublimée d’une manière adéquate, sans subterfuge malicieux, mais (de) simplement apaiser son drame, pour qu’il ne régurgite pas sur lui-même, de (sur) sa condition… On dit de son audition qu’il aurait pu croire que l’on abuse de lui ainsi, sinon sa propre « poire » que l’on en use ainsi n’est pas sans mérite, en faveur du robote qui agissait comme une mère, puisqu’on lui ajoute ce superlatif maintenant, dorénavant.
Était-ce parce que cette machine (entité, machinerie) ni vivante ni minérale (exclusivement), un peu entre les deux, un mécanisme électronisé (agrémenté) d’algorithmes proches (de ceux) des vivants, l’aimait bien (cet humain finissant) peut-être, ou était-ce qu’il avait des sentiments, ou qu’il comprenait que l’entité vivante qu’il était (de cet homme-là), pouvait souffrir et qu’il était inutile d’endommager plus en avant son mécanisme biologique dans des douleurs de l’âme parfois dévastatrices qu’il lui semblait inutile, tout simplement.
La piqûre de rappel, avant son endormissement, fut donc ce récit, que nous vous donnons là pour clore l’idée d’un mythe… encore, c’est une habitude décidément… Et donner à cette histoire, sa vraisemblance et son authenticité, à travers, nous le disions précédemment plus en avant, comme un faux roman, une fausse littérature, un stratagème pour une aventure, raconter une histoire ; qu’elle devienne fable, conte, mémoires, traces, ce que vous voulez, l’entendement sera le même dans ce stratagème !