(parole entre deux sommeils – 8 nov. 2019 à 1h26)

—> note pour les débutements

Le début, avant « premièrement », on l’appelle effectivement ilem (à la place de ylem), avec le i à l’envers, le y à l’envers faisant un i… je valide, aujourd’hui.
Le début est un trait, pour la première page,
deuxième page : deux traits de taille différente, qui traverse la page,
s’ajoutent plus ou moins au fil des pages, un trait, deux, trois, trois, quatre, cinq, quatre, trois, six, sept… cela varie,
peu à peu, les traits se rejoignent vers un centre hypothétique, de taille toujours différente, ils traversent toujours la page, leur épaisseur est de taille différente uniquement…
À un moment se forme l’ilem, une conjonction, à partir de cet instant, le récit peut commencer…

(version)

(une idée dans l’air a grappillé, pour essayer de progresser, comme un scribe inspiré s’imagine une avancée…)

« Le début, avant “premièrement”, on l’appelle effectivement ilem ὕλη, je valide aujourd’hui. Le début est un trait, pour la première page ; deuxième page : deux traits de taille différente, qui traverse la page ; s’ajoutent plus ou moins au fil des pages, un trait, deux, trois, quatre, cinq, quatre, trois, six, sept… cela varie ; peu à peu, les traits se rejoignent vers un centre hypothétique, de taille toujours différente, ils traversent toujours la page, leur épaisseur est de taille différente uniquement… »

À un moment se forme la chose, une conjonction, à partir de cet instant, le récit peut commencer…

(ajout : à cet instant, l’on tente de reproduire l’image d’une collision de particules élémentaires, voir comment ça fait ?)

(après ces instants du commencement d’un monde, dans celui-ci, bien plus tard, quelques entités élaborèrent l’idée de raconter ces commencements : la narration survient après ces préalables successifs… espérer qu’on y arrive, enfin !)