(texte manuscrit, à 18h30)

Du roman, dans une telle narration, qu’y ferait-il ? Sinon de compromettre la cause même du récit, la multitude des provenances épuise le scribe que sans cesse l’on relance, et ils attendent ceux-là, les inspirateurs du racontement, pour ajouter une nuance ou deux, même plus en faisant les langoureux, il ajoute :
    • Vous l’avez bien compris, cette forme narrative n’imite guère le roman, ou le racontement d’une histoire dans des méandres hors de notre portée, nous n’avons le talent ni la tentation de reproduire ce type d’expression sans appauvrir le discours. Évoluons donc au risque de nous tromper, de se perdre, trompons-nous s’il le faut, perdons-nous s’il le faut, c’est avancé tout de même !
(cette remarque serait-elle à compléter et à insérer dans un « premièrement » ?)