(texte manuscrit – 19 nov. 2019 à 21h30)

Toujours cette impossibilité de raconter véritablement une histoire, ne laisser que quelques bribes de-ci de-là sans pour autant arriver à les réunir. Rester dans l’impossibilité de raconter quoi que ce soit d’une histoire cohérente, d’un début, d’un contenu et d’une fin. Parce qu’il n’y a ni début ni fin, seulement un flux continu de ce qui vous vient. Ce racontement sera donc, dorénavant, cela. Trier ne sert véritablement à rien, sinon de m’embrouiller l’esprit inutilement (et les autres par la même occasion).
L’histoire sera fragmentée, en dehors des canons de la rhétorique du genre « littéraire ». La littérature m’emmerde, en fait ! Je n’ai qu’à sortir ce qui émerge de ma tête (me dis-je à moi-même), sans de plus amples soucis d’une concision qui ne viendra jamais.

(Vous lirez un texte à l’envers, à l’envers de sa chronologie : les derniers mots seront au début au lieu d’être à la fin, comme c’est d’usage.)

(version)
Au moment des préalables, l’organisation voulant se concrétiser, s’interroge et commence un ordre nouveau, dans une perspective d’avenir, cherche une forme où se tenir…

    • Toujours cette impossibilité de raconter véritablement une histoire, ne laisser que quelques bribes de-ci de-là sans pour autant arriver à les réunir. Rester dans l’impossibilité de raconter quoi que ce soit d’une histoire cohérente, d’un début, d’un contenu et d’une fin. Parce qu’il n’y a ni début ni fin, seulement un flux continu de ce qui vous vient. Ce racontement sera donc, dorénavant, cela. Trier ne sert véritablement à rien, sinon de m’embrouiller l’esprit inutilement (et les autres par la même occasion).

    • L’histoire sera fragmentée, en dehors des canons de la rhétorique du genre « littéraire ». La littérature m’emmerde, en fait ! Je n’ai qu’à sortir ce qui émerge de ma tête (me dis-je à moi-même), sans de plus amples soucis d’une concision qui ne viendra jamais.

(Vous lirez un texte à l’envers, à l’envers de sa chronologie : les derniers mots seront au début au lieu d’être à la fin, comme c’est d’usage.)