(texte manuscrit – le 9 juin 2019 à 16h40)
—> des propos pas très clairs, de l’humour probablement ?
—> 1. « İl », peregrinatio, livre 4, 169. (203.)
Si ma jouissance de l’un dans l’autre, et vice versa, s’effectue dans le mensonge, une tromperie, un adultère, elle me détend l’exaltation venue, elle se rabougrit pour devenir toute menue menue, la passion se rabougrit jusqu’à devenir toute molle et sans grand intérêt, cela devient un plaisir contrarié (par conséquent).
(variante, corrigé)
Si nous parlions de ma jouissance de l’un dans l’autre et vice versa ! Si elle s’effectue dans le mensonge, une tromperie, un adultère, affirmer qu’elle détend l’exaltation venue, ce serait nier la réalité ; en fait, elle se rapetisse pour devenir toute menue menue, la passion se rabougrit jusqu’à devenir toute molle et sans grand intérêt, cela devient un plaisir contrarié, par conséquent.
(ajouts du 16 juin 2019 à 16h50)
Alors quoi devrais-je en préjuger de mon inintérêt à la chose, ce contentement de sa propre petite personne ? Un simple petit code d’une génétique distordue, quand jouir pour son soi soi à soi devient absolu, un impératif, une survie, ce soi éperdu ! Complètement englués, noyés, au dedans, regardez-les donc s’agiter, à force de culs culs pan pan, ils n’osent pas dire qu’ils sont perdus, paumés comme la fourmi recherchant son chemin dans une terre inconnue après qu’un vent subit la projeta à mille lieues de son logis ; ça devient, tout ça, des explorations pas très claires et après on dira etc., parce que ça suffit.