(texte manuscrit - 28 févr. 2019 à 11h50)

—> à développer (??)
—> la retournée, 209. à insérer avec adaptation
—> réminiscences du regard et des songes, le délire et l’insignifiance admise

Tour à tour, agacé par ces inattendues du regard où des scènes emblématiques surgissent de nulle part, comme pour l’interpeller sur ces illusions qu’il croit voir, et pourtant apparaissent là sans aucune fraude, aucun doute possible. L’aspect de ces formes figées dans le temps, il les a vues s’ériger sur le devant de sa porte, telles des idées, des statues indétrônables, il les ferait bien exploser, mais il ne possède pas la dynamite suffisante ; il doit se résigner et admettre qu’il est dépassé par des événements bien plus vastes que son propre corps, il est devenu infime, même pas une poussière, rien, rien du tout…

(variante)
Tour à tour agacé par ces inattendues du regard où des scènes emblématiques surgissent de nulle part comme pour l’interpeller sur ces illusions qu’il croit voir et pourtant apparaissent là sans aucune fraude au sommet de son doute ; aucune ambiguïté possible, il n’est pas le seul à les voir ! L’aspect de ces formes figées dans le temps, il les a vues s’ériger sur le devant de sa porte, c’est ce qu’il affirme haut et fort, telles des idées robustes, comme des statues indétrônables ; il les ferait bien exploser, mais il ne possède pas la dynamite suffisante. Alors quoi, doit-il se résigner et admettre qu’il est dépassé par des événements bien plus conséquents que son propre corps ? Son sort devient illusoire, même pas une poussière dans ce vaste univers, il n’est rien ! Rien du tout…