(parole en marchant – 9 mai 2019 à 19h42)

—> revoir la cohésion du récit, si prévoit réellement cette expérimentation ?
(paroles de vieillard expérimentant le wouèbe en réseautage)
—> à développer !

Où l’on profite de ce réseau, pour insinuer notre propagation… la propagation de notre racontement, user de ce stratagème pour divulguer une mémoire qui dérangera sûrement plus d’un, pas forcément comme vous le supposez, la polémique, elle, il y en aura c’est certains, elle ne viendra pas du (de ce) genre humain que l’on dit égotique, elle surprendra ces humains à l’ego surdimensionné, imbus d’eux-mêmes, dans ce racontement d’une histoire, un drôle de stratagème, en effet, pour vous amener à un récit tout à fait gratuit, sinon de rémunérer l’imprimeur et une fondation qui porte son nom, pour l’usage que vous y verrez, n’est pas encore très bien défini ? On y met tout ça, ne le répéterais-je jamais assez, pour « voir comment ça fait », d’user de ces réseaux-là, qui exacerbent les esprits à courte vue, où la réflexion n’est pas profonde, mais soumise à des humeurs du moment vite oubliées ; je n’y crois guère à l’avenir de ces structures en réseau, comme elles sont agencées aujourd’hui au profit de quelques-uns, pour espionner quiconque y mettra quelque chose, y consultera quelque chose, pour en tirer un profit, un espionnage, un usage pécuniaire dépensant une énergie folle, probablement celle d’un déclin en cours, d’une espèce (à deux pattes) qui s’ingénie à (dans) une forme de désamour d’elle-même, incapable de dépasser ses propres tares…

Beaux Genêts, beaux Genêts, aujourd’hui, les Bugles (Ajuga reptans) me le disent…

Voyez donc cet éclat que vous faites de vos ébats, même si mon langage vous apparaît incompréhensible, hors du temps, d’une autre époque, j’y persiste pourtant, à y mettre en lien tout un racontement très long, très long. En aurez-vous le temps, en prendrez-vous du temps pour le lire, j’en doute, faisons ce pari élégant ! À voir les premières réactions, il en faudra du temps pour que celui-là en émette une, s’il lit l’ouvrage en un instant, il ne pourra qu’au bout de plusieurs jours, quelques semaines, voire des mois, y ajouter sa réprimande, sa critique, son embarra, je ne sais encore, c’est amusant ! J’ai un brin d’ironie et de désamour envers vous, sachez-le, et je n’y mets cela que pour expérimenter ce milieu, y voir ce que cela fait quand on introduit une parole aussi longuette. Y mettrez-vous du temps à tout lire ; ah ! je m’en amuse déjà et je sens les insultes fusées… Oh ! provocante idée de vous entendre ainsi gémir, je ne me fais aucune illusion. À dire vrai, ce que j’y mets ici pourrait se comprendre comme une pure provocation ; oh, elle ne fait pas de mal, elle ne tue quiconque ni n’injurie quoi que ce soit, sinon l’espèce que nous sommes, et des désagréments qu’elle nous octroie dans ces guerres, ces vindictes en perpétuels recommencements. Moi qui vous parle avec un air du vieux temps, des temps anciens, je vis encore pourtant quelque temps ; oui, pour voir, juste pour voir comment ça fait, dans ce stratagème que l’on dit sociable, ce réseau (étudier ce) que l’on y met…