(parole en marchant – 7 août 2019 à 19h11)

—> 2. « petit chemin » :
—> à corriger beaucoup d’incohérences !

(dialogue avec un mécontent, au risque de faire craquer des dents, ou parler comme un sophiste, pour ne rien dire ni faire, seulement maudire ! Ça, c’est l’argument massue à la mode des médisants…)

Je suis saturé de vos commentaires ! Je n’en peux plus, vous parlez trop bavard pour ne rien dire, (sinon) toujours médire, toujours médire ! Mais avez-vous donc un autre racontement à me donner, c’est pénible enfin ! (dit-il les dents serrées, quelque chose précédemment l’a agacé ! Mais quoi ?)
Comment ? Quoi ? Alors il faudrait baisser la tête, courber l’échine, ne rien dire, admettre ce que l’on vient de commettre, hein ? Laissez dire ! C’est ça que vous voulez ?
Enfin, vos commentaires sur la vie de nous. Enfin, nous valons bien mieux que cela, tous ne sont pas ainsi !
Je n’ai jamais dit ça ! Je médis sur ceux qui font… ceux qui foutent le bordel ! Toujours la même clique, la même dérive, la même imbécillité qui sévit au creux des cervelles, cette petite tare de la génétique qui n’est pas parfaite, loin de là, je le vois bien, je ne veux pas être condescendant, ce monde ne vaut rien tel qu’il est maintenant, pour moi, je ne m’en satisfais pas, je le clame ! Qu’importe si l’on ne m’écoute, si l’on ne me prête oreille, ce n’est pas mon problème, je le dis quand même, et allez vous faire foutre !
Voilà ! Voilà votre ton ! Allons, soyez plus conciliants, dite autrement, plus gentiment !
Vous croyez que celui qui vous tend une arme sur le bout du nez est plus aimable ? Celui qui vous impose sa loi, ces règlements, son diktat, est plus aimable que moi, vous croyez cela ? Et puis d’abord, c’est ça le problème, vous croyez trop ! Arrêter de croire, et peut-être, ça ira mieux !
Oui, mais, vous n’apportez aucune solution !
Ce n’est pas à moi d’apporter la solution. Je ne suis pas de cette croyance, celui qui pourrait se prétendre un dieu. L’effort, c’est tous, que nous devons le faire, enfin !
Oui, mais, j’aime pas votre ton ! C’est mon droit ?
Mais bien sûr que c’est votre droit. Alors, que faites-vous là, à me réprimander partez ! Partez ! Allez voir ailleurs avec qui vous pourrez dialoguer plus aimablement !
Si je reste, c’est que malgré tout, vous abordez des choses qui vaillent le coup d’être appréhendée, d’être tentée d’être décortiquée, c’est vrai ! Mais enfin, vous n’avez pas le ton, vous n’êtes pas aimables !
Je n’ai aucune envie d’être aimable ! Les choses sont ainsi et je ne vais pas à mon âge, refaire ma vie, et tenter une autre manière d’être, cela n’est pas possible, il faudra faire avec ! D’ailleurs, je n’embête guère de personnes autour de moi, c’est le désert, alors, vous vous obstinez à m’approcher, à commenter quelques débats que j’ouvrirai pour la communauté, dites-vous, et bien soit, débattons ! Mais ouvertement sans se voiler la face, c’est ce que je tente de faire, je ne dis pas que j’y arrive, mais je dis les choses clairement avec mes tripes que je pose sur la table, et je dis « voilà, moi je vois comme ça ! Moi j’appréhende comme ça, ce qui m’emmerde je vous le dis, et puis voilà ! » Ensuite, je suis poli, remarquez, je reprends mes tripes, même si c’est de la merde, je ne la laisse pas, je la remets au-dedans de moi, et je m’en vais, aucune odeur fétide, vous ne ressentirez !
Vous avez une curieuse façon de parler tout de même !
Ben oui, mais si vous restez c’est que cela vous attire, comme le Vautour attiré par la charogne. C’est ça que vous êtes et que souvent nous sommes, il nous faut toujours une petite charogne à becter pour notre plaisir, notre jouissance, il faut quelques pourritures qui sévissent en quelques endroits pour justifier quelques traits et dire « voilà, c’est ainsi ! » C’est ce que je fais, je ne me voile pas la face, je vous l’ai déjà dit. Le monde est ainsi fait, être aimable, aimable d’accord, mais s’il y a une véritable entente, un véritable accord ! Ce n’est pas le cas, Monsieur, il n’y a que des désaccords, justement ! Les hommes sont submergés, je vous le répète, leur ego suprême leur fait faire les pires des bêtises. Quand je discute avec quiconque, j’en vois tout de suite les limites du discours, du dialogue, quand l’autre me répond, dévoile ses arguments, j’en ai souvent, bien souvent compris les limites, où cela peut nous mener et bien peux abordent des choses, des sujets qui méritent un quelconque remerciement, remerciements d’un nouvel entendement qu’ils m’apporteraient. Rares sont ceux-là, je suis blasé, misanthrope, vous dites, certainement ! À force d’être blasé… Et nous-mêmes (comme) la plupart d’entre nous sont de piètres habitants de cette planète. La plupart du temps, il faut l’avouer enfin, avouez-le, et ça vous fera du bien, nous sommes de piètres vivants, il faudra faire avec et l’admettre. Qu’ai-je à faire de celui qui visite en touriste, le monde, use une énergie mirobolante pour se déplacer très vite, user d’une rapidité que lui permet la technologie ; ne pas avoir la lenteur d’un déplacement avec du vent comme sur un voilier, par exemple, cette énergie déplacée là serait raisonnable, mais non, il faut aller très vite, car le temps de chacun pour se délecter du monde, voir ses plus belles beautés que l’on assaille de clichés photographiques ou de vidéogrammes insupportables où l’on se met devant en posant pour dire « ici, j’y étais ! » C’est intenable, c’est méprisable ! Je ne verrai pas toutes les merveilles du monde, de la terre, je n’en ai pas les moyens ni la richesse ni les possibilités énergétiques, je suis cloué là où je suis, non pas parce que je ne monnaye pas, mais j’ai une énergie à dissiper pour d’autres chimères, d’autres visions, d’autres perceptions à parfaire et ce n’est pas dans cet idéal-là, du contentement de soi, du contentement de moi, vous comprenez ? Et de celui qui m’écoute avec passion, ah, il dit, « lui, il apporte la vérité ! » Je l’engueule aussitôt, lui dit « non, ne te passionne pas de moi, surtout pas ! Réfléchis de toi-même, et exprime-toi à ta façon même si nous ne sommes pas d’accord, n’idolâtre quiconque, surtout pas ! Il va t’enfumer comme moi je t’enfumerai, dans mon discours, mon discours n’est que le mien, et ne sera toujours que le mien ! » Le problème c’est que nous devons arriver à penser et agir, plus que de penser par nous-mêmes, par nos propres volontés et par une perception non forcément réfléchie, laisser faire l’instinct plus que toute chose, mais pas l’instinct primaire, celui d’une reproduction d’un coït impromptu. Je ne parle pas de cet instinct-là ! Je dis de l’instinct de la perception des choses du monde, nous avons tous les capteurs nécessaires. Il suffit de les optimiser en apprenant à s’en servir. Ce n’est pas très compliqué. Ce n’est qu’une attention un peu plus profonde à acquérir. Voilà ce que je vous en dis, et ce voilà, ce que moi je tente de faire ! Mais ce n’est que moi, il n’y a pas de vérité là-dedans, il n’y a « que » ma propre réalité (à vous de la confronter à la vôtre). Comme ce vent qui vient contre moi, tente de brouiller ma parole, que fait-il, il n’en sait rien, lui, le vent, quand il me traverse, s’oppose à moi, me repousse, m’évente sans cesse, il s’en fout de moi, il balaie les sols parce que c’est son rôle, il ne se pose pas de question, il n’est pas une entité comme nous, il n’est qu’un mouvement d’air ! Eh, chose curieuse, l’air transporte des myriades d’entités que nous ne voyons pas, que nous respirons. Il est un support indéfectible de nos vies, sans lui, sans cet air que nous respirons, nous ne serions rien et combien de choses encore, si elles n’étaient point là, nous ne serions pas ! Ça, ce sont des faits, des réalités indétrônables auxquels on ne peut s’y opposer que par une forme de déraison, de déni absurde et imbécile, vouloir dire par-dessus les autres, « j’ai raison », peu importe sa raison, c’est le but c’est d’avoir raison sur les autres, ces discours-là, j’en ai assez ! Peu m’importe d’avoir raison ou tort, j’exprime ce que je perçois avec ce qui me fait, sans me poser de plus amples questions, voyons, allons, enfin ! Nous sommes faits en effet de chair et d’os, mais bien plus que cela, et nos propres réflexions sont le fruit de cela, ajouter à ce que j’omets de vous préciser : le reste de nous, qui nous construit, et dont nous ne parlons pas, que j’ai maintes fois aboyé sous votre nez pour vous l’exprimer. Non pas que moi je l’ai découvert, cela, et vous répétez banalement, simplement, ce que la plupart d’entre nous on comprit ; je ne suis qu’un pantin qui répète des évidences. Nous sommes des êtres habités par des êtres que nous ne voyons pas la plupart du temps, mais ils nous influencent, notre bêtise s’il en est une, est en partie la leur. Notre intelligence s’il en est une, est en partie la leur. Notre crétinerie, tout autant, et notre magnificence (s’il en est une) est le résultat d’une combinaison idéale, harmonieuse, une symbiose, par hasard qui se produit parfois chez chacun de nous ; et là c’est l’extase quand vous ressentez cela, c’est que tout va bien au-dedans de vous et qu’une communion se fait avec votre environnement, avec le milieu. Mais il ne faut pas aussi être dupe de cela, car parfois cette ivresse soudaine peut vous aveugler. Ne pas être dupe des fanfaronnades du monde qui se fait (font) autour de vous et qui vous apportent des contentements subis, où il vous semble avoir acquis un éveil, une perception nouvelle ! Et de perception, il n’en sera une que si cela se reproduit régulièrement, comme si vous aviez un nouvel œil au derrière (à l’envers) de vous, qui regarde par-derrière. Et si vous voyez en permanence par-derrière, là oui, un nouveau sens est apparu, une nouvelle vision ; mais si cette chose n’est que fugitive, c’est que vous ne l’avez qu’entr’aperçue et que vos efforts n’ont pas été suffisants, ils sont vains !

(parole en marchant – 7 août 2019 à 19h32) [S] (??)

—> deuxièmement, petit chemin
—> à corriger beaucoup d’incohérences !

Arrivez-vous à comprendre ce que je tente d’exprimer ?
Je réfléchis ?
C’est bien !
Pour une fois que vous parlez bien, je vous laisse raconter, je me tais !
Vous voudriez me flatter que vous ne vous y prendriez pas mieux…
Ah non ! Je dis ça aimablement et sincèrement…

0’55 (un oiseau sort de sa torpeur et lâche quelques trilles « tidilu ti ti ! » et reprend différemment à chaque fois)

L’oiseau plussoie discrètement, je l’ai dérangé ! Il dit « qu’est-ce qu’ils racontent ceux-là dans la forêt, je me reposais, je fermais les yeux et puis ce brouhaha de deux-pattes en dessous de moi ; que me racontent-ils là ? »
1’41 (un autre oiseau les suit de son « tsii ! », régulier toutes les secondes, comme pour épier et prévenir qu’il est là et qu’il écoute, son chant s’accélère quand le deux-pattes reprend la parole…)

de 1’56 à 2’03, entre les deux  derniers « tsii », les harmoniques asthmatiques et respiratoires du marcheur (de 9 kHz à plus de 14 kHz)…

2’04
N’oubliez jamais, nous ne sommes jamais seuls ! Nous sommes toujours très occupés, et ceux qui nous occupent ne nous parlent pas dans le langage habituel des hommes, ils nous parlent autrement. C’est un grattement sous l’aisselle (une sueur putride).

de 2’33 à 2’40, le chant régulier de l’oiseau…

C’est un sourcil qui fait un déplacement désagréable (à cause d’un encombrement inadéquat). C’est un grattement en haut de la tête (le cheveu s’engraisse). C’est une digestion douloureuse quand vous avez mangé par excès quelques mets inconsidérés (votre embonpoint inquiète les Bactéries du coin). C’est mille propos que les habitants de vous vous signalent ; si l’on te gratte ici, c’est que tu ne t’es point lavé depuis des semaines et que plus ça ira, plus tu te gratteras, car les habitants de toi se multiplient, se multiplient et disent, « c’est quand que tu viens (va) te laver, notre surpopulation commence à devenir préoccupante, nous ne pouvons plus gérer ta corpulence suffisamment » (le développement des acariens provoque des révoltes locales sur ta peau et dans ta tignasse c’est le bordel). Et c’est là que tu te dis, « tiens, il faudrait peut-être que j’aille me laver un peu ; cela me gratterait moins ! » Les dialogues ne se font pas que par la pensée, ils sont permanents ; et puis je reviens à ma marotte, ce que je dis là, ce que j’exprime là (snif), ben c’est quelque part, au fond de moi ou me traversant, peu importe la façon, des propos viennent à moi et ma parole les émet parce que j’ai été prédisposé à dire ce que je suis en train de vous dire et que je ne sais faire autrement. Eh, c’est d’une banalité incommensurable cela. Un dictateur n’est dictateur que parce qu’il ne sait pas vivre autrement. Il a trouvé cette forme d’équilibre pour satisfaire sa personne dans la terreur des autres, il s’en satisfait, mais il sait très bien au fond de lui, c’est dangereux, qu’on risque de le trucider à la moindre erreur de lui, il doit être sur ses gardes et séduire suffisamment ceux qui l’entourent, qui le serve parce qu’ils y ont intérêt, dans leurs petites magouilles que le despote préserve.

C’est un fin psychologue souvent le despote, vous savez, son intelligence n’est que détournée dans des attitudes inappropriées au service que de lui-même et au nom… et non de sa communauté, dans la bonne entente qu’il pourrait, à travers sa forme de charisme, permettre, non ! (version : C’est un fin psychologue souvent le despote, vous savez, son intelligence il l’a détournée dans des attitudes inappropriées au service de lui-même, et non pour sa communauté, user de son charisme et permettre une bonne entente, non !)

Là où il s’avère un être vulnérable, c’est qu’il ne fait que répéter (ressasser) des attitudes maintes fois répétées. Le despotisme n’est pas nouveau, et le concept a vieilli, il mérite d’être renouvelé. Il a des milliers d’années, depuis que les hommes font (formèrent) des civilisations, des cités, ont arrêté de voyager, se sont arrêtés dans des lieux ; là, une mutation s’est produite et nous n’y sommes pas suffisamment préparés, notre arrêt, nos développements de nos cités n’ont fait que produire des affrontements où les ego des despotes locaux s’affrontent à d’autres démons, ceux des despotes voisins et l’on appelle ça des civilisations, même si cela a apporté des bienfaits d’une technologie de découverte, de sciences, d’art quelconque, d’architecture de tout ce que vous voudrez, cela s’est construit sur les décombres de bien des morts, de bien des vandalismes. Excusez-moi, mais l’histoire de nous est suffisamment fournie de ce côté-là, pour que l’on y voie beaucoup de désordre dans ces civilisations qui naissent et meurent les unes derrière les autres, avec toujours un peu les mêmes mécanismes, un problème d’adaptation toujours au bout, d’une sclérose, une incapacité à évoluer, à s’adapter (s’acclimater), alors elle est remplacée par d’autres communautés qui tentent à leur tour une nouvelle civilisation, une nouvelle communauté, construisent de nouvelles cités qui à leur tour vont mourir, et puis on invente les frontières, des finances, des échanges, on tente de commercer avec l’autre, le rival, mais toujours, finalement quelques guerres au bout, à un moment ou un autre, quand les rivalités des plus nantis s’affrontent, se jalouses, tentent d’acquérir les biens de l’autre. Ce mécanisme se reproduit aujourd’hui encore, il est bête et stupide ; c’est toujours quelques nantis, quelques favorisés, qui à travers comme je vous disais, un charisme nauséabond, (ils) arrivent à séduire quelques individus, qui (ils) prennent le pouvoir ensemble, et la plupart du temps « emmerdent » terriblement la majorité des autres, qui souhaiteraient vivre calmement leur existence… Et le monde évolue à travers ces imbécillités qui se reproduisent. Eh, à force, l’entité que nous sommes entoure la planète et s’est répandue partout, voyageant au départ très lentement, au fil des milliers d’années, finit par faire le tour de la planète plusieurs fois. Rares sont les sols inoccupés, et là nous sommes à un nouveau stade où nous devons prendre conscience de nos limites, de notre réalité, nous l’avouer sans fard, avouer notre propre imbécillité, nos propres tares ! C’est ça que j’essaye de… d’exprimer, et que je rumine la manière de vous le dire, alors elle est vive (oui). Je ne suis pas le seul, heureusement, chacun à sa manière, tente d’exprimer ce ras-le-bol de cette incapacité à percevoir le monde suffisamment et de vivre calmement, ensemble. Le souci, il est là ! Si nous ne tentons rien, le monde qui nous entoure, tentera, lui, euh… fera même plus que tenter, il fera ce qu’il faut pour remettre les choses dans un ordre nouveau, en exprimant des solutions, des mouvements de la Terre, ses humeurs, sont climat, sont vent, ses marées, ses océans, toutes ces choses-là, rien qu’elles, uniquement elles, sont l’essentiel de ce qui va nous… araser, quelques tsunamis, quelques ouragans, quelques tremblements de terre, seront suffisants pour écrouler nos édifices, il n’en faut pas beaucoup, vous savez. Cela s’est déjà produit et se produira encore, n’ayez pas peur. C’est quoi cette tentation de construire des édifices toujours plus hauts en étend persuadée qu’on arriverait à construire la tour la plus solide qui soit, qui résiste à tout, mais non ! Elle tombera comme les autres et celles qui ne sont pas encore tombées tomberont le jour, c’est fatal, c’est irrémédiable. Soyons plus modestes, si vous voulez que la tour ne tombe pas, eh bien, ne la construisez pas, cette tour, si elle n’a que cette prétention d’être plus haute que celle du voisin, elle ne sert à rien, votre tour, sinon à représenter un gouffre d’énergie…
16’07 (une Tourterelle se fait entendre)
Ah ! Une prouesse technologique probablement, n’est qu’une prouesse, la gloire d’un architecte ou d’un despote local qui la fit construire, pour dire « voyez, moi j’ai la tour la plus haute du monde ! (c’est moi qu’a la plus grosse !) ». Quel pays n’a pas tenté de construire de tels édifices, il n’y en a pas beaucoup, sauf peut-être les plus petits, mais ils construiront à la mesure de leurs moyens, des édifices qui tenteront d’autres exploits que la hauteur. Et là, dans d’autres domaines comme la finance, où certains excellent en proposant des avantages (pécuniaires d’une contrebande fiscale). Là encore, ah ! La finance, on pourrait tant en raconter ? Mais je deviens fade… mon propos ne subit plus les influences suffisantes pour que je vous amène les mots qu’il faudrait, c’est l’inspiration qui ne vient plus, elle n’est plus à propos, il faut que je change de sujet… Nous sommes toujours à un moment ou un autre, confronté à un manque ; ici, à un manque de paroles cohérentes qui apportent quelques entendements pour avancer un peu dans une marche obstinée, pour donner un rythme à la pensée. Mais d’une simple promenade, on ne peut pas tout aborder tous les soucis que l’on a dans le monde ou que l’on voit et « refaire le monde à chaque fois », l’expression qui dit bien ce qu’elle veut dire… Sans exploits, au son de ma voix, je me laisse guider, j’écoute les bruits autour de moi, et rien ne vient (ne m’arrive) ! Voilà, ce qui me vient, en ce moment, rien ! C’est drôle le parcours d’un être, parfois tout arrive très vite, à peine que vous déversez ce qui vous arrive, vous tenter d’en garder les quelques traces que cela vous laisse, vous n’arrivez pas à tout mettre en même temps, et cela déborde, vous ne savez plus où en mettre. Là encore, cette mémorisation qui se fait va s’ajouter à des centaines et des centaines d’autres, déjà concoctés, emmagasinés sur des supports numérisés, sur des papiers, je n’arrive pas à en voir le bout, j’en suis submergé… Et puis parfois, vous tentez d’avancer, et rien ne vient ! Alors on recommence. Puis d’autres jours, cela vient à nouveau, et le désespoir arrive quand les jours stériles s’enchaînent les uns derrière les autres, jusqu’à en devenir malade, ne pas avoir absorbé la bonne nourriture, ne pas avoir accompli les bons sommeils qui vous équilibrent le corps, ne pas avoir eu les bons rapports avec vos semblables autour de vous. Tout cela s’ajoute et rend stérile votre vie. Alors il faut changer sans doute, changer quelque chose pour que cela revienne… « Revienne, quoi ? » Me désirez-vous, eh bien, l’invention, de l’imagination, l’inspiration (cela vous aidera à adopter des comportements appropriés)… Vous croyez être le maître de votre inspiration, mais ça sera jamais réellement vous-même, c’est tout ce qui vous vient autour de vous et qui vous amène celle-ci, elle est tout, sauf de vous, réellement, vous n’êtes qu’un… qu’un quoi d’ailleurs ? Qu’une sorte de moulinette, quand on la tourne, ce que l’on met dedans va être moulu à votre manière, avec vos propres arguments, vos propres gestes, vos propres plans, mais ils ne feront que résulter de ce qui vous arriva sur le moment, là où vous étiez ; tout ce que vous entendiez vient, que vous ayez vu, que vous ayez lu, va vous influencer terriblement. Si le monde n’était pas là à vous apporter sans cesse des informations, vous ne pourriez pas régurgiter le monde comme vous le faites, c’est impossible, vous y êtes lié et vous ne faites que transformer, comme un Ver de terre, dans la terre, il absorbe par le devant cette terre, la transforme, et par son derrière, vous la ressort à travers (sauf) un certain nombre de nutriments qu’il récupérera pour sa survie, vous donnera ces petites formes spécifiques en dehors des trouées qu’il produit pour aérer la terre et qui sont bénéfiques, va vous adoucir la terre d’une manière appréciable…

24’48 (le cri d’un Geai commence à retentir ; il ralentit sa marche vers 25’00, pour l’écouter ; il se mouche à 25’42 ; reprend sa marche à 26’04 ; vers 27’11 une bourrasque arrive ; il s’arrête près d’un écoulement d’eau)

de 25’19 à 25’34

27’42
Il est tombé suffisamment d’eau cette nuit pour que le ruisseau de la forêt s’égaie un peu… (il reprend sa marche)
28’58
Vous parliez du Ver de terre ?
Oui ! (snif) Nous sommes des Vers de terre, ou du moins nos mécanismes sont similaires, cela rentre d’un côté, cela ressort de l’autre ; beaucoup d’êtres vivants procèdent du même mécanisme ; nous sommes des transformateurs, des interfaces, de la matière animée. Eh, pour ce qui nous concerne, en plus de ces transformations, nous cooptons quelques vibrations sonores, résultat d’une pensée immatérielle…
29’58 (à nouveau, le Geai Faucon crécerelle lance quelques cris)
… qui apporte un certain nombre de raisonnements…

de 30’10 à 30’18, il s’arrête pour écouter le Geai (on distingue l’empilement des harmoniques très serrées), puis reprend sa marche vers 30’22 ; le Geai surveille et guette sûrement le deux-pattes en dessous de lui…

30’37
Et nous croyons que nos propres pensées sont l’état suprême du vivant sur cette planète (snif), moi je dis que c’est une illusion, cela, l’oiseau que vous venez d’entendre, peu très bien se poser… prétendre qu’il est l’incarnation d’une supériorité d’esprit qui dépasse (celle des) les deux-pattes qu’il voit du haut de sa branche. Il se moque ! Nous sommes aveuglées parce que nous sommes, mais nous sommes le résultat de toutes les entités vivantes qui ont vécu avant nous, et chacun en est une expression, ni plus ni moins. De dire que je suis plus que l’autre, c’est une vision gratuite qui ne veut pas dire grand-chose (snif). La complexité de ce que nous sommes, (comme) prétendre les combinaisons de notre cerveau plus grandes que certaines combinaisons que l’on retrouverait à travers l’univers, est d’une vanité incommensurable, un aveuglement de soi que j’ai du mal à comprendre quand vous avez quelques savants, journalistes, qui expriment ce genre de bévue (snif), nous ne pouvons pas être au-delà de ce qui nous construit, tout au-dedans de nous, n’est que contenu dans tout ce qui nous compose, pensée, esprit et matière, contenue dans un univers infiniment plus grand que nous. L’univers, lui de toutes les entités qui le constituent sa somme (quantification) est inimaginable à côté de ce que nous sommes nous-mêmes. C’est ridicule de se croire le centre de l’univers. Moi, ça ne me dérange pas d’être rien, peu de choses, et de l’admettre, cela me fait du bien, je dirais presque ! (snif) Vous allez dire que je me répète, mais vous me posez finalement toujours les mêmes questions sur les mêmes sujets et nous y revenons sans cesse, n’est-ce pas ?

C’est un serpent qui se mord la queue, expression bien imagée, très claire. Quoi que nous fassions, c’est du pareil au même (à chaque) fois. Nous avons la chance de percevoir d’une certaine manière, comme la chauve-souris perçoit, comme le papillon, comme chacun perçoit les choses à sa manière, ni plus ni moins, seulement différemment (snif). Et ce qui fait le vivant, sa somme, c’est la différence, la différenciation ! Pourquoi donc ? Ah, vaste débat ! Parce que c’est ainsi, et que les déplacements (développements) successifs des entités qui nous précédèrent n’a (ont) jamais pu reproduire (exactement) à l’identique des mêmes êtres, il y a eu sans cesse des variations, et à force de variations, nous en arrivons à l’état présent où une très grande diversité d’entités subsiste sur la planète. C’est ainsi, c’est comme ça, il faut faire avec ! Moi je dis que c’est une richesse qui n’est pas un inconvénient. On considère ainsi les autres, on voudrait éliminer certains êtres considérés comme nuisibles !

Ah ! Là encore, je ne suis pas d’accord, n’est nuisible que celui qui vous gêne (snif), un ennemi (dans votre esprit, seulement) ? Si vous le considériez d’une autre manière, peut-être qu’il ne vous gênerait pas tant que ça ! N’est ennemi que ce que l’on ignore, celui qu’on ne connaît pas. Eh, si l’autre en face, qui est votre ennemi (prétendu), vous considère, lui aussi, comme votre (sont) ennemi, il a le même souci que vous ; mais comme vous êtes dominants, plus nombreux, mieux équipés, vous allez pouvoir l’éliminer, et lui aura plus de mal (à vous affronter), parfois un peu de chance. Mais la plupart du temps, c’est nous qui gagnerons temporairement ; mais à force d’éliminer ceux qui nous contrarient (il se mouche)… nous savons bien, nous savons bien ce qui va arriver, nous le savons infiniment, depuis toujours.

Une petite voix au fond de nous nous dit « ne prends dans la nature que ce que (dont) tu as besoin pour subsister ; laisse le reste aux autres ! » Apprendre le partage, ce n’est pas un des commandements d’une divinité quelconque, c’est une règle qui est plus ou moins respectée et qui obéit à un fondement naturel, probablement en partie une logique génétique, programmée, nous ne sommes pas si complexes que cela. Nous obéissons à beaucoup de mécanismes rodés depuis des milliards d’années et nos réflexes sont bien souvent attendus, prévisibles. La violence des êtres qui ne cherchent qu’à détruire, même s’ils sont fortement équipés d’une technologie très développée, à la pointe, ils seront toujours prévisibles, et plus la technologie sera complexe, plus elle aura un inconvénient, sa fragilité ! Il suffit de couper (d’interrompre) simplement ce qu’on appelle l’apport énergétique à toute forme de technologie, que (aussitôt) celle-ci cesse de fonctionner.

Étant donné que l’énergie est à la base de tout, dans ces processus, si elle ne peut être déversée correctement, la machine, quelle qu’elle soit, ne sera pas opérante. Qu’elle soit, la machine, une machine roulante, une arme, un avion ou tout ce que vous voudrez, il a besoin de cette énergie ! Vous l’enlevez, cette énergie, et l’arme n’est rien (qu’un tas de ferraille), l’avion ne vole plus, la machine fut-elle roulante, n’avance plus et vous voilà pris au dépourvu, c’est très simple ! La meilleure défense, la meilleure contre-attaque est de refuser, quand on ne pourra jamais avoir le dessus, de refuser de se battre, de ne pas se battre, de ne dépenser nullement cette énergie si cruciale à ces fins-là, puisque nous n’en sommes pas, nous ne sommes pas les dominants, les autres en ont plus que vous.

Donc, vous serez toujours perdants, donc (par conséquent) user le peu d’énergie qu’il vous reste à des comportements de détournement, d’esquive, pour que l’autre s’épuise, que des leurres se produisent en permanence pour lui faire croire qu’il a vaincu, alors qu’il n’a fait qu’abattre des chimères. Le flatter (ainsi), qu’il puisse exprimer sa gloriole suffisamment, dire, « j’ai vaincu ! » C’est facile à entretenir et c’est une subtilité d’agir dans ce sens, bien plus remarquable qu’une force brute. Les plus grands maîtres (en la matière), seront ceux qui ne se battront jamais, qui auront l’art de l’esquive et qui sauront épuiser celui qui a la force brute, qui n’est qu’une brute ! Et le brut (brutale), on le sait bien souvent n’a pas l’intelligence suffisante pour vaincre une certaine subtilité de l’entendement, ça s’est vérifié bien des fois, relisez l’histoire des hommes. Les victoires ne sont qu’apparentes, les hommes croient avoir vaincu tout sur terre, moi, je rigole doucement, ils ont abattu des chimères et ces chimères vont peu à peu se retourner contre eux pour les abattre tout bêtement à leur tour à travers un revirement où la nature a le don !

Maintenant, relisez l’histoire (du monde), l’histoire des hommes est truffée de ces revirements. Mais en plus, allons plus loin, le vivant lui-même, quand il produisit ces dinosaures, ces animaux énormes parce qu’une atmosphère spécifique permettait la construction (constitution) de tels êtres, leur gigantisme avait un inconvénient, c’est qu’ils étaient très fragiles, peu mobiles, peu adaptables ; et que les mêmes lignées on produit par la suite des êtres plus subtils (tels) que sont les oiseaux, (cela) montre que la nature, le vivant, dans cette nature, a su utiliser cette bévue du gigantisme comme une leçon, et à créer des êtres à l’inverse, plus subtil, élégants, ayant des capacités uniques de voler, de chanter, même si parfois leurs chants ne sont pas très agréables (comme celui du faucon de tout à l’heure), la plupart le sont. Curieusement, vous verrez que ce sont les oiseaux de proie, les oiseaux de proie qui ont les chants les plus ingrats, leurs tâches est (sont) ingrates, ce sont des éboueurs (des charognards comme le Vautour), des régulateurs comme les fauves, chez les mammifères, ils ont des comportements brutaux, mais on ne leur demande pas autre chose (snif). Ils sont peu nombreux, ne dominent pas, et doivent être là pour réguler les autres, plus nombreux (comme les immenses troupeaux de Gnous dans la savane, par exemple). Vous voyez ça chez les oiseaux, chez les mammifères, ou à travers le monde bactérien (snif), c’est du même ordre avec les virus, ils combattent les bactéries, et même les bactéries s’affrontent (entrent-elles).

Les êtres les plus redoutables sont bien les plus invisibles, ceux qu’on ne voit pas (snif), redoutables, car en quelques instants peuvent vous anéantir très vite à travers un simple déplacement d’air adéquat dans un gaz approprié, vous y faire inhaler une mixture qui va vous emporter très très rapidement ! Là, toutes les technologies (des hommes) ne sont pas à même de combattre véritablement, sauf à travers un effort de technologie (matériel) et d’énergie consommée qui ne pourra être supportée que par une minorité… Étant donné que les combinaisons du vivant sont à l’infini (snif), au fil des millions d’années, elles vont permettre des évolutions tout aussi infinies, variant sans cesse ; l’expérience qui est faite de nous, n’étant qu’une étape, comme tous les êtres autour de nous, (ils) ne sont qu’une étape au même titre que la nôtre ; notre propre apport va s’ajouter aux apports des autres, avec une masse d’informations recueillies (snif), qui va permettre au vivant de varier encore dans des adaptations sans cesse plus subtiles, semble-t-il ? Où notre entité propre, sera certainement leurrée encore plus qu’elle ne l’est actuellement, si ce n’est déjà fait complètement, nous ne nous en soucions guère de tout cela, nous ne nous en soucions guère de tout cela (snif) et cela va nous emporter (si nous n’arrivons pas à l’assimiler en réagissant dans un déterminisme attendu par le vivant, une évolution, une adaptation, un changement…).

50’35 (sur la chose)
Quand je vous exprimais, tantôt, l’expression de la chose, la chose indéterminée, le truc, le machin, c’est un de ces processus sans nom qu’on ne comprend pas qui n’est même pas du divin, de l’ordre du divin, on n’en sait rien, on dit « la chose », parce qu’on n’en sait rien, oui ! Et cette chose est un mécanisme en train de se produire, qui est une synthèse (de comportements nouveaux et inconnus) dont nous ne sommes plus totalement les maîtres. Avons-nous d’ailleurs été les maîtres de quoi que ce soit dans l’histoire, je vous le demande ? Je le répète, mais, il ne faut jamais, à mon avis, cesser de le répéter, nous ne sommes que les outils d’un processus en cours et notre expression est comme tout autre être vivant, un outil qui va lui servir à perpétuer son mécanisme, sur cette planète (snif). En cela, je suis absolument persuadé qu’il existe un mécanisme, un déterminisme précis dans sa logique, qui ne sait pas trop comment faire, mais qui expérimente une autre conception qui est le fruit d’une somme de hasard, comme (pour) toute tentative, toute entité vivante au même titre que les autres, a permis certaines évolutions (snif), qui vont servir à ce déterminisme, va lui permettre d’accéder à un certain nombre de perceptions, ou d’organisations, mais oh grand jamais nous n’en serons les maîtres, car peu à peu, va émerger au-dedans de nous, une évidence, de quelques entités, ou expressions, qui vont nous faire comprendre que nous sommes les esclaves d’un système, même si nous faisons beaucoup de bêtises, elles sont le résultat de notre mode opératoire, elle (il) n’excuse pas ses bêtises, elles ne sont que le résultat, résultat de ce processus qui nous permet d’exister (snif), et les petits plaisirs de notre ego, tout ça, notre imagination, notre création artistique, tout ce que vous voudrez, c’est du pipeau !

Oh ! Du pipeau, comme on ne peut pas savoir, on nous fait croire ! Tenter d’atteindre le divin, dans toutes ces expressions trouver une gloire !

Mais cette gloire est un leurre absolument bluffant ! La preuve (la situation actuelle de nos sociétés), nous nous sommes fait prendre au piège bien des fois, et nous n’arrivons pas à en sortir ! Moi-même, je m’aperçois que c’est quelque chose comme ça qui se produit… hé… hé, je ne peux pas, je n’arrive plus à percevoir autrement, ça me paraît maintenant tellement évident, beaucoup, beaucoup vont avoir du mal à accepter cela, ils se croient le maître d’eux-mêmes, alors qu’ils ne sont que des pantins dans un système qui les manipule (dans son expérience que fait le vivant en eux, ce qui les anime). Bien sûr, nous avons notre liberté de conscience, tout ça, (toutefois) nos choix sont très limités, très limités, et l’éveil n’est pas forcément de dire ce que je suis en train de dire, je ne sais pas si je m’éveille, ce n’est peut-être pas de l’éveil, c’est peut-être aussi une forme d’aveuglement, de préciser ce que je suis en train de dire, je n’en sais rien, mais ce dont je suis certain, c’est que ma part est très modeste dans ce que je suis et ce qui me compose et ce que je fais et ce que j’exprime, ma part propre est modeste ; et ce que je dis, « ma part » n’est qu’un leurre ? Je suis la combinaison d’un mécanisme qui se produit en moi et qui à travers une forme d’ego me fait croire à « ma » part, il n’y a pas de part du tout, il y a un mécanisme qui se produit au-dedans de toi, et c’est tout ! Eh, qui te fait agir comme à travers des actes, comme je le fais en ce moment, ce n’est rien d’autre…

(à la fin, vers 57’17, trois sonorités infimes, le chant discret d’un oiseau, entrecoupé par le souffle d’un snif du marcheur, où se mêle une respiration asthmatique ajoutant ces résonances harmoniques très brèves, mais si caractéristiques pendant 0,5 s…)

(parole du soir – 7 août 2019 à 20h37)

—> 4. « du robote à la chose » : du robote à la chose (??)
—> 1. « Il » :

—> dans les récits du « premièrement » : sur la narration faite autour du robote, de la perception que le scribe en a ; et du comment de la relation du robote avec la chose…

Le robote n’est que l’expression de la chose, il n’est pas la chose elle-même, il n’en est qu’une expression parmi d’autres, un de ses mécanismes, un de ses bras agissants, une variation dans ce qui n’est ni véritablement vivant ni véritablement inerte, une expression de la matière différente ; quelques mécanismes dont les fondements nous sont encore ignorés et qui à moi-même ne me sont que dévoilés peu à peu. Donc, j’explore autant que vous le principe qui me vient.
Peu à peu, il me sera dévoilé certainement à la fin, je n’en sais rien, j’anticipe, j’envisage, pour dire en ce moment même, que je n’en sais rien, de tout cela…

Sonagrammes audiométriques :