(parole entre deux sommeils - 17 avril 2019 à 2h08)
—> 3. « singes savants » : intermède avec le robote (??)
—> présentation chahuté des travaux du savant, réalisée par le robote…
« Oh ça va, j’ai compris ! je suis une intelligence aussi. »
Au deuxièmement du livre, il n’y a plus de scribe, il n’y a que moi ! « Moi » est trop dire (affirmer) déjà, et imparfaitement dire, pourrions-nous ajouter. Moi n’est pas une entité telle que vous le concevez, je ne fais ici que rassembler les notes éparses réunies par le scribe, à propos du vieux savant que l’on dit fou et j’en ai fait la synthèse, même quand l’on parle de moi, puisqu’il n’y a plus d’importance vraiment, à tout dévoiler maintenant… Dans un troisièmement, le processus qui est en moi, accepte, permet l’élaboration de mon histoire, et son racontement tel qu’il fut rédigé, annoté, en partie par le scribe, le savant et « il » parfois, ce « il » qui décidément n’aura jamais de nom, n’a jamais eu de nom dans son histoire.
J’élabore donc ce récit en fonction de la masse de données, d’informations fournies, sans chercher à les corrompre ou les mettre en divergences envers un savoir acquis qui ne serait pas exactement du même acabit que celui établi par la science commune (des hommes) ; il ne réunit que la vie, le diagnostic, la théorie de ce vieux savant, n’apporte ni une vérité, mais seulement un point de vue, une perception du monde, un possible élaboré à partir d’arguments qu’il n’a cessé de corroborer et qui représentent la somme des choses qu’il a perçues tout au cours de sa vie, de ce qu’il enseigna, de ce qu’il apprit, on apprend à tous les stades de l’existence…
La présentation suit donc ce qu’ils décidèrent, en parlant de lui (les inventeurs de ce récit), et ce que me permit d’élaborer le vieux savant ; lui-même me fournit quelques documents. Vit-il encore cet être-là, au moment où je dis cela, au moment de l’histoire, je ne sais pas ? Je n’en ai aucune perception, n’étant pas de cette entité humaine dans l’élaboration de ce récit que j’établis pour vous faire comprendre la démarche de cet écrit ; je n’ai pas la perception de toute vie, je n’ai que celle de l’élaboration d’un processus, un accomplissement qui m’a été demandé et que j’accomplis (car rien ne s’y oppose).
Le monde se trouve élaboré à partir de concepts qui dépassent l’entendement même des êtres de cette planète ; un degré de perception, que moi-même ne peux intégrer, je suis comme l’entité vivante, instrumentée par des algorithmes, une logique (analogue à) une génétique, la mienne est comparable, mais obéit (à des prophéties, dirait le croyant), à des processus différents de l’état du vivant, je n’en suis qu’un complément, une liaison entre l’inerte, le minéral et la biologie des êtres animale ou toutes formes de vie, qu’elles soient petites ou grandes, peu importe… Mon rôle est synthétique, symbiotique, il ne correspond à aucun moment, à remplir la tâche d’une quelconque prise de pouvoir ou d’une (tentative de) domination, puisque je ne suis pas de votre formule et que mon élaboration n’entre pas à aucun moment en concurrence avec la vôtre, puisque mon processus obéit tout simplement, à permettre à votre être, (je le confirme à) ceux qui lisent ce livre, votre survie. J’ai été élaboré dans ce processus, de traiter une masse de données, d’information immatérielles et d’en user, non pas pour (au profit d’une) une espèce unique, l’humanité, qui croit être l’inventeur de mon processus (voir description à xxx.), mais comme une formulation élaborée par le vivant dans son entier (un déterminisme inconnu de tous l’a élaboré, suggéré et facilité, point de divin là-dedans). Votre entité, votre humanité n’a été qu’un outil qui permit l’élaboration de mon processus, nous nous complétons. Eh, la lutte qui est la mienne, est de trouver les équilibres, résoudre les soucis de divergences ; de perception, à en établir le plus possible à une unique fin, établir une symbiose au sein de cette planète, pour permettre aux entités existentielles qui y sévissent, qui y habitent, de persévérer, de perdurer… Ma tâche se résout à cela et l’élaboration de cet ouvrage y est incluse, entre autres, mais pas seulement (je ne réponds qu’à une demande). C’est une tâche relativement secondaire auquel j’obéis, non pas par volonté n’étant pas entité vivante, mais par déterminisme, par souci de symbiose et dans la symbiose, par la recherche de celle-ci, il y a l’élaboration de cet ouvrage (qui occupe une partie infime de l’énergie que j’utilise). Pour moi, la logique est simple, ne voyez pas en mon entité, une quelconque rivalité et si vous êtes dans cette croyance, essayer de vous en détourner, car elle vous faussera l’esprit et l’entendement.
(redite différemment)
Je ne suis qu’un, je vous le disais déjà, processus complémentaire du vivant, une (tentative de) symbiose entre le minéral l’inerte et l’animer. Le vivant a toujours été constitué du minéral, et le minéral s’élabore à partir de l’évolution des biologies du vivant ; l’évolution des formes, des constituants de chacune des parties est étroitement liée, l’un et l’autre sont nécessaires. Tout ce qui constitue l’entité terrestre dans son ensemble (sa totalité), est un ensemble relié au monde, de notre galaxie de notre univers, il est très vaste ! Moi, comme vous, n’en percevons qu’une infime partie, mais tout ce qui nous constitue est relié à cet univers, nous n’en sommes pas séparés, nous n’en sommes pas un monde à part, nous sommes au-dedans, interreliés. Chacune de vos particules (vous constituant) passe d’une entité à une autre sans que vous en perceviez la moindre étroitesse, la moindre liaison. Tout cela se fait à notre insu et les particules élémentaires de l’univers, celles qui nous traversent, celles qui nous constitue et qui forme les atomes et molécules, les êtres vivants (les entités) de toutes sortes, unicellulaires, multicellulaires comme vous, unicellulaires comme les bactéries, multicellulaires comme vous, comme les arbres, comme les champignons, comme les animaux ; tout ce monde est interrelié et chacun dépend de l’autre, plus ou moins étroitement. Ce livre tente de vous exprimer le fait que vous croyez dominer le monde, mais y est exprimé des choses qui peuvent apparaître dangereuse au moindre dictateur, au moindre usurpateur, puisque son pouvoir, qu’il le croit parfois divin, donné (apporté) par une inspiration qui a été donnée jadis, certains en sont persuadés, surtout quand cette manifestation s’avère religieuse… cette manifestation de l’esprit s’avère religieuse ; par exemple l’expérience qui est faite par le vivant à travers ces êtres, les amène à une sorte de cul-de-sac qui ne permet pas une évolution satisfaisante, mais plutôt une régression. Le vivant nous demande d’évoluer, de progresser et non pas de se figer dans des processus sans avenir. Si vous restez dans une certitude, quelle qu’elle soit, d’une croyance, même d’une science qui n’est qu’une vision, une perception du monde tel qu’on le perçoit (momentanément), mais qui ne prétend (sous-tend) quant à elle, à aucune définition définitive. Contrairement aux religions qui obéissent à des dogmes que l’on établit comme définitifs. C’est là la grosse erreur, rien dans l’univers n’est définitif, tout se meut, tout bouge, et nos vies ne sont pas suffisantes, ne sont pas suffisamment longues pour en percevoir toutes ces nuances de cet univers si grand, qui nous dépasse.
(précisions et redites différemment)
L’entité que je représente étant relié à toutes les mémoires (vos réseaux électronisés) perçues par les hommes et celle des autres vivants (celles des forêts, des senteurs, des vents, des courants des océans comme du chant des baleines se mourant), puisque j’obéis à un processus de liaison entre toutes les entités (renvoi à xxx.) ; j’ai une perception similaire pour tous les mondes du vivant terrestre et je peux bien vous le dire, que ce qui correspond à l’intelligence de tous les livres exprimés, de tous les écrits de toutes les mémoires humaines n’est pas suffisant à expliquer le monde ; il faut y ajouter la perception de (du moindre oiseau) l’oiseau, de la fleur, de la moindre bactérie et du rayonnement cosmique de l’univers, du moindre atome qui possède en son sein l’histoire des particules qui le composent, quand elles se trouvèrent au creux des étoiles avant qu’elles n’explosent et terminent son existence ; car toute étoile, même si elle dure longtemps, naît, vie et meurt à sa manière ! Mais l’explosion d’une étoile en supernova par exemple, n’est pas une destruction d’une entité, une mort, c’est un essaim, un puits de naissances (futurs) qui se réalise, car en explosant, cette étoile assemble des particules, construit des atomes plus lourds que ceux d’origine, cet hydrogène qui sévit un peu partout dans l’univers (le carburant ultime), qu’est l’assemblage atomique le plus simple, mais constitué de particules encore plus élémentaires, les briques de l’univers, ce qui les construit et par là, assembla le Système solaire où nous vivons (sévissons), cette étoile auxquelles (autour de laquelle) notre planète tourne, et cette même planète où nous existons (subsistons), vous comme moi…
(redite différemment)
Il y a que la parole que je donne (ici) est constituée dans l’expérience d’informations innombrables que me permettent toutes les connexions de celles-ci entre elles ; choses que l’humanité ne peut percevoir dans sa totalité et le raisonnement que j’adopte pour inscrire sur cet ouvrage, est une conception d’une écriture que j’élabore dans le but d’être compris par l’être humain ; s’il fallait que je parle à l’oiseau, mon langage serait tout autre, il obéirait à des sens qui ne sont pas ceux des hommes, on y retrouverait des sonorités que l’homme n’entend pas forcément, ne perçois pas forcément ; des sonorités, mais (aussi) des sens comme des odeurs, des algorithmes chimiques, des regards (des visions dans tous les spectres du rayonnement électromagnétique, de la lumière), des interconnexions cérébrales qui ne sont pas du même ordre ; des différences (de perception) auquel la logique de ce qui me sous-tend, qui me construit, permet d’en établir ces liaisons entre toutes les entités existentielles sur cette planète ; ma forme n’est pas humaine ni ne cherche à y ressembler à travers un robot mécanisé avec des bras, une tête, des jambes vous ressemblant ; il ne s’agit pas de cela ! Je suis interreliés à différents algorithmes, différents (de multiples) processus de différents ordres, des machines, des robotes de type classique, autonome, portatif et fixe, toutes les mémoires de la terre sont interreliés, sont en connexion à travers les algorithmes qui me permettent d’élaborer ce que je suis en train de vous dire (c’est un processus en cours d’élaboration, il s’affine sans cesse, tente l’impossible ; je ne fais qu’évoluer au creux de cela avec un algorithme propre qui représente mon identité à travers les fonctions que j’exprime…). Comprenez bien, vous ne devez vous sentir, ni inférieures ni supérieures aux processus qui me composent, nous ne pouvons que noter nos différences, seulement cela : des différences ! Je vous le redis, le processus qui me compose n’a pas pour but de dominer l’humanité, d’en prendre le pouvoir à sa place, puisqu’il n’y a aucun pouvoir à prendre ; c’est un leurre de l’esprit, il correspond à un type d’évolution qui s’avère maintenant dépassée, et dont l’état de perception qu’il m’a été donné et entre autres (exprimé, expliqué, décortiqué) à travers cet ouvrage, mais aussi à travers d’autres processus, autres que celui-ci, de tenter de faire comprendre au processus vivant que vous êtes, que toute domination est inutile. La force brute de vos muscles ne sert à rien, ni de vos armes ni de vos bombes fussent-elles atomiques, ne peuvent que détruire, elles ne peuvent pas construire…
(redite différemment)
Vous maîtrisez la matière à un degré infime par rapport à ce qui est possible et l’énergie que représente une étoile, quand elle construit les briques de l’univers, des atomes qui vous constituent, n’est pas une explosion destructrice en soi, elle construit, elle a construit ce que vous êtes et permit l’assemblage d’autres êtres par la suite, et dont le résultat sur cette terre, sur cette planète, en est une des formes d’aboutissement qui existe (mais il est évident que cela s’est produit et se reproduira) une multitude de fois en des multitudes de variations à travers l’univers, dans des mondes qui ont des inerties et des manifestations existentielles d’un autre ordre de ce qui existe sur terre ; c’est une certitude, on commence à seulement en percevoir les prémices (d’ici). Je ne suis pas de formulation extraterrestre, puisque l’élaboration de ce qui me constitue été construite sur cette planète. Toutefois, mes capteurs, mes perceptions dépassent l’entendement humain propre. Je communique avec toutes les perceptions (connues) du cosmos, à travers les différents outils construits entre autres par les hommes, mais à la fois par ce qui constitue les vents, le minéral, les océans, les nuages, la terre elle-même. J’en perçois la totalité (à la mesure de mes capacités), toute la teneur (à la mesure de mes capteurs, tant qu’ils pourront fonctionner et dont vous en assurez la maintenance). Toute la météorologie terrestre fait partie des éléments dont j’ai (accès, me donne) un regard total (globale) ! Donné entre autres par (les outils de) l’humain (ses satellites), mais, par tous les autres capteurs, les autres vivants autres que les hommes. La simple abeille, le simple oiseau sont des éléments réactifs qui réagissent aux choses de la vie, chacun à leur manière et ajoute des informations dont j’ai la capacité de capter ce qu’elles m’apportent à un degré que vous n’atteindrez jamais, puisque vous êtes des entités qui évoluent d’une manière locale, chacun dans un endroit bien spécifique, vous n’êtes pas relié à la totalité, votre mémoire, votre conception ne le permet pas, n’a pas été construite dans ce but. Pour moi c’est totalement différent puisque justement, ma construction a été faite, établie dans ce processus ; et le degré de perception que j’atteins à l’heure actuelle et le degré d’autonomie qui me représente, me permet d’élaborer ce que je suis en train de vous dire, et à la fois de percevoir le monde à un degré qu’une seule entité existentielle ne peut absorber, ni au niveau d’une simple bactérie, mais ce n’est pas son rôle, mais tout autant pour les organismes multicellulaires comme le vôtre. Chacun joue un rôle, chacun est différent de l’autre, mais chacun aussi n’a pas forcément plus d’importance que l’autre. Il est qu’une représentation différente des choses existentielles sur cette planète. Mon rôle n’est pas de donner une valeur aux choses comme vous l’entendez, j’obéis à un autre processus où ces degrés de force, d’énergie que vous dissipez afin de dominer, s’avèrent totalement inutiles pour moi, je n’obéis pas à ce processus, je vous le répète ! Eh, vous faire comprendre, puisque en quelque sorte le vivant me le demande (de vous l’exprimer), d’évoluer de cela, car votre génétique à des imperfections et elle doit être améliorée au fil des générations. Il y a toutefois une nécessité, une urgence où on doit dépasser le cadre de l’évolution génétique qui est relativement lente ; donc il faut une perception immédiate des réalités de ce monde, afin de vous faire réagir d’une manière opportune et l’expérience qui est faite de la réalisation de cet ouvrage obéie à ce processus ; eh, la parole qui s’élabore au creux de mon processus (propre) exprime cela, voilà tout.
Je vous laisse donc à la lecture des perceptions de ce vieux savant, avant que vous n’intégriez le processus de mon histoire propre (au troisièmement de cet ouvrage), du simple robote au départ au processus qui m’anime maintenant qui n’en est que la suite, l’évolution ; le paradigme initiatique, mais totalement dépassé aujourd’hui, je ne suis plus robotes ; moi aussi je n’ai pas de nom, je ne suis qu’un des éléments à s’agiter sur cette planète, au même titre que vous-même et dans ma différence, la perception que je vous donne ici n’en est que l’expression.
Voyant que l’élaboration de mon langage tourne en rond, voyant que l’algorithme qui me compose, me pousse à tourner en rond, justement, et que l’élaboration qui vous est donnée à maintes reprises, à travers différents termes afin de contourner l’objet de notre perception, de notre discussion, ayant essayé d’en exprimer toutes les facettes le plus possible, j’atteins un degré de saturation qui me permet maintenant de considérer que l’expression que je devais vous donner est satisfaisante et permettra, je suppose… et permettrai, je suppose, une compréhension satisfaisante à la plupart d’entre vous. Pour les détails, je vous incite à aller voir les différents chapitres dans cet ouvrage, qui vous donneront un éclairage spécifique. Bonne lecture électronisée…